♣ I AM AN OUTSIDER
Prénom ; audrenne d: je vais pas faire le speach sur la signification &&' la folie de mes parents pour m'avoir donné un prénom comme ça d:
Pseudo ; black&blue (: yes, je reviens avec un nouveau perso' ! mais je garde ma lùx chérie d:
Âge ; t'as fumé man, je vais pas t'le dire d: {au pire, tu vas voir dans le trombi', mais voilà quoi (a)}
Avatar ; sebastian stan j'ai hésité, mais finalement...
Comment avez-vous connu BE ; tu connais Lùxius ? bah c’est moi *zbààf*
Que pensez-vous du design ; ashee c'est pas bien de faire des trucs aussi beaux d;
Commentaires ; ne soyez pas choqués par l'histoire x'P enfin, y a pas de quoi, mais je préviens si mon esprit se met d'un coup un mode vicious d:

♣ STORY OF A LIFE TIME
Faites une anecdote sur votre vie avant Poudlard et un pendant Poudlard. Bien sûr vous pouvez en faire plus d'une.


« he’s lucifer, and he likes it. »
DIONYSOS - THANKS YOU SATAN

the story of satan



Il était une fois, car toute les histoires commencent ainsi. On m’a toujours dit que j’étais, plus jeune, un véritable petit ange sortit tout droit des contes de fées. Mais je n’y croit pas, du moins je n’y ai jamais cru. J’ai le diable au corps, comme l’affirme ma chère grand-mère. Ironie, quand tu nous tient… Mais qui suis-je pour contredire madame Pushkinv ? Juste le descendant de Lucifer, roi des démons comme le dit si bien ma sœur. Je suis né un jour de juin, en Russie dîtes Россия dans ma langue natale. Il faisait chaud, très chaud d’après mon père. J’ai toujours détesté la chaleur, préférant les hivers sordides aux étés douloureux. Ne m’en demandait pas la raison, moi-même je ne la connaît pas. Ma mère, Parskovia, femme de nature naïve, eut beaucoup de mal à me mettre au monde; enchaînant les hurlements, il lui fallut plusieurs heures de travail pour réussir à me faire sortir. Dit ainsi, ça enlève toute l’élégance inexistante de ce moment. Malheureusement, elle n’est pas morte. Il m’a fallut la supporter sept ans pour la voir périr suite à l’absorbation d’un puissant poison crée par mon propre père. On peut dire qu’il est un peu fou sur les bords, mais je lui voue tout de même un profond respect. Parskovia fût très vite remplacée par une femme venant de l’Inde répondant au doux nom de Amolika, qui vint s’installer après le mariage avec son fils Rajat. Celui-ci avait un an de moins que moi, c’est-à-dire l’âge de ma petite sœur Macha {un diminutif de Marie en Россия}; malgré notre lien de parenté presque inexistant, nous nous somme toujours très bien entendu : monsieur avait le chic pour débaucher des jeunes demoiselles peu farouches qu’il m’emmenait pour combler mes nuits. Après, je les lui laissais pour qu’il en profite aussi… Nous avons un caractère presque semblable, même si cela n’est pas un compliment pour lui; moi j’ai appris à vivre avec. En partie grâce à une jeune fille répondant au magnifique prénom de Svetlana Klatvanzye, jeune suédoise qui m’a fait visiter Londres quand ma famille recomposée avait emménagé en Angleterre, sous le climat morne et froid du pays. Je n’ai jamais regretté ce choix de vie, surtout que ma belle-mère adore cette contrée. J’aime Amolika plus que tout, elle a très vite remplacé ma véritable génitrice. Ceci peut paraître dénué de raison, d’amour, mais il ne faut pas s’y fier : Parskovia m’avait délaissé plus jeune, préférant finir sur les trottoirs mal famés de Kartaly pour se retrouver dans le lit d’un parfait inconnu. Ma mère était une putain, une putain irrespectueuse de la religion et de ce qu’avait battît mon père pour nous, pour elle…
Je n‘ai pas honte de raconter ça, c‘est ma vie, ça fait partit de mon histoire. C‘est comme si je revoyais tout mes souvenirs en diapositives couleur sépia, mon esprit m‘obligeant à les regarder silencieusement. J‘ai envie de hurler ma douleur, ma folie, ma tristesse et ma perversité d‘homme incomplet. Je suis incomplet, je ne trouve pas ma place dans cette vie qui est la mienne; je me cherche, je ne me trouve pas. Je me complaît dans ma douleur universelle, celle qui me ronge de l‘intérieur, qui fait tomber les barrières de mon calme inestimable. Celle qui révèle le satyre que je suis et qui ne demande qu‘à être satisfait.

