Sujet: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 15:31
(c) cristalline SCORPIUS LYATT PANKHUST dix-huit ans ; Serpentard ? ; huitième année froid ; mystérieux ; inconnu des autres ; narcissique ; détruit de l'intérieur ; charmeur ; peut être attachant ; ne s'attache pas.
♣ STORY OF A LIFE TIME
Et là, je me sentais vide. Cette haine qui m'envahissait, alors que j'étais si innocent. Est-ce que j'aurais imaginé un jour que la vie pouvait être si cruelle ? Bien sûr que non. On est jeune, on veut profiter de la vie, en pensant qu'elle nous sourira toujours. Oui, on peut parfois être tellement optimiste, à en devenir désolant. Mais on devrait nous prévenir de ce qui nous attend. Les gens nous cachent tellement la réalité, pourquoi donc ? En pensant qu'en étant épargné du monde qui nous entourait, on pourrait mieux s'amuser, et que de toute façon il y ait peu de chances pour que tout bascule ? Il ne faut pas jurer sur la chance. Quand le malheur tombe sur vous, vous ne pouvez rien y faire. Pourquoi vivre, quand on sait qu'on peut perdre tout goût de la vie ? Pour le retrouver ? Oui, bien sûr, mais combien de temps ça peut mettre ? Des années, à oublier ce qui nous a détruit de l'intérieur. Le visage ensanglanté, je regardai autour de moi. Dix ans, est-ce l'âge normal pour vivre ça ? On est encore censé jouer avec les balais, en suppliant ses parents pour qu'ils nous apprennent un sort. L'insouciance nous entoure, avec des parents qui nous cachent tout. On commence malgré tout à découvrir certaines choses ; Que le monde de la magie n'est pas aussi angélique qu'il en a l'air. Aurait-on pu mieux encaisser en sachant tout plus tôt, au lieu de le découvrir de la sorte ? On ne peut pas vraiment savoir à vrai dire. Je me sentais mort, mais j'étais encore vivant. A vrai dire, j'aurais préféré fermer les yeux, et goûter aux plaisirs de cette lueur qui jaillissait vers nous. La lumière, qui nous ouvrait les bras, qui nous accueillait pour vivre dans un monde meilleur. Mais j'avais les yeux ouverts. Mes sens étaient tous éveillés, et distincts. La vision d'horreur devant moi. Le goût du sang. Le toucher du sol dur qui m'aidait à ne pas tomber encore plus bas. L'odeur du feu, qui avait l'air d'être tout proche. Et le son.. Du silence. Plus rien. Les formes que je pouvais observer cependant étaient floues, et je ne pouvais dire ce qu'elles étaient. Perte de mémoire ? J'aurais bien aimé. Car les images des évènements qui s'étaient produits défilaient dans ma tête comme un film qu'on projetait. Et je pouvais même commencer à faire le lien avec toute ma vie. C'était ma vie qui se projetait, de laquelle on se moquait. Les spectateurs se disaient que le petit garçon que j'étais aurait dû ouvrir les yeux sur tout. Que même à dix ans, on était assez évolué pour remarquer quelque chose. Les rires s'élevaient dans ma tête avant que je ne puisse les arrêter. Etais-je fou ? Non, je ne contrôlais plus rien, c'est tout. Arrêtez les voix, arrêtez-les, faites qu'elles cessent..
« STOP ! »
Le cri dans la rue s'élevaient et résonnait. De toute façon, personne ne pouvait réagir autour de moi. Mais là, je remarquai que je pus me lever. Et là, les images autour de moi furent plus claires. Un homme, deux hommes, même trois, allongés sur le sol, ne pouvant plus bouger. Le pire dans tout ça, c'est que je ne m'en souciai même pas. Comme si ce jour m'avait glacé le cœur. Enfin, pas entièrement, car je n'étais pas totalement indifférent à un corps, à un regard, qui perçait le mien. Ma mère laissait passer par ce regard la tristesse, la douleur, mais en même temps le soulagement de voir son fils debout, et vivant. Mais moi, je ne voyais que la souffrance d'une mère, devant un fils à jamais marqué.
