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Càllixte Katarzyna Pietrowsky
18 ans ; maison ; huitieme année

Càllyxte Un prénom masculin, tout droit venu du grec Kallistos, "le plus beau" qui me fut donné par son père. Celui-ci voulait un autre fils, à la place ce fut une frêle poupée de porcelaine mais qu'importe ce nom me va si bien, paraît-il. Katarzyna Certaines personnes croient que ma famille descend de Katarzyna Jagiellonka, reine de Suède et princesse de Pologne entre 1568 et 1583 et que ce prénom m'a étè donné en hommage à mon illustre ancêtre. Mais personne ne sait si cela et vrai ou non, mis à part ma famille et moi-même. Pietrowsky. Originaire de Suède, ma famille y est trés puissante et respectée. Nous sommes connus comme étant une de plus anciennes familles Suedoise, certains vont même jusqu'à prétendre que nous aurions du sang bleu mais ces rumeurs restent infondées. Sang pur, cela est une certitude. Sang bleu, cela reste une rumeur. Mais au fond, je ne comprends pas et ne cautionne pas cette manie absurde de qualifier ainsi le sang. Après tout, il s'agit bien du même que n'importe qui d'autre. Tout comme vous, mon sang n'est que plasma, hématies, lymphocytes, hémoglobines et autres cellules. Il n'est pas plus pur que le votre, ni moins rouge.

Fragile ; Intelligente ; Sauvage ; Observatrice ; Curieuse ; Inconsciente ; Intelligente ; Senssible ; Obstinée ; Brisée ; Erudit ; Lunaire ; Melomane ; Talentueuse ; Libre ; Independante ; Polyglotte ; Mélancolique ; Mefiante ; Tolerante ; Enjouée ; Charismatique ; Loyale ; Frêle ; Impatiente ; Mystérieuse ; Tête brûlée ; Anorexique? ; Exigeante envers elle-même ; Délurée ; Desillusionnée

♣ STORY OF A LIFE TIME



One;


Shakespeare a dit un jour : « Hell is empty, all the devils are here ». Malgré ses huit jeunes années, Càllyxte avait déjà bien compris cela. D'ailleurs quelques instants auparavant, elle avait fait face à l'un de ces diables et il était encore là, quelque part dans une pièce du bâtiment. Petit ange blond au teint livide et au regard inhabituellement éteint, elle se tenait assise bien droite sur la chaise où on l'avait prié de s'asseoir, enfermée dans son mutisme, les mains encore tâchés du sang sa mère. Les aurors la regardaient inquiets mais n'osait pas la brusquer, ils avaient déjà tentés de lui enlever le sang qu'elle avait sur les mains mais à chaque fois qu'ils s'approchaient de l'enfant, celle-ci avait un brusque mouvement de recule, sans doute apeurée et choquée.

Lorsque la porte de bureau s'ouvrit à la volée, ils détournèrent le regard vers Almar Pietrowsky, le père de la fillette, l'air terrassé et affolé; accompagné de son fils Svenn, tout aussi livide que sa jeune soeur; et de son frère Cadfan qui semblait être celui à avoir le plus de sang froid malgré un trouble évident. A peine eut-il pénétré dans la pièce avec fracas qu'Almar se rua au devant du bureau et se pencha au-dessus pour être encore plus proche des trois aurors et demanda avec un calme froid et inquiétant comment cela avait-il pu se produire. L'adolescent, lui, s'était dirigée vers sa cadette et s'accroupit face à elle, il voulu la prendre dans ses bras mais il fut arrêté par la vision du sang sur ses mains d'enfants. Il releva un regard mi-effrayé, mi-inquiet vers la fillette puis vers son oncle qui fit immédiatement apparaître de quoi lui laver les mains. Ce que Svenn s'empressa de faire, comme pour effacer toute trace de ce qui venait de se passer. Mais il était déjà trop tard, la scène était déjà ancrée dans la mémoire de Càllyxte, repassant en boucle inlassablement dans son esprit choqué.


Flashback


Ingeborg _ Càllyxte, ne t'éloigne pas trop. Nous n'allons pas tarder à rentrer.