I AM JUST SATAN&LUCIFER

« kiss me, i am just vicious. »
INDOCHINE - LIKE A MONSTER

the angel & the devil, their first time.

Seul dans ma chambre, un livre de Sartre posé à côté de moi, les pages froissées, je somnolais. Je n’avais rien à faire, j’avais chaud et la maison était presque vide; il ne restait que Macha qui avait invité l’une de ses camarades d’Huffepluff et Rajat, qui lui voguait sûrement de pièce en pièce à la recherche d’une activité. Sur ma table de chevet trônait une bouteille de vodka bien entamée. Les vapeurs d’alcool me montaient au cerveau, embrouillant mon esprit déjà bien ternit. Deux coups brefs se firent entendre, m’obligeant à lever mes yeux vers la porte de ma chambre couleur acier. La tête de mon frère adoptif apparut alors, m’arrachant un soupir de délice à la vue de ses mèches noires ébouriffées et de son joli minois. Sautant d’un pied à l’autre, il semblait tendu. Bien sûr, je ne fis rien pour dissiper son malaise; ce n’était pas mon genre. Le laissant s’excuser du dérangement, je me redressai légèrement pour capter ses yeux noirs comme ceux de sa mère. Il bredouilla une phrase, sa voix monta d’un octave de plus, avant de se taire. Le silence plana, s’étirant entre nous deux. Les secondes s’écoulèrent et Rajat semblait prêt à fermer la porte quand je lui adressai enfin la parole.


-- Que me veux-tu ? Tu n’as pas l’air de chercher quelque chose de bien précis…
-- Je… je ne sais pas quoi faire en fait; Macha est avec sa copine, llina je crois, alors je ne peux pas aller la voir comme ça.
-- Et si tu veux mon avis, tu as bien fait de ne pas rentrer dans sa chambre, elle n’a pas l’habitude de jouer aux poupées quand elle a des invités, si tu vois ce que je veux dire…


Le garçon se mit soudainement à rougir, détournant le regard. Un petit rire mesquin m’ échappa, comprenant que monsieur avait eu à plusieurs reprises le loisir de les observer par le trou de la serrure. Mignon… Je me demandais si je devais prévenir Macha. En même temps, elle n’était pas réputée pour sa pruderie et son soin méticuleux à ne pas laisser filtrer sa vie sexuelle. Des fois, j’envie les jeunes de mon âge : leur famille n’a rien d’un film érotique… Rajat fit un pas en arrière, puis deux, mais je lui fis signe de s’arrêter. Il est si simple de contrôler quelqu’un comme lui.


-- Il fait chaud, n’est-ce pas ?
-- Pardon ?


Un couinement de souris, voilà à quoi se résumait sa question. Un couinement de souris prise au piège d’un chat vicieux, pervers. Lui offrant mon sourire de diablotin, je me levai pour lui faire face. Nous faisions la même taille, et cela me plaisait. Il me plaisait. Enfin, d’un point de vue purement physique. Bien sûr…


-- J’ai dis, il fait chaud.


