have you ever danced with the devil in the pale moonlight?Je me souvenais de ce jour, des sanglots qui soulevaient ma poitrine d'enfant, mais jamais aucune larme n'avaient finis par perler le long de mes joues. Pourtant, cette douleur ne me quittait jamais. Elle était partie, à tout jamais. J'avais beau eu prier pour qu'on me la rend, rien n'y faisait. Les croyances des moldus me dépassaient, pendant bien longtemps, j'avais cru à une existence au-dessus de nos têtes, quelqu'un qui venait à veiller sur nous. Mais je me trompais, ce n'était qu'une connerie qu'on m'avait soufflée à l'oreille alors que mes yeux étaient secs. Ces sourires bienveillants, alors que ces inconnus posaient leurs mains sur mon épaule d'enfant. Je n'étais âgée que de cinq ans. Qui pouvait se souvenir de détails aussi lointains ? Moi. Cette souffrance ne m'avait plus jamais quittée depuis ce jour où j'avais vu mon père lâchait une poignée de terre sur le cercueil de ma mère, enfonçait dans le sol, prête à se faire bouffer par des milliers de vers. Tous de noirs vêtus, avant ce sombre jour, je n'avais jamais compris qu'elle ne reviendrait pas. Mon père nous avait fait d'abord croire à un voyage, puis, il avait fini par dire lla vérité à mon frère, et j'avais compris, au bout de quelques jours, que je ne reverrais plus ce visage qui me remplissait de bonheur, que je ne verrais plus son sourire bienveillant quand je me blessais, ou quand mon frère se jouait de moi. Parce qu'elle était partie, et que j'allais devoir faire avec tout ceci. Finalement, les jours étaient passées, les années aussi, mais la souffrance restait, alors que mon père et mon frère semblaient passer à autre chose, je semblais toujours tirer vers l'arrière à cause de cette absence. Je l'avais haïe pendant longtemps, très longtemps, ainsi qu'à ses moldus, car s'ils n'avaient pas été là, elle serait toujours de ce monde. Jamais personne n'avait connu cette part de moi, parce que je l'avais protégée aux yeux des gens. Je refoulais cette souffrance, au point où la Pandora naïve et gentille, avait laissée sa place à une fille superficielle, méchante, et manipulatrice.
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i said i'm only human.« JE L’AI. JE L’AI. » Je tenais une lettre, fermement dans ma main droite, comme si celle-ci comptait s’éclipser après avoir dévoilé ce détail. Il devait être tôt le matin, puis que son père passa la porte de la cuisine encore en peignoir, et que son frère, les cheveux en bataille, semblait avoir du mal à mettre un pied devant l’autre sans se prendre un coin de meuble. Moi, je ne tenais plus en face, j’avais même improvisée une danse de la pluie. Ouvrant la lettre avec avidité, j’avais alors sautée au cou de mon père, et n’avait fait que regarder mon frère. Le lien qui unissait mon frère et moi, n’étaient qu’au niveau du sang, nous étions loin de nous entendre. Peut-être parce que j’appréciais le mettre hors de lui. « Je te l’avais dis princesse, ta mère serait fière de toi. » Mon cœur manqua un battement. Ma mère. Cet être qui me manquait atrocement. J’avais du grandir sans elle, à cause d’un accident de voiture alors que je n’étais qu’une enfant. Cet évènement fatidique avait tout changé en moi, transformant ma gentillesse en mesquinerie. Je ne me rappelais même plus de son visage, ni même de sa voix, et encore moins des gestes qu’elle avait pour nous rassurer en cas de cauchemars. Mes souvenirs s’étaient effacés au plus les années qui passaient. Elle avait emportée avec elle, une partie de moi. J’en étais certaine. J’avais alors affichée un faible sourire, seul mon frère avait remarqué mon soudain malaise, malgré le fait qu’il avait la tête dans le brouillard. « Je vais vous préparer le petit déjeuner. » Posant ma lettre sur la table de cuisine, j’avais alors attrapée une poêle pour faire des œufs, et des pancakes. Nous étions une famille anglaise, mais à cause du travail de notre père, ils nous arrivaient souvent de partir vivre quelques temps aux États-Unis, pour revenir à Londres. Prenant place, seul mon frère était resté debout, les bras croisés. « Si tu pouvais éviter de m’empoisonner, je te serais reconnaissant. » Je n’avais levée qu’un regard vers lui, avec une moue innocente, mais malgré cette remarque, le jeune homme avait prit place, tout en commençant une conversation avec notre père. Un an plus tard, un autre membre de la famille allait s’ajouter. Hunter.