FLASHBACK
Tout semblait parfait dans ma vie. Scorpius, le garçon ambitieux, qui profitait de la vie. Je vivais dans une petite bulle, un rêve. Que demander de plus ? Mon père, Jeffrey Pankhust, n'arrêtait pas de me dire que je serai sans problème accepté à Poudlard. Je n'avais que dix ans, mais c'était déjà devenu mon rêve. Apprendre la magie, cette faculté qui me semblait si magnifique. Tous les jours, je demandai à mon père de me prêter sa baguette, mais rien à faire. Il me disait simplement que dans un an, j'aurais la mienne. Et ma mère, Anastasia, elle me promettait un avenir parfait, en me disant que j'étais intelligent. Tandis qu'elle m'espérait à Serdaigle, mon père priait pour que je lui ressemble le plus possible, et que j'aille chez les verts et argent. Mais malgré ce différent, ma vie semblait parfaite. Mais pourquoi ai-je tout ignoré ? Il me semblait bien que depuis un petit moment, certaines choses étaient différentes. D'habitude, mon père était plein de bonnes intentions envers ma mère. Mais en ce moment, plus rien, plus de tendresses. Et il semblait qu'ils étaient plus souvent seuls qu'ensemble. J'avais même vu ma mère fouiller dans les papiers à mon père alors qu'il n'était pas là, ce qui n'était pas normal. Et quand j'avais le malheur de demander si tout allait bien, ils me répondaient tous les deux à l'unissons que oui, mais sans grande conviction. Mais quand on nous cache tout, comment se soucier de quelque chose ? On se dit donc que ce n'est qu'une passade, que ça arrive à tout le monde, rien de grave. Jusqu'à cette soirée.
Jeffrey – Tu dégages, c'est tout ! Anastasia – Comment tu peux me faire ça, tu n'as aucun droit de me faire ça ! J – Et pourquoi donc ? Tu croyais vraiment que je pourrais m'intéresser à quelqu'un comme toi ? A – Tout ça pour l'argent. C'est à toi de partir !
Les voix résonnaient dans la maison. A l'étage, je n'osai pas descendre. Non, à la seconde où j'avais entendu les cris, je savais que le petit paradis où je vivais allait s'écrouler. Mais à quel point ? La seule façon de le savoir était d'aller voir.. Mais comment pouvoir faire face à la réalité ? Une porte qui claque, avec un Brouah de cris. Elle claque de nouveau. J'étais seul dans la maison. Curieux, je regardai par la fenêtre. La curiosité est un vilain défaut, mais ce n'était pas une simple histoire. Surtout qu'en observant dehors, le soleil éclairait deux hommes inconnus à mes yeux. Qui étaient-ils ? Et pourquoi tendaient-ils leur baguette vers ma mère ? Je ne pouvais pas rester là sans rien faire, je sentais que ma mère était en danger. Les marches défilaient sous mes pieds, à quel point que ce fut un miracle d'arriver en bas sans tomber. La porte s'ouvrit, le paysage extérieur se dessina. Mes parents se retournèrent tous les deux vers moi, avec deux regards différents. La réussite sur celui de mon père était largement contradictoire à celui de peur de sa mère. Mais la suite ne fut que floue, et trop rapide pour tout encaisser en même temps.
A – Laissez mon fils tranquille ! Homme 1 – Bouge de l'entrée. J – On ne te fera pas de mal, si tu nous laisses tout prendre. A – Hors de question, il faudra me passer sur le corps. Homme 2 – Endoloris
Ses genoux se fléchirent, et Anastasia se roula en boule par terre pour supporter la douleur. N'ayant pas pu sortir sa baguette plus tôt, elle ne pouvait pas se défendre. Elle était une bonne sorcière pourtant.. Une image que je ne peux pas m'enlever de la tête. La voir comme ça me fendait le cœur qu'il me restait encore, et le pire c'est que je ne pouvais rien faire. La preuve ; je voulais aller vers elle, trouver quelque chose à faire pour qu'elle ne souffre plus. Mais à peine un pas fait vers elle, et l'homme pointa la baguette vers moi. Et ces mots, ces mots qui résonnèrent dans ma tête, étaient les derniers que je voulais entendre.