Maintenant, Rajat tremblait; il avait sans doute comprit depuis bien longtemps mes intentions envers sa petite personne et était venu ici, sûrement intentionnellement, dans le but de les vérifier. Pauvre petit garçon, je le plaignait presque. Presque, étant donné qu’il était mon prochain repas. Posant mes mains sur son torse, je le sentit frémir. Agrippant les boutons en nacres de sa chemise, je n’appréhendais en rien sa réaction.


-- Ah, il fait chaud ? Je ne crois pas, tu n’as…


Rajat émit contre son grés un autre piaillement, plus aigu que le dernier. J’avais fais sauter le premier bouton de son vêtement, savourant sa réaction tel un chat qui lapait la mousse de son lait. Mes doigts glissèrent jusqu’au deuxième que je forçai facilement, faisant de même pour les autres. Rajat ne m’arrêta pas, mais ses yeux trahissait le mélange confus de ses émotions. Petit puceau va… Capturant sa délicieuse bouche, je le retournai vers le lit pour le pousser à s’y allonger. Il se débattit un instant, mais se laissa faire quand je réussis à forcer la barrière de ses lèvres pour cajoler sa langue. Ecartant les pans de sa chemise, je l’entendis étouffer une supplique rageuse après que mes ongles l’eurent griffer. Je posai mes mains sur son thorax, le poussant dans les draps blancs de ma couche. Enlevant ma cravate et ma propre veste, je le rejoins bien vite. A califourchon, je repris sa bouche, la lui volant comme si cela pouvait garder notre petit secret presque honteux… D’après le goût de ses baisers, je n’étais pas le premier à passer entre ses bras. Ce salaud arrivait même à m’arracher des gémissements d’extase que j’essayais de contenir du mieux que je pouvais.
Ses gestes étaient réglés comme des notes sur du papier à musique, avec la précision d’un chirurgien. Il savait où m’embrasser, où me caresser pour que je le supplies de ne pas s’arrêter… Et cela ne me plaisait guère, enfin bien sûr que j’aimais quand il faisait ça, mais je n’étais pas masochiste au point de croire que ça pouvait continuer ainsi. Il avait inversé les rôles, me dominant comme l’on domine un vulgaire animal. L’ange qu’il était habituellement avait laissé place à un démon qui connaissait le moindre de mes fantasmes, de mes désirs…

J’étais seul dans mon lit, les draps blancs collés à mon corps moite. Le tissus abritait le lourd secret d’une relation immorale au goût de miel, mon esprit hurlait le prénom de on compagnon. Rajat, Rajat, Rajat… J’avais l’impression d’avoir fait un rêve, un rêve délicieusement érotique, mais cette sensation se volatilisa quand mes yeux se figèrent sur mon frère adoptif. Celui-ci était occupé à se rhabiller, nouant sa cravate avec une lenteur lubrique et un soin méticuleux. Me relevant légèrement grâce à mes avant-bras, je parcourus du regard son corps d’adolescent. D’un coup il se retourna, un sourire mesquin se formant sur ses lèvres. Ses mèches noires étaient trempées parla sueur et se rebellaient.


-- Dépêches-toi, Macha m’a prévenu que les parents étaient arrivés. Elle les a convaincu de ne pas monter à l’étage, je ne sais comment… Ta sœur peut être très persuasive.
-- Macha nous a vu ? Merde !


Je retombai lourdement sur mes oreillers, ne savant plus quoi penser. J’aimais ma sœur, mais je le trouvais beaucoup trop fouineuse. Elle était capable d’avouer à tout le monde ce que moi et Rajat avions fait un peu plus tôt. On m’a souvent dis qu’elle me ressemblait d’une certaine façon, à toujours vouloir faire du chantage aux autre pour obtenir ce qu’elle désire. Rajat me fixa un long moment, ses traits se métamorphosant en ceux de Lucifer. Il s’approcha de moi, ses jambes se balançant d’une manière féline, et plaqua ses mains à côte de ma tête. Il déposa un baiser sur mes lèvres puis se recula, fier de lui.


