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• Un casse dalle presque parfait ....

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Sirius Orly W. Lupin

Sirius Orly W. Lupin

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• Un casse dalle presque parfait .... Vide
MessageSujet: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeMer 16 Déc - 18:49


Un casse dalle
« de poussinou et princesse » presque parfait !!


    aaaaa


    Il est exactement minuit lorsque je me faufilais hors de ma salle commune. Depuis deux ans, Miria et moi-même observons un petit rituel tous les jeudis soirs. C’était une habitude maintenant et pour rien au monde, je la laisserai tomber. C’était simple, il suffisait juste que je me glisse jusqu’à sa tour. Elle m’y attendait, souvent cachée derrière une grosse statue de marbre. Ensuite, on dévalait les étages pour se retrouver aux cuisines. Et pour finir, on s’en mettait toujours plein la panse. C’était vrai qu’après notre passage, ce n’était plus une cuisine mais un champ de bataille. Cette fois ci je le pressentais ne fera pas exception à la règle. Je remontais al fermeture éclair de mon sweat noir et en rabattit la capuche sur mon visage. Je me fondais ainsi complètement dans l’obscurité de la nuit. Seul mes yeux étincelaient comme deux orbes brillantes. Je n’avais pas besoin de ce camouflage mais c’était drôle et ça faisait toujours rire Miria. Elle était bien sur au courant de ma petite condition. Cela ne le l’avait jamais effrayé même bien au contraire. La si sage Miria Potter venait souvent m’embêtait quelque jours avant les pleines lunes car elle adorait tout simplement me faire enrager. Vive la famille ! Je continuais ma marche silencieuse en frôlant les murs, les sens aux aguets. J’étais ainsi à l’écoute du moindre bruit suspect, du moindre miaulement que signifierait l’arrivée imminente d’un concierge aigri et bourru. Je détestais cet homme. Il ne m’aimait pas non plus. Mais sa face de macaque et son haleine fétide avaient eu plusieurs fois raison de ma patience et de mon calme. Il était rare que je me mette en colère et pourtant …. Alors je prenais le parti de l’éviter un maximum. Je ne pouvais pas éviter les retenues hélas mais je ne les faisais plus avec lui pour ma grand-chose et pour la sauvegarde du reste de sa santé mentale. Je lui avais porté préjudice il y a deux ans, en dévoilant aux yeux de tous une photo reflétant parfaitement les a=envies de ce pervers mégalomane. J’aurais u être renvoyer pour ça de plus, mais personne n’avait pu prouver mon tort. J’avais été surveillé et grondé après bien sur. Mais j’avais gardé mon calme, ma nonchalance et avais joué parfaitement la comédie sans me vanter de l’acte. Malheureusement, pour tous els étudiants, l’affaire fut vite clos et le concierge accablé garda sa place. Enfin, je l’aurais une autre fois … J’étais de toute façon devenue sa bête noire. Je descendais les quelques marches qui me menaient à la salle commune des Serdaigle. Tout était si calme, que je me laissais à dodeliner de la tête charmé par els bruits que moi seul pouvais entendre. Le silence n’était pas vide, au contraire de ce que beaucoup de personne pouvait penser. Elles ne savaient juste pas écouter…. Miria n’était pas là ou du moins pas encore là. Je ne m’en inquiétais pas. Elle devait juste avoir un problème avec une de ses camarades de dortoir curieuse, groupie à ses heures perdues ou fouine à plein temps. Elle pouvait aussi juste roupiller gentiment. Dans ce cas là, j’irais gentiment la réveiller dans dix minutes. Je m’installais en attendant contre un pan du mur, dans le noir et complètement invisible.





    Je soupirais après dix minutes d’attente. Je possédais le mot de passe de la salle commune des Serdaigle, j’y avais de nombreuses conquêtes. Mais je préférais ne pas y rentrer de peur de ne jamais en ressortir. Mais Miria ne semblait pas vouloir pointer le bout de son si magnifique nez. Je bougeais légèrement en direction du tableau. Il s’ouvrit bien avant que j’y arrive et une silhouette en sortit la tête. Je regardais amusé ma cousine examinais les environs avant de laisser se refermer doucement le tableau. Elle ne semblait pas m’avoir encore vu. Il fallait dire que je n’étais pas encore visible. Il y avait un seul rayon de lune dans le couleur et je n’étais pas dessus. Je la contournais sans bruit pour arriver dans son dos. Elle avait laissé un peu d’espace entre son tableau et elle-même. Rapidement, je lui plaquais une main sur la bouche pour l’empêcher de hurler, lui attraper la main qu’elle essayait de me balancer et coincer ses pieds. – Oh calme poussinou l’apaisais je en chuchotant dans son oreille.
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Lexxie
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Lexxie

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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeMer 16 Déc - 19:33

