Avant hier c’était Samedi. Un des tout premiers week end où je n’avais rien d’extraordinaire à faire. Je n’avais pas de devoirs puisque je les avais déjà écoulé la vieille. J’avais une idée derrière la tête bien sur parce que mes devoirs je les faisais en général toujours au dernier moment. Cela ne m’empêchait pas d’avoir des bonnes notes. Je me suis levé tôt, je me suis habillé et j’ai laissé un mot à Ethan. Il disait à peu près ceci :


« Hey mec, comme tu vois je suis déjà debout. C’est rare mais c’est vrai. Pourtant tu ne me trouveras pas, ne me cherche pas, j’ai quitté le château ce matin. J’ai envie d’aller faire un tour du côté des moldus. Désolé de ne pas t’avoir prévenu. Je compte sur toi pour couvrir mes arrières. Si on te demande ou je suis, tu auras qu’à dire que tu en sais rien à la limite. Si tu croise mon frère souhaite lui un bon week end de ma part, si tu croise ma sœur envoie lui mes mauvais sentiments. Merci mec. On se revoit dimanche soir. J’essaierais de ne pas rentrer tard.

Sirius »


Je suis sorti ensuite dans le parc, en saluant les quelques lèves tôt. J’ai fait le tour pour ne pas paraître suspect et j’ai pris sans me faire voir le passage sous la cabane hurlante. Je venais me transformer ici a presque chaque pleine lune. Je me suis retrouvé alors à pré au lard et de là j’ai transplané à Londres. Rien de plus simple, j’ai passé mon permis l’an dernier et je l’ai réussi du premier coup bien entendu. J’ai marché un moment avant d’atteindre la maison de Sawyer. Il devait encore dormir comme un loir. J’ai tapé, sa mère est venue m’ouvrir. Susan est une femme cool ! - Sirius, quel heureuse surprise s’est elle exclamé sur le coup en me prenant dans ses bras. Je connais Sawyer depuis longtemps maintenant. Elle m’apprit ce que je savais déjà sur son fils à savoir qu’il dormait encore. Elle m’a fait un clin d’oeil auquel j’ai éclaté de rire. Je suis donc allé réveillé la marmotte à grand coup de cri. - Sirius mon pote putain mais qu’est que tu fous là ? s’était il exclamé parfaitement réveillé. Je lui ai bien sur répondu que je squattais chez lui ce week end. – Tu aurais pu amener Wilfried dit il vers midi. – Ouai j’ai oublié avais je répondu sur le coup. Il avait rit et moi aussi. On passa toute la journée du samedi à errer dans les rues, à rire fort et à faire les magasins. La nuit on la passa dans une bouteille avec des clopes, de l’alcool et des nanas. Par respect pour la mère de Sawyer, on n’a pas ramené nos conquêtes. Sa mère était divorcée depuis que Swayer avait 5 ans. Son père s’était fait la malle. Un vieux con ! Le dimanche fut identique au samedi sauf le soir ou je suis rentré au château.




En tout cas, je ne regrette pas d’avoir momentanément oublié mes amis poudlariens, mes conquêtes, et tout le reste. Faut que je vienne à Londres plus souvent. J’y passé certes mes vacances mais c’était pas suffisant. La prochaine fois je n’oublierai juste pas Wilfried ou au moins je lui proposerai une virée ….