Le fillette qui déjà s'éloignait en direction d'un magasin de musique, ne prit pas la peine de répondre et laissa sa mère devant l'étale de l'épicerie. En admiration devant un piano à queue d'un blanc éclatant, elle ne prêtait guère d'attention à sa mère qui faisait les courses à une bonne quinzaine de mètres. Consciente du fait qu'il faudrait un bon quart d'heure à sa mère, elle pénétra dans le magasin pour aller observer l'instrument de plus près et par la même occasion les partitions qu'elle savait entreposé dans une grande bibliothèque au fond de la boutique.
Plus bas dans la rue, sa mère avait observé son manège mais la laissa faire, connaissant la passion dévorante de sa fille et la sachant en sécurité dans ce magasin, qu'elle fréquentait régulièrement. Elle prit donc son temps pour faire ses courses, prenant soin de ne rien oublier. Puis commença doucement à remonter la rue pour aller chercher sa fille avant de rentrer. En chemin, elle fut stoppée brutalement par un rustre qui la saisit par le bras et l'attira le plus près du mur possible derrière une pancarte pour ne pas éveiller la curiosité des quelques passants, qui se trouvaient dans la rue à cette heure tardive de la matinée. Les cheveux en bataille, le regard mauvais et la barbe mal-rasé, l'homme d'une quarantaine d'année tenait dans sa main libre une sorte de dague portant une inscription sur la lame, qu'il pointait vers elle et quémanda son argent d'un air menaçant. Au même moment Càllyxte sortait en courant du magasin de musique en appelant sa mère voulant lui montrer une trouvaille fabuleuse. Ingeborg quant à elle hésita un instant mais bien trop impétueuse pour se laisser voler, décida d'écouter son courage et tenta de prendre la fuite. Elle envoya un coups de pieds féroce dans le tibias de son agresseur qui la lâcha un court instant avant de la ressaisir presque aussitôt par le poignet alors qu'elle avait tout de même réussi à surgir de derrière la pancarte et s'apprêtait à courir vers sa fille. Cette dernière crut tout d'abord à une farce de sa mère et ne bougea pas, se contentant de l'appeler à nouveau.

Càllyxte _ Maman, dépêche-toi. Il faut que j...
Ingebord _ Retourne dans le magasin!

La mère avait coupé sa fille alors qu'elle se sentait tiré en arrière, rattrapé par le voleur. Mais tout se passa trop vite et Càllyxte resta plantée au milieu de la rue alors que les passants se retournaient pour voir l'origine du tapage. Le criminel en rattrapant Ingeborg, l'avait tiré vers lui et alors qu'elle se retournait pour lui faire face à nouveau, il enfonça son arme dans la chair de sa poitrine, transperçant son poumon. Elle poussa un cri déchirant d'agonie avant de s'écrouler par-terre sous le regard horrifié des passants impuissants et de sa fille qui resta l'espace d'un quart de seconde immobile, horrifiée avant de se ruer vers sa mère en appelant hystérique.

Càllyxte _ Maman ?! Maman?!

Une fois arrivée à sa hauteur, elle se laissa tombé à ses côtés, regardant successivement le poignard et le visage au regard inexpressif de sa mère. Elle était morte, un filet de sang sortant de ses lèvres entre-ouverte. Son poumon s'était rempli de sang en l'espace de quelques secondes, obstruant ses voies respiratoire et la tuant. En larme, elle enleva l'arme ensanglantée de la poitrine inerte de sa mère et essuyant le sang qui coulait de sa bouche. Plus loin, un homme avait fait barrage au tueur et le maintenait fermement à terre, tandis que quelqu'un d'autre s'était empressé d'aller dans la rue adjacente chercher des aurors. Les gens étaient sortis des magasins et regardaient en retrait l'enfant qui pleurait sa mère et n'avait de cesse d'essuyer le sang qui s'écoulait de la bouche de sa mère comme pour conserver la beauté et la pureté de son visage sans vie.


Fin du Flashback


Toujours enfermée dans son mutisme, des larmes coulant sur ses joues au teint cadavérique, Càllyxte se trouvait désormais dans les bras de son frère qui regardait son père incendiait les aurors, emporté par son désespoir et son chagrin, les insultants presque et leur intimant de le mener au meurtrier de sa femme, chose qu'ils refusèrent, évidemment. Cadfan intervint, tentant de calmer son frère tant bien que mal.

Cadfan _ Par Merlin, calme-toi ! Ils n'y peuvent rien pas plus que toi, alors calme-toi. Et puis, tu ne crois pas que Càllyxte en a assez vu pour aujourd'hui.

La mention de sa fille sembla le calmer, du moins c'est ce que tout le monde cru. Almar se tourna vers sa fille pleurant en silence dans les bras de son aîné. Son regard était étrange, il n'était pas celui que l'on aurait pu s'attendre à voir. Il était ampli de haine, de rancoeur et de douleur et les mots qu'il prononça froidement avec une pointe de dégout marquèrent à jamais la jeune Pietrowsky.