    Tic tac, tic tac. Les yeux rivés sur le réveil, la sorcière n'arrivait pas à s'endormir. Non, elle n'y arrivait pas. Pour parler avec honnêteté et franchise, elle n'avait pas envie de s'endormir. Elle avait bien d'autre chose à faire ce soir là. Le jeudi soir était sacré dans les habitues de la jeune sorcière, pas question de déroger à la tradition. Elle avait été se couché bien avant les yeux, histoire de dormir un peu avant qu'elle fasse son escapade nocturne. A cet instant, elle était encore couché, ses yeux fixant le réveil, les ronflements de sa voisine couvraient presque le son du réveil. Minuit sonna. La sorcière tira sa couette d'un seul coup. Lorsqu'elle se découvrit, on remarqua qu'elle était presque entièrement habillé. Elle avait sa jupe déjà mise. Elle attrapa son pull posé sur la chaise juste à côté du lit, un pull basique et noir. La sorcière sur la pointe des pieds attrapa une pince et releva sa frange qu'elle attacha avec la pince de façon à ce que cette dernière ne lui tombe pas sur les yeux. Ce soir là, le dortoir était bercé par des ronflements. La sorcière avait horreur de cela. Elle refit alors son lit, et une fois son oreiller à la main, elle eut l'irrésistible envie de le jeter sur le lit de la ronfleuse histoire qu'elle arrête. Mais, mauvaise idée. Elle finit par hausser les épaules, et reposa délicatement l'oreiller sur le lit. La sorcière sorti de la chambre sur la pointe des pieds. Elle sorti doucement, et se retrouva nez à nez face à quelqu'un entrant dans le dortoir des garçons, en face. Elle étouffa presque un cri. Le garçon la regarda figé. Le première année esquissa une mine horrifié. Il n'avait pas le droit de sortir, il le savait, il entra à toute allure dans le dortoir claquant la porte. L'air incrédule la sorcière haussa les épaules. Elle venait d'avoir un des frayeur de sa vie.

    Miryà avait le visage assez fatigué. Cela faisait deux nuits qu'elle ne fermait pas l'œil. Il y avait bien longtemps qu'elle n'avait pas si peu dormit. Cela faisait bien longtemps que ses cauchemars ne s'étaient pas manifesté. Elle avait lu beaucoup de livre à ce sujet, dans le monde des sorciers ressasser les mêmes rêves, et les mêmes cauchemars n'était une chose sainte. Elle préférait ne pas y penser. Elle avait lu que parfois cela pouvait s'agir de rêve prémonitoire, mais elle espérait du fond du cœur que ça n'était pas vrai, voir sa propre mort n'est pas un bon présage, elle l'avait lu dans un livre de divination. Chassant l'idée de son esprit, elle dévala les escaliers dans le silence totale. Déjà en retard pour son rendez vous nocturne, elle pressa légèrement le pas, par miracle son rendez vous n'avait pas forcé le code de la tour. Son rendez vous n'était autre que son cousin plus ou moins éloigné, en la personne de Sirius Lupin. Le jeudi soir, c'était sacré, lui et elle allaient manger dans la cuisine de Poudlard. Elle aimait beaucoup cuisiner, oui, elle aimait beaucoup cuisiner, Sirius était un gouteur, celui qui était le premier à subir ou bien a profiter de sa cuisine. Elle aurait pu faire cuisinière, elle avait suffisamment de talent, mais tout ce qu'elle voulait être c'était auror, elle avait toujours voulu être auror, rien ni personne ne pouvait la changer de sa voie. Combattre le mal, elle l'avait toujours vu comme une vocation, pourtant depuis presque cinquante ans, le mal avait été radié de la surface de la terre, par un membre de sa famille.

    Poussa le tableau, elle apparut progressivement dans l'encadrement. Quelque chose, quelqu'un la pris. Quelqu'un arriva dans son dos. Paralysé par une main sur sa bouche et ses mains prises, elle étouffa un cri, faute de pouvoir faire mieux. Elle avait peu, peur jusqu'à ce qu'une voix familière pointe juste au creux de son oreille. Pourquoi diable sirius devait il lui faire peur à chaque fois ? Elle poussa un soupire et en guise de vengeance mordilla la main de son cousin. Juste représailles. Quand il marmonna quelque chose, il relâcha peu à peu son emprise. La sorcière se défit de son étreinte et se tourna vers lui, en esquissant un sourire, et fit 'comme les ninja'. Elle retorqua :

    - Quand on attaque Poussinou, Poussinou contre attaque !

    La sorcière rit alors, en silence, enfin... elle essaya de rire en silence. Elle pris alors son air innocent, l'air qu'elle avait tout le temps sur le visage. L'air innocent made in Miryà. Elle était angélique, ça oui, angélique. Elle sourit à son cousin et lui posa un bon gros bisou sur la joue, histoire de lui dire bonjour en pleine nuit. La sorcière traça alors sa route, direction les cuisines. Elle attendit que Sirius lui emboite le pas. Elle était de bonne humeur ce soir, bien que ces yeux soient fatigué, comme souvent, mais les gens qui la connaissaient avaient l'habitude de la voir en manque de sommeille, sans pour autant en connaître la cause, elle parlait d'insomnie, ne parlant jamais de ses cauchemars, y penser l'effrayait à vrai dire.