-- Oh, ne t’inquiète pas pour ça; je lui ai dis que, si elle ne se tait pas, je risque de malencontreusement mettre tout le monde au courant de ses pratiques peu orthodoxes avec ses amies.


Je soupirai avant de me lever pour le rejoindre. Il avait finis de s‘habiller et s‘apprêter à sortir quand je lui attrapai le bras. Me collant à son torse, je parcourus sa nuque du bout de la langue, m‘amusant à passer sur sa clavicule. Je le sentis frémir, ce qui m‘incita à continuer. Déboutonnant la chemise qu’il avait finis de remettre, je passai mes mains sur son torse.


-- Macha t'a dis combien de temps elle peut retenir les parents ?


Il se retourna pour nouer ses bras autour de mon cou. Voilà la réponse que j'entendais... M'embrassant violemment, je sentis ses mains sur mon corps. Hum...


-- Ah, sûrement assez pour que l'on en profite Dorofeï...

« lonely girl, I’m your superman ? »
EMINEM - SUPERMAN



« Oooooh - You high baby? - Yaaahhh - Yah? - Talk to me - You want me to tell you something? - Uh huh - I know what you want to hear… »




-- Hey man, t’as intérêt à tout boire… C’est pas la petite bière dont tu as l’habitude !


Affalé sur le sofa de ma salle commune, je fixais mes compagnons d’un soir encourager un élève plus jeune à finir son verre de whisky. Je savais d’ors et déjà que ma meilleure amie allait me détester, en même temps s’était son petit frère… Monsieur avait décidé de s’incruster et s’était vu obligé d’obéir à nos règles. Autours de moi résonnait la clameur des cris et des hurlements de rire tandis qu’il s’étouffait. L’alcool se vengeait sur lui, dégoulinant hors de sa bouche, écumant sur sa cravate verte. Une donzelle aux longues jambes se blottit contre moi, ses yeux d’un bleu pervenche fixant ma victime avec une expression proche de l’extase. Saoul, je lui volai un baiser. Elle gloussa, renversant sa tête en arrière, m’offrant sa gorge où que j’embrassai, descendant lentement jusqu’à sa poitrine. Un bruit me força à m’arrêter en pleine action.




« They call me superman, leap tall hoes in a single bound, I'm single now, got no ring on this finger now/I'd never let another chick bring me down, in a relationship, save it bitch, babysit? You make me sick/Superman ain't savin' shit, girl you can jump on Shady's dick/straight from the hip, cut to the chase, I tell 'em off, like a slut, to her face/ play no games, say no names, ever since I broke up with what's her face/I'm a different man, kiss my ass, kiss my lips, bitch why ask? Kiss my dick, get my cash? I'd rather have you whip my ass/Don't put out, I'll put you out. Won't get out, I'll push you out/ Puss blew out, poppin' shit, wouldn't piss on fire to put you out/Am I too nice? Buy you ice? Bitch if you died, I wouldn't buy you life/What you tryin' to be my new wife? What you Mariah? Fly through twice… »




Sur le seuil de la salle commune était plantée Svetlana. Celle-ci me dévisageait, horrifiée. J’avais l’impression que mon cerveau se vidait de mes pensées, que l’on m’étouffait avec un fil à couper le beurre; son regard se porta sur son petit frère, Prynce, qui était mal en point. Les yeux écarquillés, il implorait notre aide comme un vulgaire animal jetait en pâture à des chiens enragés. Nous étions enragés, tout cet alcool nous était monté à la tête. Elle fixa celui qui avait le même sang qu’elle, esquissant un pas pour le rejoindre. D’un coup, la belle blonde s’arrêta. Elle avait dû comprendre qu’elle ne sortirait pas vivante de notre cercle si elle s’y aventurait. De l’index, je lui fis signe de me rejoindre. La donzelle que j’avais embrassé un peu plus tôt me fixa des ses orbes céruléens puis se leva, s’avouant face au monde vaincue par ma princesse venue du froid. Cette dernière m’arracha la bouteille que j’avais en main pour boire un peu du délicieux liquide qu’elle contenait; la vodka lui fit monter le rouge aux joues…


-- Prynce, rentre !


