(c) mimi
RAJAT YASHODAN PUSHKINV
dix-sept ans ; raclewan ; septième
manipulateur ; charmant ; intelligent

♣ I AM AN OUTSIDER
Prénom ; Call me God, ça suffira xD
Pseudo ; mimi
Âge ; 24 ans
Avatar ; Luke Pasqualino
Comment avez-vous connu BE ; Demande de parto sur un autre fow
Que pensez-vous du design ; Sympa <3
Commentaires ; Là, comme ça, tout de suite ? Rien ne me vient ^^'

♣ STORY OF A LIFE TIME

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Macha, Macha, Macha. Elle m’énerve, celle là, à hanter mes pensées inavouables et inavouées. A passer devant moi, un sourire mutin aux lèvres, m’envoûtant de son parfum dont la fragrance chatouille délicieusement mes narines à chaque occasion. A se balader dans des tenues qui laissent peu de place à l’imagination. Et à me lancer des regards sans équivoques lorsqu’elle s’enferme dans sa chambre avec l’une de ses amies. Parce qu’elle sait que le trou de sa serrure me sert à des fins de voyeurisme, que je me délecte des scènes qu’elle m’offre malgré sa porte close. Et je suis persuadé que ça lui plait, ce petit jeu pervers sur lequel nous n’avons jamais mis de mot. Nous n’en avons pas besoin. Seuls les regards, les sourires, et les différentes expressions de nos faciès rythment cette distraction malsaine. Enfin, c’est un bien gros mot. Il n’y a rien de malsain là dedans. Nous ne sommes pas liés par le sang après tout, la seule chose qui me rattache à Masha, Dorofeï et leur père, c’est l’alliance qui décor l’annulaire de ma mère … et l’affection que je leur porte, bien entendu. Parce que je les apprécie, j’ai trouvé ma place rapidement parmi eux et je n’ai aucun mal à les considérer comme ma famille. C’est peut-être pour ça, finalement, que mes relations avec Masha et Dorofeï sont malsaines… On n’entretient pas ce genre de lien entre membres de la même famille. Et pourquoi donc ? Il n’y a aucun mal à se faire du bien ! et la perversité de ce monde m’a toujours fasciné quelque part.

Je suis tout de même conscient de la chance que j’ai eu, de voir ma mère épouser Antonin. Je me souviens encore, lorsqu’elle me l’a présenté et qu’elle m’a demandé mon avis et mes impressions. Elle a toujours été à mon écoute, soucieuse de mes sentiments et de mon bonheur. Je n’ai opposé aucune réticence à ce qu’elle s’unisse à cet homme puant tellement le fric que ç’en était presque écoeurant. Presque seulement. J’aimais la bourgeoisie dans laquelle nous évoluions depuis toujours, mais la richesse, la vraie, semblait bien plus grisante et passionnante. Je ne m’y suis pas trompé. Ce ne furent pas les arguments que j’ai utilisé par justifier mon opinion à ma mère. Bien sûr que non. Je lui ai assuré qu’il me paraissait bien, parfait pour elle et que si c’était là son désir et que ça pouvait faire son bonheur, alors elle avait tout mon soutient. La réponse parfaite du petit ange aimant qu’elle a élevé avec attention et soin. Si elle savait en réalité, à quel point son œuvre de perfection est perverti et préfère les prouesses des diablotins à ceux des anges, son pauvre cœur ne s’en remettrait sûrement pas.

Je n’ai jamais eu à regretter son choix. Antonin s’occupe bien d’elle et m’offre une vie plus que plaisante où je n’ai le temps de manquer de rien. Je bénéficie aussi depuis, de la compagnie agréable – et non négligeable – d’un frère et d’une sœur. Sœur qui joue avec mes nerfs, se refusant encore et toujours à moi sans même que j’ai le temps de la courtiser. Elle me résiste et cela m’agace, autant que ça me plait… Etrange paradoxe. Mais j’aime autant que je déteste cette façon qu’elle a de me narguer parfois. Comme là, alors qu’elle disparaît au détour d’un couloir, elle attrape la main de son amie et enlace leurs doigts tout en me lança l’un de ses sourires dont elle a le secret. C’est une invitation vicieuse, mais je n’y répondrais pas, pas cette fois. Il est préférable pour ma santé mentale que je me trouve une autre occupation pour le moment.