Dernière édition par Miryà Lexy C. Potter le Dim 20 Déc - 18:48, édité 2 fois
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeMer 16 Déc - 20:47

    Ma cousine avait de la force à ne pas en douter. Pas assez heureusement pour pouvoir me mettre en échec. Mais elle cachait bien son jeu la petite furie. Oh oui car sous ses airs purement angéliques je savais qu’elle cachait un petit démon. Je pouvais parfois même lui voir pousser une queue de diable en opposition avec l’auréole qu’elle pouvait également détenir. Je relâchais la pression alors qu’elle commençait à me mordiller les doigts. Si elle voulait m’imiter c’était juste un peu raté. Quoique je le geste était mignon et il fallait savoir l’interpréter à sa juste valeur. Ici cela avait bien l’air d’une vengeance surplombée de moquerie enfantine. Elle était tout a fait charmante ma cousine. - Quand on attaque Poussinou, Poussinou contre attaque ! fanfaronna elle en faisant tourner ses petits poings blancs. Je haussais un sourcil franchement amusé avant de m’incliner bien bas en signe de soumission. – Vous êtes un maître dans l’attaque Jedi Poussinou déclarai je alors le plus sérieusement du monde. Je ne savais pas si Miria allait comprendre le mot Jedi. C’était après tout moldu. Je le devais à Tibbie d’ailleurs qui une fois c’était prise pour un certain Anakin. Enfin du coup, j’avais refait ma culture sur le phénomène Jedi chez les moldus. Elle me planta un énorme bisou sur la joue alors que je souriais content. J’adorais qu’on me fasse des bisous et des câlins. Non rectification, j’adorais que Miria m’en fasse. Elle disait souvent que c’était parce que j’étais un mal d’amour. Je la regardais toujours bizarrement à ces moments là. D’ailleurs, elle se reprenais très vite en balayant sa remarque d’un signe de main et en déclarant que c’était impossible, surtout pour moi. Je finissais toujours par en rire, et elle finissait boudeuse entre mes bras. Je lui ébouriffais affectueusement les cheveux en retour alors qu’elle commençait à partir vers les étages inférieurs. Elle s’arrêta à l’abord des escaliers. J’étais la vision des deux. Nous n’allumions jamais notre baguette mais je voyais pour deux. J’étais la petite lumière dans l’obscurité. Oui j’adorais me lancer des fleurs de temps en temps. Je lui présentais mon bras et commençais à descendre lentement les marches lorsqu’elle l’eut saisi. – Et plus qu’une marche et hop bienvenue à l’étage des cochons sauvages. Dis je doucement pour ne pas alerter tous les environs. Je ferai certainement un très bon guide touristique mais je préférais que seule Miria profite de mes inepties. On continua à marcher en se chamaillant doucement. Un franchit encore deux autres étages et nous arrivions enfin dans le hall complètement silencieux. C’était l’endroit de pratiquement tous mes délits. Les trois quarts de mes blagues avaient un lien direct avec cet endroit. Tout simplement parce que c’était l’autoroute de Poudlard. Tout le monde devait passer par là, alors quoi de mieux ? C’était aussi mon terrain de drague privilégié et même de chasse vu mon statut de casanova. Quoique je ne savais pas si j’étais le chasseur ou le chassé dans certains cas. – Bienvenue dans le hall de Poudlard Lady Potter. Ici ont été perpétué les plus grandes blagues de Poudlard depuis mes prédécesseurs les maraudeurs dont faisait parti mon grand père jusqu’à moi bien entendu, noble descendant de troubles faits. Récitais je comme une leçon apprise par cœur. J’étais fière de ma famille, même si elle avait connu des moments difficiles pendant la guerre, à cause de la discrimination raciale et des préjugés sur les hybrides. Vivons heureux, emmerdons les envieux ! Et Fuck the system ! C’étaient les phrases du jour !





    Je stoppais mon récitatif alors qu’un miaulement peu audible me parut. Oups, le concierge et son gros matou venaient dans notre direction. Pas difficile puisque nous étions immobiles en plein milieu du hall. Miria pouvait maintenant voir le bout scintillant de sa baguette. Il y avait deux options maintenant. La première était de remonter rapidement et la deuxième de jouer au chat et à la souris dans les sous sols sans atteindre la cuisine pour le semer. Sachant de plus que els professeurs patrouillaient encore dans les étages.– On monte ordonnais je à haute voix. Et c’est aussitôt que l’on franchit les quelques marches menant aux sous sol. Ben ouai , lorsqu’on dit à droit faut aller à gauche. C’était un rituel entre nous. On s’élançait toujours dans la direction opposée à mes directives. Le concierge nous avait entendu mais pourrait alors croire que nous étions monté. Seulement le chat fut plus rapide et alors que son propriétaire posait son pied sur le grand escalier, il planta son regard jaune et peu intelligent dans le mien. Oups … J’attrapais Miria par la main et lui indiquais clairement de courir maintenant. Je courais bien plus vite qu’elle et le concierge nous rattrapait. Le vieux avait la pèche. C’est donc ni une ni deux que je la hissais sur mes larges épaules comme un sac à patates et que je repris ma course de plus belle. Je n’en étais même pas gêné par mon nouveau fardeau et le bruit effréné de mes pas ne semblait pas vouloir ralentir. J’entendais Miria s’étranglait de rire dans mon dos alors qu’elle avait placé ses deux mains sur mes omoplates pour regarder vers le concierge et me criais son avancée. Je tournais brusquement sur la gauche, et gardais le contrôle d’un dérapage fortuit. Le sport avant le réconfort … le gâteau de Miria avait intérêt à être délicieux !
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeDim 20 Déc - 18:48