Dernière édition par Pandora Widlow le Ven 18 Déc - 16:37, édité 12 fois
Sujet: Re: PANDORA ♦ where is the light in your deep dark room? ENDED. Mer 16 Déc - 23:26
CHERRYTREE.
i tell my friends that i just gotta have him.« Hunter. » Le jeune homme était assis sur l’une des chaises de la cuisine, il était tard, seule la lune faisait office de lumière dans le ciel. Il était plongé dans le noir, un bol à la main. La lumière du réverbère de la rue, suffisait largement à donner un soupçon de lumière à la pièce, sans avoir besoin de se blesser avec les meubles. Refermant soigneusement mon peignoir en soie qui avait appartenu à ma mère, j’avais alors posée mon regard foncé sur le jeune homme qui ne m’avait adressé qu’un signe de tête. Son calme me fascinait. Ce n’était pas faute d’avoir essayé de le mettre hors de lui, au contraire. Il était toujours resté là, avec parfois, un air d’exaspération face à mes paroles ou mes gestes un peu trop appuyés, laissant largement sous entendre mes pensées à son égard. Parce que oui, lorsqu’il était arrivé dans la famille, Hunter n’avait été que mon frère adoptif, j’avais été heureuse de l’accueillir chez nous, et ma joie l’avait certainement agacée dès le premier jour, tellement que j’avais pu le coller. Je n’avais été qu’une enfant, à qui on offrait un nouveau joujou, comme je me plaisais à le dire. Mais les mois et années étaient passées, et les choses avaient changés. Son côté sombre me fascinait, sa façon de me repousser ne me poussait que d’avantage à lui faire encore plus d’avances. Je m’amusais de ce petit jeu, sans même me rendre compte que je jouais seule. « Que fais-tu debout en plein milieu de la nuit ? » Certes, ma question pouvait paraitre stupide, parce qu’au fond, elle l’était. « Je n’arrivais pas à dormir. Le décalage horaire. » Sa remarque m’attira un faible sourire, il nous servait cette excuse depuis bien des mois déjà. « Je peux t’aider à trouver le sommeil si tu veux. » J’avais contournée doucement la table, en laissant ma main glissait sur celle-ci, jusqu’à me poster au côté d’Hunter, qui s’était soudainement levé de sa chaise, pour mettre son bol dans l’évier. Il n’allait pas se débarrasser comme ça de moi. Lui bloquant l’accès à la porte, j’avais alors laissée glisser mes mains dans son cou, collant mon corps au sien. « Tu es ma sœur Pandora. » Puis, il avait retiré mes mains. « Je ne suis pas vraiment ta sœur, ce n’est pas comme si de l’inceste. » Il n’avait poussé qu’un soupir, toujours en me fixant. Et alors que je m’apprêtais à argumenter, il m’avait attrapé par les épaules pour me pousser légèrement. Passant la porte, je l’avais suivis du regard, jusqu’à qu’il rejoigne sa chambre, alors que moi, je me retrouvais à effacer un nouvel échec.