J’esquissai un sourire. Sa phrase me conforta dans l’idée de sa présence. Soupirant, elle se passa la main sur le visage, passant la bouteille à un garçon qui lui était à coup sûr inconnu… Et si tout se passait comme dans ses plans, il ne le serait plus pour très longtemps. Adepte des orgies, elle avait toujours adoré rencontrer de nouveaux corps… Prynce protesta, mais se tût quand il croisa son regard furieux. Il se leva en chancelant et monta les escaliers. Je surpris le regard que s’échangèrent deux adolescents. L’un d’eux claqua son poing dans sa main et protesta un mal de tête. Son compagnon le suivit.

« But I do know one thing though, bitches, they come they go. Saturday through Sunday, Monday, Monday through Sunday yo/Maybe I'll love you one day, maybe we'll someday grow, till then just sit your drunk ass on that fuckin' runway ho »

Svetlana n’y fit pas attention, trop occupée à fixer la cheminée. Les braises qui souillaient le sol du meuble rougeoyaient doucement, rappelant le feu qui avait été allumé cet après-midi, quand les plus innocents étaient encore debout. Ma muse secoua son joli minois avant de s’asseoir à mes côtés, attrapant une carte qui traînait. La reine de cœur, le signe qui lui allait si bien. Levant les yeux au ciel, elle reposa l’objet cartonné.


-- Pourquoi ? Pourquoi lui as-tu fais ça ?
-- Car ça me fait jouir ma belle.
-- Ca te fait jouir de torturer un garçon plus faible ? Tu es sadomasochiste mon pauvre Dorofeï…
-- D‘habitude, tu ne t‘en plains pas, hein ?


Un rire mesquin sortit de mon infâme gossier qui avait accueillit bien trop de langues. Elle frissonna, dégoutée, avant de se reculer. Elle se retrouva coincée contre l’accoudoir du fauteuil. Les autres étaient partis, heureuse coïncidence pour ma personne. Dépliant mes longs doigts, je parcourus le haut de son buste, remontant jusqu’à son cou; ses yeux verts me lançaient des éclairs, comme si cela était de ma faute. Mais étais-je le seul fautif dans cette histoire ?


-- Dis-moi comment s’est passé ton rendez-vous, Svetla ?





because i love you, my spirit is dead.

(re)Bienvenue ! j'adore le début de ta fiche. <3

muhàhà *zbààf*
merci à vous deux

et tu aimes ça d: *zbààf*
merci sweeswee *zbààf*

REBIENVENUE!! (aa) J'adore ton personnage, tu me réserves un super lien heinnn?

Re-bienvenue (a)

merci
muhàhà, là je galère vu qu'il manque une partie qui refuse d'apparaître --'
bien sûr pour le lien !

Rebienvenue Lucifer

(a) merci apolline
réserves-moi un lien d:

T'inquiètes c'est fait

parfait

LUUXXX DE RETOUR (:
sebastian
rebienvenue (;

yeah, pour vous jouer de mauvais tours *zbààf*
ah, j'ai bien fait de prendre sebstian (l)
thanks

nous faudra un lien hein;
OMGGG, on a pas de lien avec Lùxius?

ouais, je veux un lien avec toi
nan, même pas *sniif*; pauvre Lùxius *zbààf*

bon, j'ai finis ma fiche même si je ne suis pas satisfaite de la fin (x ça part un peu en queue de poisson &&' je déteste la Svetlana que j'ai esquissé (ironie du sort, je ne sais même pas à quoi son caractère peut ressembler dx)
les passages en rouge sont des passages de superman par eminem, je les ai laissé en anglais vu que la traduction n'est pas tip-top d:. Hum... &&' voilà quoi. x) je vous ai prévenu, ma fiche risquait d'être vicieuse XD