• Un casse dalle presque parfait .... 00810
    ________Les sorties nocturnes du jeudi soirs avaient des allures de rites sacrés. Les rites, ah, les rites, c'est comme faire le sapin de noël tout les premier décembre de chaque année. C'est comme accroché les chaussettes à la cheminé pour que le père noël les remplissant de bonbons. Les rites sont des habitudes qui ont pour nous des allures sacré. Pour Sirius et Miryà, alors, le jeudi soir était leur soirée à eux. L'unique moyen pour la sorcière de s'adonner à sa passion pour la pâtisserie et la cuisine était des petites soirées comme celle là. Mine de rien, douée en cuisine, ordonnée, elle était bonne à marier comme lui disait son père de façon ironique. Mais pour Miryà, le mariage était une idée absolument abstraite, voir inconcevable, ne croyant quasiment pas en l'amour, ni même en le grand amour, elle avait été en son temps le genre de fille à imaginer ce que l'on appelle le plus beau jour de notre vie, puis après, cette période s'est complètement évanouie, elle avait laissé place à un ras le bol des amoureux, elle qui ne parvenait pas à garder un petit ami, ces derniers s'attachaient à l'image superficielle de la parfaite serdaigle, et encore pire, de la petite fille du survivant. Elle détestait qu'on s'intéresse à elle, comme une sorte de bête de foire, elle détestait ça. Elle s'est donc fermé hermétiquement, ou presque à tout sentiment s'apparentant de près à l'amour. Malheureusement, pour Miyrà aimer ou plutôt ne pas aimer est impossible, fleure bleue, et sans cesse dans la lune, elle est capable de tomber amoureuse en un regard. Lorsque l'on aime qu'une seule personne, tout se passe très bien, mais lorsque deux sentiments identiques sont ressentie pour deux personnes, les choses commencent à devenir légèrement plus compliqué. Lorsque les choses se compliquent, la sorcière occultent purement et simplement ses sentiments. Ce soir, la petite indécise avait faim, très très faim. Elle marchait aux côté de son cousin, masquant au creux de son ventre la faim, et espérant qu'un bruit suspect ne s'en échapperait pas.

    ________Complices, ils partirent tout les deux en direction des cuisines. Miryà avait bien faim. Lorsque les deux sorciers arrivèrent dans le hall, sirius pris alors des allures de guides touristiques vantant les mérites de leur illustres ancêtres. Oui, eux ils étaient cool comme lui avait dit plusieurs fois son père, qui était fière d'avoir été capable de rivaliser avec les maraudeurs. Une bande de courageux. A croire que Miryà était quelqu'un d'adopter, elle n'avait pas une once de courage, dès qu'on lui parlait elle baissait les yeux, incapable de répondre dès que l'on commençait à s'en prendre à elle. Elle n'avait pas hérité du courage des Potter, mai elle avait hérité de la timidité de sa mère et de la réserve de la famille maternelle, les Sokonovski. Elle était bilingue grâce à sa mère, elle parlait couramment russe, couramment, elle ne le parlait pourtant que très peu, oui, que très peu, lorsqu'elle écrivait une lettre à sa mère, elle l'écrivait en russe, pour ne pas perdre cette langue à laquelle elle tenait beaucoup. Très rattaché au Potter, elle l'était tout autant à sa famille maternelle, oui, elle avait passé de nombreuse vacances? Du côté de sa mère, elle n'avait que des cousins, six cousins, tous à Durmstrang; elle s'entendait bien avec, bien qu'elle soit indéniablement plus proche de Sirius notamment car il était toujours là pour elle, à l'école, etc. Miryà avait toujours tenu à son cousin, toujours, il était en quelque sorte un frère pour elle qui était fille unique. Miryà regrettait parfois son statut d'enfant unique. Miryà allait rétorquer quelques chose au sujet de la pseudo visite guidé de Sirius puis se ravisa, elle était bien à ce moment là, elle ne voulait pas se faire tirer les cheveux pour une remarque sarcastique.

    ________Sirius se stoppa net. Net. A croire que quelque chose, ou plutôt quelqu'un allait arriver, et les surprendre, là dehors après le couvre feu, bien après le coure feu. (…) après de nombreuses et dangereuses péripéties, Miryà toujours porté tel un sac de patates par Sirius regardait derrière. Plus de traces du concierge. Sirius allait vite même en la portant. Elle avait le sourire, le sourire car elle passait un bon moment, même si elle risquait de passer un sale quart d'heure si jamais ils se faisaient prendre. Ils arrivèrent au sous sol. Enfin. Sirius passa la porte, posa Miryà au sol. Fière d'être intelligente, elle sortie sa baguette et à l'aide d'un sortilège informulé bloqua fièrement la porte. Dès qu'il s'agissait de faire preuve de talent magique, elle était la première à vouloir se montrer. Douée, non, incroyablement doué en magie. Elle était fière d'être au moins doué dans quelques chose. Oui, douée en magie, son grand père, Harry Potter, était très fière d'elle, très fière d'elle. Elle rangea sa baguette, puis colla son oreille à la porte. Le silence dans le couloir était total. La sorcière poussa un soupire de soulagement, oui, soulagée. Si jamais elle s'était fait prendre, elle aurait eut du mal à s'en remettre, oui, du mal, vraiment du mal. La sorcière regarda sa cher cousin, essoufflé par leur course. Elle lui donna une tape dans l'épaule, avec toute sa force, autrement dit avec une force de mouche qui fit à peine bouger le sorcier. Elle aimait bien essayer de lui faire mal physiquement, mais avec une armoire à glace comme lui c'était comme si elle tapait dans un rocher, elle n'avait pas de force par rapport à lui. En quidditch, elle avait de la force, elle était une bonne poursuiveuse capable de faire de longue et de puissante passe sur le terrain à ses co-équipiers.