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l’amitié ça s’entretient, l’inimitié encore plus.« J’ai une idée. » Les deux jeunes femmes étaient assises dans la salle commune des Serpentard, près du feu. Elles n’étaient que des adolescentes encore. Mais, avec des idées peu communes. Brighid avait alors posée son regard sur moi, avec un mince sourire sur le bord des lèvres, attendant mon petit speech. « On fait un pari. » Le visage de Brighid s’illumina, comme si je venais de lui dire la chose la plus merveilleuse au monde. Bien sûr, tout ceci n’était qu’ironie, et notre amitié n’était basée que sur des petits jeux malsains. « Ton pari sera de coucher avec un professeur. » La jeune brune au regard azur s’éclaffa soudainement, comme si cela lui semblait être un jeu d’enfant. « Celui que je veux ? » Rapprochant légèrement mes mains du feu pour me réchauffer, je m’étais une seconde perdu dans les flammes avant de reposer mon attention sur la jeune femme. « Non, tu devras charmer le professeur de Sortilèges, Liam Callahan. » Bien sûr, cela n’allait pas être un jeu d’enfant, malgré le sourire amusé de Brighid. « Si tu gagnes, tu pourras accorder un maximum de point à ta liste de conquêtes, et pendant une journée, je ferais tout ce que tu me dis. » Je me fichais pas mal de savoir si elle allait gagner, même si la seconde partie du pari ne m’enchantait guère. Surtout que Brighid avait des atouts en main, comme son caractère, ou sa sulfureuse beauté. « Et si tu perds, tu devras retirer des points à ta liste de conquêtes, et tu me laveras tout mes vêtements, et tu feras mon lit pendant trois jours. » Encore une fois, la jeune femme s’éclaffa. « Tu crois franchement que je pourrais perdre. » Je m’y étais plus ou moins attendu, Brighid faisait partie des gagnantes, et c’était pour cela qu’elle et moi, nous nous entendions aussi bien. Parce qu’au fond, nous n’étions pas si différente l’une de l’autre. Finalement, ce pari s’était peu à peu tassé, sans même savoir que Brighid continuait son petit chemin vers le lit du professeur.
♣ WHO I AM ?
La jeune femme possède un hibou du nom de Panda. Une petite histoire de quand elle était enfant, puisque son surnom n'est autre que Pandy. Sa baguette est composée d'un bois de Houx, qui représente l'équilibre et la force, autant physique que morale. Elle est également composée d'un ventricule de coeur de dragon, comme celle de son père et de son frère. Mesurant 23,5 cm. Pandora est boulimique, elle se soucie énormément de son apparence, et redoute la vieillesse plus que tout. Seulement, la jeune femme possède son jardin secret, puisque personne n'est au courant de ce trouble alimentaire. La jeune anglaise est prête à tout pour arriver à ses fins, quitte à sacrifier un ami s'il le faut. Elle danse particulièrement bien, puisque dans son enfance, elle prenait des cours de ballet, mais depuis son entrée à Poudlard, la jeune femme a stoppée cette activité. La bonne éducation que le père Widlow a fourni à ses enfants ne semblent pas avoir fonctionné sur la jeune femme, qui est dépourvu de toutes moralités et compassions. Elle porte fièrement les couleurs de Slytherin. La jeune femme a gardé énormément de souvenirs de sa mère, comme des colliers, des bagues. Puisque le souvenir de celle-ci s'efface plus les années passent, Pandora peut au moins se rassurer que ces bijoux sont toujours là. Pandora n'a jamais pleurer, sauf, bien évidemment, lorsqu'elle n'était qu'une enfant, même pour la mort de sa mère, les larmes n'ont pas coulés sur ses joues. Une incapacité à montrer ses émotions ? Certainement. Le secret pour ne pas vous faire avoir par Pandora ? Ne pas lui faire confiance. Mais c'est une chose totalement impossible, à cause de ses dons d'actrice. Elle sait mentir, faire semblant d'apprécier une personne, se montrer compatissante. Alors qu'au fond, elle se fiche royalement de vous, et de votre vie. Si elle s'approche de vous, ce n'est que pour un but précis. Pandora est une tête. Elle n'a pas besoin de passer des heures dans les bouquins pour retenir le principal. Cette capacité fait d'elle une élève très studieuse et appréciée des professeurs. La jeune femme n'est pas pudique, loin de là, alors ne vous étonnez pas si vous la voyez passer dans la salle commune des Slytherin en sous vêtements. La jeune femme est effrayée par l'eau, mais encore une chose que personne ne sait sauf son père et ses frères.
♣ I AM AN OUTSIDER Prénom ; Audrey. Pseudo ; CHERRYTREE. Âge ; Dix-huit ans. Avatar ; KEMP MUHL. Comment avez-vous connu BE ; Par Bazzart. Que pensez-vous du design ; J'aime beaucoup. Bien qu'un peu sombre. Commentaires ;
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