« Chelsea Smile ! » Yeardley est là.

DATE D'INSCRIPTION : 27/12/2009

(c) Misery Angel
YEARDLEY SIXTINE CLARKS
17 ans ; serdaigle ; septième
sociale ; bavarde ; réservée .
riante ; attentive ; méfiante .

PROLOGUE

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Bannière par Misery Angel; Paperback &

DATE D'INSCRIPTION : 27/12/2009

♣ STORY OF A LIFE TIME

« Chelsea Smile ! » Yeardley est là. Img-172048kh6eg

Il fallait choisir une route, alors on a choisit la pluie, acide à s'en brûler le coeur, pourvu que planent les esprits. il y a tes yeux qui me tuent, quand tu me dit que c'est fini. Il y a le vent de nos sanglots qui soufflent pour une amnistie. SAEZ; il y a ton sourire

Eté 2041; dans le Manoir Clarks, dans un pays nordique.

Miss, le dinner va ête servi. Madame vous demande de mettre votre robe que votre Grand-Mère vous a apporté d'Angleterre .

▬J'arrive, Pomona ! Je range tout ça, et j'arrive !

J'obtempéra ; je rangeai les livres à leur place, et j'enfilai la robe bleu foncé que Grand-Mère m'avait offerte. Elle m'allait bien, mais me grattais affreusement. Mes cheveux mis en place - un chignon laissant quelques mèches rebelles blondes, comme aimait mon père - je descendis suivie de Pomona. Pomona était ma gouvernante, depuis ma naissance. Je n'aimais pas trop l'idée d'ena voir une, mais mère voulait absolument que je la garde jusqu'à ce qu'elle ne soit pas en état de me servir. Elle aurait voulu qu'elle ai eu une fille, comme enfant, pour qu'elle, me serve à la suite. Mais, Po' a eu un garçon. Du nom de Lawrence, il lui ressemblait énormément. Lui et moi, nés à quelques mois près, nous entendions parfaitement. Il était comme un second frère. Le premier étant Alastor, le vrai, de deux ans mon aîné. Mais je le vois rarement. Mes parents voient en lui un potentiel Ministre de la Magie Norvégiens. Mais nos noms et prénoms ne passent pas, pour Alastor. Lui se voit bien savant fou, genre Einstein, ou autre. Du moment qu'il est libre. C'est pour ça qu'ils l'ont envoyé, lorsque j'avais sept ans - donc lui neuf - en pensionnat, dans le Quent, en Angleterre. Au moins de Septembre, il entamera sa troisième année à Durmstrang. Moi, j'y entrerais pour commencer ma première année. D'après lui, je suis très attendue. Il a dû encore raconter des choses énormes comme lui à mon sujet. Avec Pomona, nous continuâmes de descendre. Arrivées dans le corridor du rez-de-chaussée, nous rencontrâmes Alastor. Il avait son éternel sourire au coin des lèvres, celui qui fait qu'il a une côte inconsidérable, qu'énormément de filles lui envoient des hiboux. J'ai du compter une dizaine de hiboux en une semaine, toutes parfumées à la Lavande. Pouarf, je n'aime pas la Lavande, je préfère de loin de le Lila ou la Tulipe.

ALASTOR ▬ Petite Soeur; alors, pressée d'être la semaine prochain ?

YEARDLEY ▬ Pas vraiment, non !

PERE ▬ Alastor ! Yeardley ! Dépêchez-vous !

Nous nous précipitames dans la salle à manger. Mon père se tenait droit, et se trouver dans son plus bel appareil; ma mère arborait un rictus, mais restait magnifique dans sa robe de soie saumon. Si elle avait mit cette robe, ce n'était sûrement pas pour grand-mère. Et il y avait six couverts, et grand-mère vivait seule. Je me creusai la tête, mais je ne voyais vraiment pas qui pouvait venir.

YEARDLEY ▬ Père ? Puis-je vous demander qui nous rend visite ce soir ?

PERE ▬ Un vieil ami d'école. Il est accompagné de son fils, Iemelian. Il a le même âge que toi, et entre, tout comme toi à Poudlard .

YEARDLEY ▬ Pou ...

Mais je ne pus terminer, un balai fit irruption dans le salon - un portoloin, sans aucun doute - tenu par un grand homme, élégant. Ce devait être le « vieil ami » . Il s'avança vers mon père, lui serra la main, pour ensuite le prendre dans ses bras. Il s'échangèrent quelques politesses retenues pour rire en se remémorant le passé . Il se retourna vers ma mère. Hésitant. Mais par courtoisie, lui prit la main et la lui baisa. Ma mère était gêné, cela se voyait. Elle commença à rougir. Elle enleva très vite sa main de celle de Mr Crowmell - tel était son nom - et se tourna vers moi. Il me salua d'un révérence, que je lui rendis, et commença à me complimenter. Je me mis très vite à rougir, inhabituée à être aussi élogée. Mon frère me vint à la rescousse, bien sûr, en me descendant très ... gentiment. Un détail me laissait perplexe. Le balai tenait encore debout. Un jeune garçon, de mon âge, se tenait droit, et nous regardait tous à tour de rôle, en s'attardant bien sûr moi. Lorsque je croisai son regard, un frisson me parcourut dans tout le dos. Alastor s'avança vers lui, lui tendit la main très vite serrée, et commença à parler avec lui. J'étais aussi sociale que mon frère, mais quelque chose m'interdisait de faire la même chose que lui. Tout en parlant avec mon frère, Crowmell junior continuait de me fixer.