    - Bien après de longues péripéties, que veux tu manger ? je te fais tout ce que tu veux dans la limite des stocks disponible !
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeDim 20 Déc - 19:26

    La course aurait pu paraître comique pour un spectateur extérieur. D’ailleurs elle l’était même pour moi. Sauf que je ne pouvais respirer et rire en même temps surtout en courant avec une jeune fille hissée sur mes épaules et un concierge aux trousses. Même un loup garou avait des limites. Cela faisait un moment que je n’entendais plus les pas du concierge. Mais on était jamais trop prudent et j’avais donc continué ma course à travers tous les sous sols, empreintant des couloirs déjà visités quelques secondes auparavant. Je courrais en rond tout simplement. Le concierge était de toute façon trop bête et trop gros et les couloirs du sous sols pas assez nombreux. Je chatouillais rapidement la poire qui gardait l’entrée de la cuisine et m’y engouffrait à l’intérieur, Miryà toujours sur mes épaules. Je commençais à fatiguer. Je la posais délicatement sur ses deux pieds et me penchait vers l’avant, les deux mains appuyées sur mes genoux. Ma bouche ouverte laissait passer un sifflement erratique. Je respirais peut être un peu trop fort, j’avais l’air d’un bœuf au travail et j’étais pas sur d’apprécier la comparaison. Poussinou me frappa gentiment sur l’épaule. Voilà qu’elle devenait moqueuse. C’est décidé au retour c’est elle qui me porte. Elle fera moins al fière à ce moment là. J’atteignais tout de même le mètre 85. Je me laissais tomber sur le carrelage froid et ma tête alla se poser sur le mur blanc. La cuisine était totalement vide, dépourvue de ses elfes de maison. Ils avaient du aller dormir, si ces créatures dormaient. - je te fais tout ce que tu veux dans la limite des stocks disponible ! me lança elle joyeusement. Je ris un peu devant son air de petite fille. Elle était mignonne comme ça avec les joues rosies et els cheveux dans tous les sens. Je ne m’inquiétais pas de la limite des stocks disponibles. On était à Poudlard ici et rien ne semblait avoir de fin si ce n’est la scolarité. Mais ça c’était un autre sujet. J’avais encore un peu de temps devant moi. Je pris le temps de réfléchir à sa demande. Miryà était un véritable cordon bleu je n’avais donc pas à m’inquiéter mais encore faudrait ils avoir de quoi j’avais réellement envie. Je passais une main dans mes cheveux, c’était un de mes plus grands tics. Je le faisais dans deux circonstances différentes. Soit pendant que je réfléchissais soit quand je draguais. C’était mon arme secrète et agrémenté d’un sourire ça les faisait toute tomber. Enfin presque toute… il y avait les éternelles qui me traitaient de petit crétin arrogant.




    – Alors alors commençais je prêt à énumérer la liste des choses que je voulais manger. – Je voudrais un gros baba au rhum avec beaucoup beaucoup de rhum, des éclairs au chocolat noir de préférence mais pas blanc, une grosse foret noire avec des tonnes et des tonnes de cerises pour accompagner, une bonne charlotte aux fraises, une énorme fontaine de chocolat avec un panier de fruits gros comme la table … continuais je le plus sérieusement du monde. Oui parce que sérieux je l’étais absolument. – Des chaussons aux pommes et des beignets à la myrtille. Une verrine à la poire aussi en guise de digestif Je me laisserais également bien tenter par une grosse côte de porc bien saignante et des frites croustillantes accompagnées de ketchup et de mayonnaise, avec une petite salade sur le côté et un gros saladier de carotte râpés. Tout ça avec une bonne bière ou trois litres de whisky pur feu, et le vrai . finis je avec un sourire. Je savais qu’il était impossible de trouver de l’alcool dans l’enceinte de Poudlard de toute façon. Mais plus je continuais ma liste abracadabrante plus les yeux de poussinou s’ouvraient en grand. Le pire dans cette historie c’était que j’étais presque certain de tout pouvoir avaler. – Ensuite je prendrais un bon plat de pâle carbonnara et n’oublie pas l’œuf dessus avec un café et des petits gâteaux secs ou des muffins aux pépites de chocolat. Ou alors des petits scones parce que c’est trop bon et que tu les réussis à chaque fois à merveille. Rajoutais je en terminant complètement. J’haussais des épaules fatalistes devant l’air de ma cousine. Elle devrait pourtant y être habituée. J’étais un vrai estomac sur patte et j’avais l’art de l’exubérance. Je lui souris de toutes mes dents. – Ben quoi ? lui demandais je faussement intrigué. – On est trois à nourrir ! Y’a toi, moi et le loup ! Il a besoin de beaucoup de nourriture tu sais ? la taquinais je gentiment. Il n’était pas rare de me voir plaisanter avec elle sur mon petit problème de cycle. C’était me^me une étape du rituel mis en place il y a déjà quelques années. C’est mon secret qui avait encore plus solidifié nos liens et rien que pour ça, je supportais le fait d’être un hybride. Malgré tout ce que je pouvais penser, ma lycanthropie m’avait apporté des personnes magnifiques. Et ça même avec tous les malheurs du monde, je n’arriverai jamais à le regretter.
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Lexxie
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeVen 25 Déc - 21:59