J’erre dans la maison, de pièce en pièce, cherchant de quoi m’occuper comme souvent. C’est fou ce que l’argent peut être synonyme d’ennuie parfois. Quand on a tout, on a plus vraiment envie de grand-chose…
J’entre dans le salon et mon visage s’illumine d’un sourire tendancieux tandis que mes yeux tombent sur la silhouette de Dorofeï. Je le pensais de sortie, c’est d’autant plus une agréable surprise que de le trouver ici. J’approche à pas félin et me faufile dans dos sans un bruit. J’enlace son cou de mes bras et dépose un baiser sur sa nuque, avant de souffler :

« Elle m’énerve… » Mes lèvres glissent sur sa peau, jusqu’à remonter à son oreille. « …ta frangine. » Je précise comme si cela était nécessaire. Je ne pense pas que Dorofeï ait eu un doute quant à la personne à laquelle je faisais référence.

Mes doigts se saisissent de son menton et font pression pour l’obliger à me faire face tandis que mon regard sombre plonge dans ses prunelles azurées.

« Mais heureusement, tu es là toi. »

Je capture sa bouche, terrible tentatrice et dévastatrice pour mes pauvres sens.
Loin de moi l’idée de considérer Dorofeï comme un substitut, un lot de consolation pour me remettre de mes échecs perpétuels avec Macha. Non. Il est un être entier, unique. Surprenant et toujours plein de ressources. Tant, qu’il m’est impossible de m’en lasser. Alors je me délecte de lui et de son corps avec délice et envie dès que l’occasion se présente, et je ne compte pas déroger à cette règle maintenant.
Mes lèvres se font plus insistantes et plus passionnées, et ma langue fini vite par trouver la sienne pour l’étreindre. C’est grisant et plaisant, mais pas fait pour durer malheureusement. La voix de ma mère s’élève, me réclamant alors qu’elle vient de rentrer. Je m’arrache des lèvres de Dorofeï avec difficulté, une moue déçue et boudeuse se logeant sur mon visage. Je n’aime pas être interrompu ! Encore moins dans ce genre de moment. Mais ce n’est que partie remise, et j’en préviens rapidement mon frère adoptif avant de quitter la pièce pour rejoindre ma mère qui ne pouvait pas plus mal choisir son moment.

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L’ennuie me gagne et mes doigts tapotant à intervalle régulier le bois de la table traduisent mon sentiment. J’aime étudier. Depuis toujours, j’adore acquérir de nouvelles connaissances. J’aime qu’on me fasse découvrir des choses inédites. J’ai une certaine facilité à retenir ce que l’on m’enseigne, ou à reproduire ce que l’on me montre. Je ne suis pas non plus un de ces intellectuels, le nez toujours plongé dans leurs manuels. Non. Mais j’aime l’école et ce qu’on m’y enseigne, voilà tout. Pourtant je déteste qu’on me colle un niais dans les pattes pour que je lui fasse son éducation, ou du moins, que je l’aide à se mettre à niveau. Mais je l’accepte, parce que je suis quelqu’un de bien, toujours près à rendre service. C’est ainsi que me voient mes professeurs. Comme un modèle de gentillesse, tout ma mère. C’est ainsi que je me montre aussi, parce que je sais pouvoir entrer dans leurs bonnes grâces. Et puis c’est amusant ! même si il est plus facile d’être détestable et détesté. C’est aisé d’agir comme le pire des égoïstes et de ne faire que ce que bon nous semble. Facile et plaisant. Mais c’est plus drôle d’endosser plusieurs rôles, même s’il faut supporter quelques désagréments à l’occasion, comme ces imbéciles incapables de comprendre un simple exercice en restant aimable. Quoi que je ne suis pas toujours agréable avec ce genre d’idiots. A bien y réfléchir, à part les enseignants, beaucoup savent que je ne suis pas le petit ange que je prêtant être. Pour autant, aucun ne connaît mon véritable visage. Ils ignorent tous à quel point la perversion est encrée en moi. A part Dorofeï peut-être, mais c’est différent.

Tandis que mes doigts continuent leur manège sur la table, les élèves installés autour de cette dernière se mettent à chuchoter, attirant mon attention.