Almar _ C'est ta faute ! Tu étais avec elle et tu l'as laissé mourir. Tu as tué ta propre mère.

Sur ces mots haineux il quitta la pièce laissant l'assemblée choquée de le voir ainsi accablé un peu plus son enfant. Cadfan sortit sur les talons de son frère en lui hurlant après laissant les trois aurors atterrés et son neveu tout aussi choqué qui serra un peu plus fort sa jeune soeur.

Cadfan _ Tu es fou. Tu es peut-être sous le coup de l'émotion mais ce n'est en rien une raison pour s'en prendre à elle. Elle n'y est pour rien. Par mille bouses, c'est ta fille, une gamine de huit ans qui vient voir mourir sa mère !

Shakespseare a dit un jour : « Hell is empty, all the devils are here » Et en ce jour plus qu'un autre, Càllyxte constatait la véracité de ces propos mais ce qu'elle ignorait ce que son père deviendrait l'un d'entre eux.

Quelques semaines après ce meurtre, les Pietrowsky déménagèrent en Angleterre, un moyen comme un autre de fuir la réalité de cette mort. Mais depuis ce jour fatidique Almar Pietrowsky ne fut plus le même homme, du moins pas avec sa fille. La tenant pour unique responsable de la mort de sa femme puisqu'il était plus simple de se dire cela plutôt que de voir la vérité en face : sa femme avait été tuée pour une poignée de gallions d'or.


Two;

Càllyxte _ Jag fick mitt brev Hogwarts ! Jag fick mitt brev Hogwarts !*

Courant à tout vitesse à travers le parc, Càllyxte brandissait fièrement une enveloppe portant le sceau de la célèbre école de magie. Tout en criant, elle continuait son chemin, poussant la barrière menant à la partie du parc réservé aux animaux qu'étudiaient son oncle. Ainsi, elle passa devant différents enclos dans lesquels on retrouvait des eruptifs, des abraxans mélangés avec des ethonans, des hyppogriffes ou encore des Grapcornes. Certaines des créatures furent effrayés par tant de tapage mais cela n'arrêta pas l'enfant qui accéléra encore un peu après un virage serré sur la gauche . Quelques secondes plus tard, la grande volière apparaissait dans son champ de vision. Alertés par les cris de Càllyxte, deux molosses sortirent du bâtiment en aboyant et vinrent à sa rencontre. En l'espace de quelques instants, l'enfant et les deux chiens arrivèrent à la volière et firent dans celle-ci une entrée fracassante effrayant et énervant la plupart des volatiles. Càllyxte s'arrêta nette et chercha du regard on oncle n'espérant même pas l'entendre à cause du vacarme produit par les aboiements et le bruissement des ailes. Lorsqu'elle repéra enfin Cadfan devant la grande cage dorée des diricos, elle courut à sa rencontre et lui sauta dessus. L'homme la rattrapa au vol et lui lança un léger regard de reproche accompagné d'un sourire rieur.

Cadfan _ Si tu continus à faire de telles entrées, tu vas les traumatiser et ils deviendront tous aussi fou que le grand oncle Manfred.

La mention du grand oncle fit sourire Càllyxte qui se éclata de son rire enfantin et communicatif lorsqu'elle regarda en direction de la cage des diricos. Les pauvres oiseaux, craignant un danger imminent, tentaient désespérément de s'enfuir. Ainsi tous disparaissaient en laissant derrière eux un tourbillon de plumes pour réapparaître quelques mètres plus loin. Mais la cage avait été ensorcellée de telle sorte qu'ils ne puissent en sortir.

Cadfan _ Càllyxte Katarzyna Pietrowsky, ce n'est pas marrant. Ils vont mettre des heures à se calmer et je ne vais pas pouvoirs faire les étudier aujourd'hui comme cela était prévu.

Malgré tout Cadfan ne pu réprimer un léger rire alors que Càllyxte, elle, cessait de rigoler mais conservait un magnifique sourire et reprit à nouveau dans sa langue maternelle et d'une voix chantonnante.

Càllyxte _ Jag fick mitt brev Hogwarts !*

Son oncle la déposa et la regarda fièrement avant de prendre la lettre et de la lire. Il savait l'envie de sa nièce d'aller tout comme son frère dans cette école tout comme il savait également qu'elle serait mieux là-bas plutôt qu'ici à supporter sans rien dire les réflexions et l'ignorance de son père à son égard. Un large sourire aux lèvres, il releva la tête.