    ________Quand on demande cooking mamma dans la famille Potter on tire deux cartes, Miryà & sa mère Vasilissa. Enfin, quand on dit Potter... La fibre pâtissière, elle l'a hérité de sa mère, qui n'est pas une Potter. Depuis son plus jeune âge la sorcière avait été entrainée dans le monde de la pâtisserie, elle y prenait beaucoup de plaisir même si au fond elle n'était pas vraiment gourmande, non, pas vraiment. Elle passait beaucoup de temps en cuisine, reine de expérimentation elle essayait souvent de nouvelle recette. Si elle ne réussissait pas dans me monde de la magie elle savait qu'elle pouvait se recycler dans la pâtisserie moldue, pas de doute. Mais elle avait la certitude d'arriver à devenir quelqu'un dans le monde magique. Comment une sorcière aussi douée qu'elle n'arriverait pas à devenir quelqu'un ? Ambitieuse, oui, elle l'était, le choixpeau lui avait dit à sa répartition que son ambition était un trait de caractère qui aurait la conduire chez serpentard, son ambition et son désire de devenir quelqu'un. Mais elle avait insisté pour ne pas aller là bas, elle aurait eut honte de se retrouver là bas, véritablement honte. Une Potter à serpentard ? Ça aurait été une catastrophe. Une vraie catastrophe, mais peut être aurait elle pu se faire pardonner auprès de sa famille grâce à de succulents muffins ?Sa famille disait qu'elle était divine en cuisine, et comme la charriait souvent son père, il la disait « bonne à marier ». elle marié ? Plutôt crever répondait elle avec froideur. Le mariage, quelle idée stupide, aussi stupide que l'amour pour elle.

    ________Elle écarquilla les yeux, croisa ses bras sur sa poitrine, pris un air sévère et écouta son cousin réciter une liste de chose qu'il aimerait bien manger. Elle le dévisagea, et le toisa un peu. Elle jouait sa maman, elle poussa un soupire. Et éclata de rire, perdant son sérieux lorsqu'il dit qu'ils étaient trois ce soir, elle, lui et le loup. Elle rit, oui, elle rit, il avait de l'humour ce Sirius. Voilà pourquoi elle aimait tant être avec lui, elle se sentait bien avec lui, sans costume ni artifices. Elle était simplement elle. Elle pouvait être franche, méchante, égoïste, stupide, hystérique ou colérique, voire même intelligente, il la prenait toujours comme était. Elle cessa de rire, elle riait à sa remarque, un mal de ventre pointa même le bout de son nez. Calmant son rire, elle le regarda en secouant avec le sourire aux lèvres la tête de gauche d'un air de dire 'sacré sirius va !' Elle répondit alors : estomac sur pattes. secouant la tête de gauche à droite, elle s'aventura dans la cuisine qui lui était familière depuis quelques années. Elle ouvrit alors le frigo version sorcier qui maintenait les aliments au frais grâce à un astucieux sortilège. Elle remarqua qu'il y avait pas mal de chose dans ce frigo. Elle resta un long moment à contempler le fond, il était pas mal rempli, mais trop de choix tue l'inspiration. Elle attrapa alors des œufs et du lait pour commencer. Refermant la porte du pied, elle était en intense réflexion. Elle posa le tout sur le plan de travail, une sorte d'îlot central. Elle se dirigea vers un placard qu'elle ouvrit, elle chargea ses bras de farine, de sucre, de sel et de levure. Elle posa le tout sur l'îlot centrale. Elle poussa alors un soupire et retourna chercher du beurre dans le frigo sorcier. Elle le posa sur la plan et regarda sirius qui avait faim, cela se voyait sur son visage.

    Leçon du jour : les pancakes à l'américaine ! Mettez la farine, la levure et le sucre dans un saladier. Rajoutez ensuite les oeufs entiers et mélangez. Ajoutez ensuite le beurre que vous aurez préalablement fait fondre, puis délayez progressivement le mélange avec le lait afin d'éviter les grumeaux. Laissez reposer au minimum 1h au réfrigérateur. Faire cuire comme des crêpes, mais en les faisant plus petites. Dit elle à la façon d'une présentatrice d'émission de télévision moldue culinaire. Elle présenta chacun des ingrédient comme s'il s'agissait d'un télé achat. Elle explosa de rire et n'attendit pas que sirius fasse une remarque bidon. Elle sorti alors un saladier. La sorcière dosa alors la fraine avec un verre doseur. Elle vit sirius qui se leva pour venir l'embêter c'était toujours comme ça, la farine devait lui donner des idées bizarre. Elle le regarda s'avancer vers elle. Elle fini alors de verser la farine. Attirant le paquet encore plein vers elle. Trop tard. Sirius lui jeta alors de la farine au visage. La bouche grande ouverte et choqué, elle attrapa le sucre et fit de même sans prendre des gants. La cuisine allait dégénéré en champs de bataille. Attrapant la cuillère elle dit alors d'un air grandiose tel les acteur aux cinéma : si tu n'arrête pas je ne te ferai pas à manger, même sous la torture ! il se stoppa net et reposa sagement sa farine. Il était tout aussi blanc que sa cousine bien que le sucre était en théorie moins 'collant' que la farine. Le pull gris de la sorcière était presque tout blanc. Mais sans s'arrêter à cela, elle se remit à sa recette, elle ajouta enfin le sucre et la levure. Puis, elle casse les deux œufs dans le saladier. Elle ajouta ensuite le beurre qui devint fondu en un seul petit coup de baguette, puis, elle incorpora lentement le lait dans le mélange. Elle n'avait quasiment rien mesuré, comme si elle en avait besoin.