Homme 2 – Endoloris !
Comment décrire ce qui m'était arrivé à ce moment-là ? Tous mes muscles se contractèrent, et mes genoux fléchirent sans que je m'en rende compte. Durant la minute qui suivit ce sort, je ne fis pas attention à ce qui m'entourait. La douleur envahissait mon esprit, au plus profond. J'essayai de ne pas y penser, de me dire que ce n'était qu'une illusion. Mais elle était si réelle, que cette pensée ne faisait pas le poids. Je priai pour que ça cesse, que l'on puisse me rendre libre. A côté de ça, tout me semblait faisable, tout. Après cette douleur, j'avais l'impression d'être libre à nouveau. Le paysage redevenait clair, et je pus voir ce qui se produisait autour de moi. Ces hommes étaient en train de prendre tout ce qu'on avait. Ma mère venait aussi de se rendre compte de ce qu'ils faisaient, et venait de sortir sa baguette, mais elle fut projetée en arrière. Deux passants, qui venaient de voir ce qui se passait, s'approchaient. Ils avaient l'air d'être deux moldus, ce qui ne plaisait pas à mon père. Un éclair vert jaillit de sa baguette, puis un deuxième. Derrière cette lueur, les deux passants tombèrent en arrière. Stupéfait, de voir ce que mon père avait été capable de faire, je me relevai, m'apprêtant à lui sauter dessus. Mais que pouvais-je faire, moi, petit garçon de dix ans qui n'avait que ses poings pour s'énerver ? L'homme que j'avais jusqu'ici admiré m'envoya en arrière comme avec ma mère, sans aucune pitié. Ma tête cogna le béton si dur du sol, et me laissa par terre. Ce fut la dernière chose qui me marqua, avant de me relever.
END FLASHBACK
Comment avait-il pu me faire ça à moi ? Son fils, qu'il disait aimer ? Alors c'était ça en fait.. Un amour simulé, et totalement imaginaire, pour gagner l'argent de ma mère. Ils avaient tous volés, avant de faire brûler la maison. Un sort aurait pu aider à éteindre le feu, que ma mère savait magnifiquement bien faire. Mais elle était dévastée, et ne pouvait plus rien faire. Elle essaya de se relever, mais elle n'y arrivait pas. Le chagrin paralysait ses membres, et la laissait sans vie. Allant l'aider, je sentais comme un devoir pour moi de la relever. Nous contemplions, ensemble, dix ans de travail partir en flambeau. Il y avait plus que nos larmes pour pleurer, nos corps pour nous soutenir.
♣ I AM AN OUTSIDER Prénom ; Cassandra Pseudo ; Cass'y Âge ; seize ans Avatar ; Luke Grimes Comment avez-vous connu BE ; Sur PRD Que pensez-vous du design ; Très beau (Mais je dois avouer que j'ai un peu de mal avec les couleurs, j'ai pas une super vue xD) Commentaires ; les chocogrenouilles boivent du jus de citrouille
Dernière édition par Scorpius L. Pankhust le Dim 20 Déc - 22:55, édité 5 fois
Scorpius L. Pankhust
PARCHEMINS : 78
DATE D'INSCRIPTION : 20/12/2009
PSEUDO : Cass'y
CREDIT : Frozen Yogurt
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 15:31
HUIT ANS PLUS TARD
Chère Mère, Il y a longtemps que je ne t'ai rien envoyé. Je suis désolé, mais je suis assez occupé.. Non, à vrai dire, c'est pas ça, parce que je ne fais rien de mes journées. Je bosse un minimum, et je passe mon temps à traîner. Pourquoi ne t'ai-je rien envoyé ? Ça me tue. Je veux savoir comment tu vas, tu le sais ça. Mais je ne supporte pas de me dire que je te laisse seule dans cette misère. Je ne préfère donc pas t'écrire, en me disant que tu es heureuse. Mais je sais que tu ne l'es pas. Te savoir bien me rend heureux, mais au fond de moi, je suis persuadé que tu n'es pas heureuse. Tu sais, je pense à toi tout le temps. J'espère que tu trouveras le bonheur. Ça fait huit ans, et tu n'as toujours trouvé personne. Tu dois faire confiance à quelqu'un, tout le monde n'est pas comme lui. Sors un peu, même si tu dois te retrouver avec un moldu, je l'accepterais. Mais je serais beaucoup mieux si je te sais en sécurité. Tu dois penser que je suis un monstre, avec ce que tu dois entendre sur moi. Mais j'ai quand même un cœur. Ne me prends pas pour quelqu'un de banale et d'inutile. Surtout pas. Prends soin de toi, et rassure-moi. Je t'aime. Sco.