Cadfan _ Alors, Prinsessa comptes-t-tu briller parmi les Gryffon comme Svenn ou préférerais-tu une autre maison ?
Càllyxte _ Peu importe ! Je vais à Hogwarts !
Cadfan _ J'espére que tu n'oublieras pas ton oncle là-bas. Sinon, je me verrais obligé de t'envoyer une armée de lutin de cornouailles pour te rappeler mon existence.
Càllyxte _ Bien sûre que non! J'emmène Thymus et je te promets de t'écrire souvent!

Comment pourrait-elle oublier son oncle une fois à Hogwarts, après tout on pouvait aisément voir qu'il lui faisait office de père alors que son géniteur lui ne pouvait plus la regarder sans cracher son venin. Lorsqu'il avait vu la lettre, il s'était contenté de dire qu'il il était temps, avant de partir s'enfermer dans son bureau.

Quelques mois plus tard, Càllyxte foulait le sol de Hogwarts pour la première fois. Durant la traversée du lac, elle se trouvait dans le bateau de tête en compagnie du gardien des clefs du château et avait porté la lanterne tandis que la garde chasse se rappelait de son frère aîné lorsqu'il étudiait encore à Hogwarts. Une fois arrivé sur la rive, les autres premières années et elle, furent conduit jusque dans le hall, où ils patientèrent devant les portes de la grande salle d'où s'échappait la rumeur des conversations des élèves des années supérieures. Tout était exactement comme Svenn l'avait décrit et comme il l'avait dit, ce fut le professeur Hopkins qui vint les chercher pour les conduire dans la grande salle. La répartition débuta et peu les rangs des premières années maigrissaient tandis que les différentes maisons accueillaient les nouveaux arrivants.

Professeur Hopkins _ Pietrowsky, Càllyxte.

Càllyxte s'avança, une fois devant le tabouret, elle se tourna pour faire face aux autres élèves assis aux quatre tables qui tous la dévisageait, elle vit quelques élèves murmuraient, sans doutes avaient-ils connu Svenn, du temps de sa scolarité, après tout cela ne faisait que deux ans qu'il avait fini ses études. Pas le moins décontenancé par tous ces regards posés sur elle, elle s'assit sur le tabouret et Hopkins, déposa le choixpeau sur ses longs chevaux blonds, tandis qu'elle se souvenait de ce que son oncle lui avait dit : « Tu allies la hardiesse d'un Griffindor, la ruse d'un Slytherin, l'intelligence d'un Ravenclaw et la loyauté d'un Hufflepuff. Tu trouveras ta place dans chacune de ses maisons. Quoi qu'il arrive rappel-toi de ce que William Henley a écrit dans son poème. » Son oncle adorait ce poème et avait des deux derniers vers de celui-ci sa devise. Alors que le Choixpeau se plongeait dans les méandres de son cerveau et de sa mémoire, Càllyxte récita à voix basse ces deux vers.

Càllyxte _ "Je suis la maitre de mon destin,
Le capitaine de mon âme."



* J'ai reçu ma lettre de hogwarts !


Who she is;