    La recette exigeait une attente d'une heure, au frais. En un coup de baguette, un vieux tour appris par sa mère, la pâte se refroidie, comme si elle avait passée une heure au réfrigérateur. Sans crier gare elle sorti un poêle du placard et commença alors à préparer ses pancakes, elle dit alors à l'attention de sirius : Trouve nous de la confiture, du sirop d'érable, de la pate à tartiner au chocolat, et des boissons, café, chocolat chaud, bref ce que tu veux ! elle prenait ses allures de matrone juste pour rire. Elle sortie une assiette pour mettre les pancakes fraichement cuit dedans. Elle en fit pas mal, elle savait de toute manière qu'avec sirius même s'il y en avait beaucoup ça n'était pas perdu, non jamais. Elle poussa un soupire et posa tout ça sur la table. Elle les présenta fièrement à la manière d'une potiche dans un jeu télévisé moldu. Elle rit aux éclats, et fit glisser l'assiette vers sirius qui mourrait envie d'en manger. Elle se leva de nouveau pour mettre la table, ce fainéant ne l'avait même pas mise. Elle s'assit face à lui, et dit alors : Tu m'en dira des nouvelles !
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeSam 26 Déc - 12:20

    Je m’amusais de l’air plous que choqué de Miryà. A croire que toutes ces années à me côtoyer ne lui avaient rien appris de mon caractère. Elle explosa de rire à ma dernière remarque et je la suivis. De toute façon, il valait mieux en rire que pleurer. On ne pouvait pas changer ce que j’étais et la pitié des autres, je n’en voulais pas. Je n’en avais d’ailleurs jamais voulu. J’étais pas le plus à plaindre, malgré tout, la nature m’avait gâtée comme pour se faire pardonner. Sans vantardise, j’étais bau, bien foutu et intelligent. D’autres étaient bien plus mal lotis que moi. Elle secoua la tête et mon sourire s’agrandit. Moi un estomac sur pattes ? Certainement et j’en étais fier comme un coq en plus. Mais j’étais un estomac sur patte fin gourmet. J’aimais beaucoup les bonnes choses et j’aimais coûter à tout. Miryà était une excellente cuisinière, je n’avais jamais eu de soucis à me faire. C’est vrai, une fois oud eux, elle s’était loupée mais c’était des expériences culinaires et elle avait toujours su se faire pardonner après avoir essayer de m’empoisonner. Elle m’avait une fois préparée une montagne de mousse chocolat avec chantilly et cerises griottes. Ce fut si bon, oui vraiment ! Ce fut un véritable festin ! Il parait que mes yeux c’étaient mis à briller des la première bouchée. Miryà s’activa dans la pièce. Elle se dirigea d’abord vers le frigo ou elle y resta pour réfléchir, la porte ouverte. Je me demandais à quoi elle pouvait bien penser. Mais je na connaissais suffisamment bien maintenant pour savoir qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’elle voulait préparer à manger et puis avec la liste …. Je ne l’avais pas vraiment aidé. Mais comme ça, j’aurais al surprise parce que j’étais bien conscient qu’elle ne pourrait en aucun cas, préparer toute la commande farfelue ... à moins de rester postée dans cette cuisine nuit et jour pendant plus d’un mois. Elle se déplaça ensuite dans la pièce pour aller chercher les différents aliments nécessaires à la confection de son idée, dont je n’avais pas encore conscience. Bientôt, le plan de travail accueillit un pot de farine, du sucre, du beurre, du lait et de la levure. Ainsi qu’un saladier pour préparer la pâte. Je m’en léchais els babines d’avance. - Leçon du jour : les pancakes à l'américaine ! déclara elle le plus sérieusement du monde. Elle faisait toujours ça et j’écoutais à chaque fois religieusement ses instructions. Je n’étais pas capable de tout retenir mais j’essayais à chaque fois. Je retenais certaine recette facile et je les essayer ensuite. Je n’étais pas très doué en cuisine et je le reconnaissais. Mes préparations se soldée souvent par des échecs sous els rires de Miryà qui reprenait ensuite les commandes alors que moi penaud je la regardais faire. Lorsqu’elle prit la farine entre ses mains, je me levais. Ça aussi c’était un petit rituel. Depuis que petit avec sawyer, j’avais vu un dessin animé ou le personnage central lança de la farine sur l’autre personnage, je l’expérimentais. Des fois, ça dégénérait tellement avec Miryà qu’on était obligé de se faire des camps chacun de son côté. Et en guise de casque militaire on prenait des passoires ou des casseroles. On s’amusait toujours aussi bien. Concentrée sur sa tâche, elle ramena la farine vers elle dans un mouvement protecteur, pas assez vite pour moi néanmoins puisque j’attrapais le pot et lui en lancer dessus. Elle se retrouva aussi blanche pure qu’elle l’aurait été si elle s’était roulée dans la neige. Son expression choquée m’amena un rire et elle profita de ce moment pour m’envoyer du sucre dessus. Le sucre bien que moins collant que la farine avait le désavantage de gratter avec le frottement du tissu sur la peau. - si tu n’arrêtes pas je ne te ferai pas à manger, même sous la torture ! me menaça elle. – Oui mamanrépondis je goguenard. Je me stoppais néanmoins et la regardais faire attentivement, suivant tous ses gestes en me léchant les doigts enfin d’y récolter du sucre.