La lettre fut enroulée, et accrochée à la patte d'un hibou probablement proche de la retraite. Mais il fallait le pousser à bout, et l'utiliser un peu. Si quelqu'un de Poudlard avait lu cette lettre, jamais il n'aurait pu penser qu'elle venait de Scorpius. Premièrement, le « je t'aime » n'était pas dans mon vocabulaire, loin de là. Et cette lettre laissait passer l'image d'un jeune homme sensible, avec des sentiments. Or, durant ses huit longues années dans cette école, je n'ai véhiculé qu'une seule image d'un cœur de pierre. Et pourtant, derrière ce coeur se cachait une personne inconnue de la plupart des étudiants à Poudlard. Je n'étais pas quelqu'un de très connu, certes. Vous savez, il y a des personnes, quand on parle d'elles, il suffit de dire son prénom et on voit tout de suite. Ce n'était pas mon cas, non. Mais je ne m'en plaignais pas non plus. J'étais qui j'étais, avec mes défauts, et encore mes défauts. Comment aurait été ma vie si je n'avais pas vécu cet incident ? Probablement meilleure, je n'en doute pas. Mais je préfère encore avoir ouvert les yeux sur le monde, plutôt que d'être encore insouciant. Car je me suis rendu compte d'une chose après cette journée : les gens étaient hypocrites. Tous, sans exceptions. Ils ne veulent que satisfaire leurs propres intérêts, en se fichant du monde qui les entoure. Pourquoi jouer un jeu, quand on pouvait être soi-même ? C'est l'état d'esprit que je me suis donné, et que j'ai adopté. Dire la vérité, ne pas se cacher. Ce jour m'a détruit, m'a fait mûrir, mais m'a en même temps ôté beaucoup de sentiments. Et je ne tiens pas à faire croire à tout le monde que tout va bien. Si quelque chose me plaît pas, je le dis. Et c'est comme ça que certaines personnes m'apprécient, pour ce que je suis, et je leur en suis reconnaissant. Mais je ne suis pas ici pour faire du social. On m'aime, ou on ne m'aime pas. Je sortis de la volière, pour parcourir le froid hivernal qui occupait le parc. L'écharpe calée dans le cou, je pouvais regagner le plus rapidement possible le château, ainsi que la salle commune où il y aurait un bon feu. Dans les couloirs, les gens parlaient entre eux, mais ne m'adressaient pas la parole. La plupart, des plus petits, semblaient presque baisser le regard. Il est vrai que je m'étais énervé pour peu, et avait fait peur aux plus jeunes. Mais certains Gryffondors semblaient faire encore les malins. Apparemment, ils trouvaient cela amusant de me provoquer. Hum, amusant oui, mais après, cela dépend pour qui.
X – Alors Pankhust, tu vas te cacher pour qu'on ne voit pas ton visage ? S – Non, j'espère te voir le moins longtemps possible, éviter la vision d'horreur. X – Très amusant dis donc, je ne savais pas que les Serpentards avaient le sens de l'humour. Un petit sourire avec cette blague ? S – Et mon poing, ça t'intéresse ?