Fragile et intelligente. Ce sont les deux termes les plus employés pour la décrire. Mais les gens ne mesurent pas à qu'elle point le premier et lié au second. L'intelligence, le savoir ou encore la connaissance. Trois vertus étroitement liées et souvent convoitées que possède Càllyxte mais les gens ne réalisent pas à quel point elles sont à doubles tranchants. Déjà petite, la jeune fille était plus intelligente que les autres, tout le monde trouvait ça parfait, excellent, il ne réalisait pas et ne réalise toujours pas que l'on peut être trop intelligent. Elle l'a trop vite compris c'est sans doute cela, le problème. Comprendre et savoir, cela lui a ôté sa candeur et son innocence, elle aussi aurait voulu croire au conte de fée et ne pas savoir que ce n'était que des histoires inventées pour insufflé du rêve et de l'espoir aux enfants. Elle aussi aurait aimé croire que le monde qui l'entourait était merveilleux, ampli de personnes ayant uniquement de bonnes intentions et dans lequel le bien triomphe toujours. Mais elle savait, elle avait compris alors elle n'eut d'autre choix que de faire face à la réalité d'un monde souvent sans pitié et cruelle. Bien sûre, étant donné sa condition, le monde qui l'entourait ne pouvait pas être si hostile mais elle a toujours possédé cette empathie, cette capacité de se mettre à la place des autres et de comprendre. Ainsi avait-elle compris que son monde n'était qu'une bulle dorée bien loin de la réalité et elle ne pouvait que constater la véracité de sa penser lorsqu'elle sortait du vieux château familial. C'est donc son intelligence et sa capacité de compréhension, qui l'ont rendu si fragile, si désillusionné.
Pourtant, elle a toujours su garder son désespoir pour elle, du moins ne l'a-t-elle jamais exprimé, faisant tout ce qu'elle pouvait pour garder sa fraîcheur, son malice et sa bonne humeur. Le plus étonnant reste sa curiosité malgré ce que le fait de savoir pouvait lui faire, elle a toujours voulu en apprendre plus, continuant chaque jour de nourrir sa soif de connaissance. Ses parents qui tenaient a ce qu'elle est une éducation digne de son rang, ne purent qu'être ravie face à tant de curiosité intellectuelle. Ainsi, elle reçut une excellente éducation. Allant de la musique et du piano, jusqu'aux règles de bienséance et politesse, en passant par l'histoire de son pays natale et l'apprentissage de plusieurs langues. Ainsi Càllyxte est polyglotte et peut parler avec vous en suédois, en anglais, en français, en italien et en espagnol. Bien que les rouages de l'italien et de l'espagnol lui résiste encore quelque peu et qu'elle conserve dans chacune de ses langues son accent nordique.
En dépit de toute cette éducation, la jeune fille n'en reste pas moins semblable à tout autres adolescents de son âge. Faisant preuve d'une obstination à toutes épreuves et d'une bonne humeur qui ne dissimule pourtant pas sa fragilité et sa mélancolie. C'est aussi quelqu'un de particulièrement rêveur et lunaire, elle semble toujours partie dans un autre monde et se montre parfois, même souvent étrange mais cela n'enlève rien à son charme ou encore à son charisme. Dévouée et protectrice envers ses poches, elle reste pourtant sauvage, refusant de se livrer ou encore de s'ouvrir complètement, préférant laissé planer le mystère qui l'entoure et garder pour elle ses problèmes. La jeune suédoise ne se laisse pas approcher facilement, il faudra vous armer de patiente. Méfiante, elle a dû mal à faire confiance aux autres sachant les apparences trompeuses, d'ailleurs, elle ne se fait même pas confiance à elle-même.
Malgré tout, cela n'enlève rien à son enjouement, presque toujours souriante et rieuses. Animée d'une douce folie et d'une soif de liberté évidente, elle ne se plie qu'à ses propres règles parfois loufoques et n'écoute presque personne à part elle-même.
Autant dire que pour beaucoup la jeune fille est un personnage parfois loufoque mais somme toute très attachante. Sa fragilité et surtout cette impression constante que d'un moment à l'autre elle va tomber, se briser en mille morceaux, touche les personnes et même celles qui ont la réputation d'être les plus insensibles. Peut-être est-ce aussi le fait de la voir être si exigeante envers elle-même qui pousse les autres à êtres plus indulgents. En effet, si douce peut-elle être envers les autres, elle est d'une extrême dureté avec elle-même, ne se trouvant jamais à la hauteur, jamais assez bien. Son oncle vous direz que c'est parce qu'elle se voit à travers le regard de son père. Elle n'a de cesse de vouloir de lui un geste, un mot montrant sa fierté ou mieux son amour envers elle. Mais cela est peine perdue, il ne voit en elle que la cause de son désespoir et elle a fini par croire en ce qu'il disait. Elle a fini par se croire coupable. Et c'est le poids de cette culpabilité accompagnée du regard de son père, qui la tue un peu plus chaque jour, la tirant un peu plus vers le bas chaque jour, sans qu'elle ne dise rien. Elle sombre un peu plus chaque jour, en est consciente et ne fait rien pour s'en sortir, pire elle le dissimule aux yeux des autres croyant sa douleur méritée.






Spoiler:

Bienvenue
je vote pour Sasha
& j,adore ton prénom!!

Bienvenue! (aa)
Je vote pour Julia!

Bienvenue (:

Hum. Il n'y a qu'un problème, le professeur Mcgonagall est morte depuis quelques temps déjà! change juste ce passage s'il te plait. ^^

Entre temps, j'avoue avoir eut de la difficulté à choisir vu qu'on ne voyait pas beaucoup d'indications pour le caractère de Càllixte, mais je serai portée de l'envoyé à Poufsouffle. Est-ce que ça t'irait?

Pour le caractère ce n'étais pas vraiment ça le problème. C'Est juste que tu parles de la professeur Mcgonagall alors qu'elle est morte depuis belle lurette... Invente un nom au pire. =)

Après, je pourrais te mettre la couleur qui te convient, c'est à dire celle des bleus! (aa)

Ce n'est pas grave, héhé. Sinon, avec le bout que tu as rajouté, je te voyais plus chez les serdaigle, ça te va? =)

Voili voilou! (aa)