« Regardez-le celui là. Fier comme un paon ! Il devrait avoir honte de lui et des horreurs qu’a commis son père. »
« Je suis sûr qu’il lui voue carrément un culte. Il est écoeurant ! »
« Je serais lui, je me ferais discret. Un jour, quelqu’un va finir par lui tomber dessus et lui faire perdre sa superbe. Ça serait bien fait pour lui. »

Il n’est pas difficile de comprendre de qui ils parlent. Les élèves de Poudlard sont rarement aussi hostiles envers leurs camarades. Mais il faut dire que Chace Oprighton accumule les fautes, et son simple passage dans la salle d’études déchaîne les passions et délie les langues.

« Vous avez fini ? Ce n’est parce qu’il est ‘le fils de’ qu’il pense ou agis comme lui. »J’ai également chuchoté, mais un brin plus fort qu’eux pour que l’intéressé entende ma prise de partie. D’ailleurs, cette dernière étonne et on me regarde, interloqué. Il est vrai que même si je me fais assez amicale et compréhensif envers les autres, je n’ai jamais montré de sympathie ou de compassion pour Chace. Aussi parfait que soit mon rôle, je ne supporte pas qu’on me regarde de haut, me dédaignant et qu’on essaie de me marcher littéralement sur les pieds. Alors, j’avais beau pensé ce que je viens de lancer depuis le début, je n’avais fait part de cela aux autres, laissant ce crétin arrogant dans sa bouse de dragon. De toute façon quel intérêt aurais-je eu à l’aider ou à prendre sa défense ? Aucun. Mais la donne a récemment changé et le jeu en vaut la chandelle.

Comme beaucoup – comme moi – Chace se dissimule derrière un masque, mais le sien est contraire au mien. Il feint l’arrogance et son caractère détestable, alors qu’il est en réalité d’une fragilité déconcertante. J’ai eu la chance de tomber sur lui lors d’un moment de faiblesse, me dévoilant son être véritable, et quelle exquise découverte ! Depuis, j’ai pour idée de m’en rapprocher, de m’en faire un ‘ami’, histoire d’exploiter au mieux ses faiblesse en vu d’un éventuel lynchage en publique. C’est un projet ambitieux, car je n’ai pas connaissance de quelqu’un ayant réussi à l’approcher d’aussi près. Mais j’aime les défis ! et j’en ai plusieurs sur ma liste. Comme un concernant Tristan Grint, un ami de maison. ‘Ami’ étant un bien grand mot. Je n’ai que des connaissances, mais il est tellement facile de leur faire croire qu’ils comptent. En ce qui concerne Tristan, je feins cette amitié depuis plusieurs années déjà, au cas où un jour, il me deviendrait utile, mais mon intérêt pour lui est devenu tout autre à présent. Les rumeurs concernant son indécisions et sa soit disant incapacité à perdre sa virginité sont tellement persistantes que j’ai fini par me prêter au jeu. L’envie d’être celui à le pousser au vice en premier s’est fait une place dans mon esprit et je redouble d’attention à son égard dans ce but précis. Et qui sait ? une fois que j’aurai correctement fait son ‘éducation’, je l’enverrais faire un tour du côté de Dorofaï. Je ne suis pas prêteur, je n’aime pas qu’on touche à mes affaires, mais je peux bien partager tout ce que j’ai si c’est ce que mon frère adoptif désir.

Bienvenue (:

muhàhà, j'osai pas poster avant que quelqu'un le fasse *ZBAFF !*
han, j'ai un frère {trois heures pour trouver ce smiley xD}
ha nan, dieu c'est moi ! faut pas tout mélanger *ZBAFF*
après ce préambule : bienvenue {ouais, j'ai dû te faire assez peur comme ça *ZBAFF !*}

Merci

Dorofeï A. Pushkinv a écrit:

ha nan, dieu c'est moi ! faut pas tout mélanger *ZBAFF*

C'est ce qu'on verra

Rajat Y. Pushkinv a écrit:





Dorofeï A. Pushkinv a écrit:


ha nan, dieu c'est moi ! faut pas tout mélanger *ZBAFF*

C'est ce qu'on verra

(a) je ne demande que ça *ZBAFF*

Bienvenue

Dorofeï A. Pushkinv a écrit:

(a) je ne demande que ça *ZBAFF*

Ne soit pas si pressé

Ceallach&Avery : Merci <3

Je pense avoir terminé