Voyant qu'il y avait une limite à ne pas dépasser, le jeune rouge et or s'écarta, me laissant passer. Il était vrai que les couloirs n'étaient pas trop mon truc, on se retrouve toujours avec des gens qu'on ne voulait pas voir. La salle commune était plutôt.. Comment dire.. Avec des gens comme moi, qui pouvaient un peu me comprendre. Certains qui savaient ce qui me rendait si froid, et parfois blessant. Car pour moi, plus rien n'était blessant, et tout paraissait normal. Je me retrouvai donc enfin avec des personnes avec qui je m'entendais. Il y avait même des filles, celles qui aiment bien ce côté mystérieux en nous, et avec qui on sait que tout rapprochement ne veut rien dire. Celles qui comprenaient qu'il ne fallait pas s'attacher, au risque de souffrir. Car je ne risquerai pas de ressentir quelque chose. La pierre qui entourait mon coeur était beaucoup trop dure pour être percée. Je savais que cette fille, celle qui me regardait plus loin, avec ses airs d'aguicheuses, et qui croisait et décroisait ses jambes dans sa jupe très courte, serait bientôt vue de plus près. Qu'au moment où elle me demandera si ça ira plus loin, elle remarquera avant qu'il lui réponde que la réponse était évidente. Elle n'aura qu'à récupérer ses vêtements, et partir de mon lit. Elle n'aurait eu que mon corps, mais aucunement mon âme ; si j'en ai encore une.
« Je fume ma vie ; s'il m'en reste encore. je bois mon sang ; si je m'en rend compte. Je reste seul ; si je suis encore une personne. »
Dernière édition par Scorpius L. Pankhust le Dim 20 Déc - 22:56, édité 19 fois
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Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 15:35
Bienvenue sur BE* Par contre je sais pas si tu l'a vu mais y'a un autre membre qui veux prendre Luke donc va y'avoir bataille *zbaf*
Scorpius L. Pankhust
PARCHEMINS : 78
DATE D'INSCRIPTION : 20/12/2009
PSEUDO : Cass'y
CREDIT : Frozen Yogurt
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 15:39
Merci beaucoup Ah non, j'avais pas vu..
Mouarf, j'essayerais d'avoir Luke, et si je l'ai pas tant pis, je prendrais un autre avatar ! Qui ne tente rien n'a rien, pas vrai ?
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Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 16:02
Bienvenue ! La chanson me fait pleurer xD & au passage j'aime déjà le perso, t'as un style agréable ^^
Alice L. Malfoy
PARCHEMINS : 1411
DATE D'INSCRIPTION : 30/11/2009
AGE : 32
PSEUDO : Didiiine
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 16:28
Bienvenuue
Scorpius L. Pankhust
PARCHEMINS : 78
DATE D'INSCRIPTION : 20/12/2009
PSEUDO : Cass'y
CREDIT : Frozen Yogurt
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 16:33
Merci à vous (: J'avoue que la chanson est magnifiquement triste !
J'avais juste une question : C'est la meilleure fiche qui l'emporte pour Luke ?
Alice L. Malfoy
PARCHEMINS : 1411
DATE D'INSCRIPTION : 30/11/2009
AGE : 32
PSEUDO : Didiiine
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 16:34
La plus rapide
Wilfried Durham
PARCHEMINS : 140
DATE D'INSCRIPTION : 18/12/2009
CREDIT : woody pepper
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 17:32
Bienvenue
Sirius Orly W. Lupin
PARCHEMINS : 737
DATE D'INSCRIPTION : 07/12/2009
AGE : 31
CREDIT : CHIB
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 18:57
Bienvenue ( luke * bave* )
Scorpius L. Pankhust
PARCHEMINS : 78
DATE D'INSCRIPTION : 20/12/2009
PSEUDO : Cass'y
CREDIT : Frozen Yogurt
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 21:20
Merci à vous Je finirais ma fiche probablement demain !
Scorpius L. Pankhust
PARCHEMINS : 78
DATE D'INSCRIPTION : 20/12/2009
PSEUDO : Cass'y
CREDIT : Frozen Yogurt
Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 22:55
Désolé du DP, mais je pense avoir fini ma fiche finalement. La fin est pas top, mais je voulais la finir ce soir (a)
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Sujet: Re: Life taught me to die • Scorpius Dim 20 Déc - 23:07