    Miryà était une vraie chef en la matière, et les pancakes enfin du moins la pâte fut rapidement finit. J’observais le mélange jaune tournait dans le saladier sous les soins de Miryà. J’avais hâte d’y goûter nature ou accompagné. - Trouve nous de la confiture, du sirop d'érable, de la pâte à tartiner au chocolat, et des boissons, café, chocolat chaud, bref ce que tu veux ! m’ordonna elle. J’effectuais un salut militaire et partit alors à la recherche des composants demandés. J’ouvris un premier placard pour y trouver tout un tas de confiture et des pots d’au moins 700 grammes. C’est ceux qui étaient présents sur chaque table de la grande salle le matin. Je restais un moment à réfléchir sur celui que j’allais choisir. Finalement, j’en optais pour deux, un à la poire et un à la fraise. Miryà aimait tout de toute façon. Je dirigeais mon regard vers elle pour la voir faire sauter les pancakes en l’air. Elle faisait ça aussi avec les crêpes, c’était très amusant. J’ouvris un autre placard et attrapais un gros pot de pâte à tartiner saveur noisette. Le sirop d’érable était lui introuvable. J’allais déposer les pots sur la table et répartit à la recherche. Pendant que je cherchais le sirop, j’agitais ma baguette en direction des cafetières pour faire du café. Il fut rapidement près et j’envoyé alors le café chaud aux bons arômes sur la table. J’agitais encore une fois ma baguette pour faire chauffer de l’eau. J’attrapais els sachets de thé et les divers jus de fruit présent dans le frigo. Le tout alla se déposer magiquement sur la table. Je trouvais enfin le sirop d’érable alors que Miryà posait les pancakes sur la table et poussait l’assiette pleine vers moi. - Tu m'en diras des nouvelles ! souria elle. Je pris un pancake nature et l’enfournais dans ma bouche. Je le mâchais en fermant les yeux. – Succulent ! déclarais je . Je continuais mon festin en étalant copieusement de la pâte à tartiner sur deux pancakes Je me léchais les doigts pour enlever ce que avais coulé. J’emmenais à moi à l’aide d’un tour de baguette deux tasses et un pot de chocolat en poudre. Je remis du lait à chauffer sur le feu et attendait que cela soit prêt pour m’en servir.
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeSam 26 Déc - 16:14

    ________Pancakes, pourquoi donc es-tu si gras, mais pourtant si bon ? La sorcière se répétait cette phrase dès qu'elle porta la pancakes à ses lèvres. Elle avait tellement faim, tellement faim. Mais elle était en même temps tellement obsédé par sa ligne qu'après le jeudi soir, elle se privait presque de nourriture de lendemain en guise de punition pour elle même. Se répétant presque à elle même 'Vilain Minie, VILAINE'. Histoire d'avoir bonne conscience. Pour se punir et pour soit disant retrouver la ligne, elle passait du temps au terrain de quiddtch, histoire de ne pas voir le sucre du pancakes descendre progressivement sur ses hanches, ses fesses ou ses cuisses. Elle n'était pas très gourmande, mais lorsqu'elle mangeait de trop, elle se le reprochait pendant des jours. Elle savait pourtant qu'il lui en fallait beaucoup pour qu'elle prenne ne serait ce qu'un gramme, mais la phobie des kilo en trop lui avait été transmise par la voisine de la famille Potter, une moldue, énorme. Une fois sur l ton de la rigolade, son père lui avait dit qu'à force de dévorer des chocogrenouille elle finirait comme Mrs Westmen. Depuis, elle était hanté à l'idée de prendre du poids. Elle préférait être derrière les fourneaux plutôt qu'assise à la table entrain de s'empiffrer. Mais pour sirius manger n'était pas un problème, elle ne comprenait pas comment il pouvait manger autant. Elle ne comprenait pas. Elle mettait son appétit intarissable sur le compte de sa lycanthropie qui demandait sans doute un effort supplémentaire à son organisme, mais au fond, elle n'en savait rien. Il paraissait que c'est garçons à l'adolescence étaient des gouffre sans fond question nourriture, et ça n'était pas Sirius qui allait démontrer le contraire.

    ________Elle le regardait avaler goulument les délicieux met qu'elle lui avait préparé avec 'amour'. Oui, car au fond, Sirius était certes un cousin un peu éloigné, mais il était de loin celui qu'elle préférait, le seul avec qui elle pouvait se permettre d'être elle, une fille chiante, lunatique, autoritaire, ambitieuse et qui aime avoir raison. Lorsqu'il lui dit que c'était succulent entre deux bouché de pancakes, elle esquissa un sourire ravi avant de placer en prenant un air sur d'elle, et elle battant des cils comme une mannequin : « je le savait ! » Puis, dans un rire, elle poussa une mèche de cheveux par dessus son épaule. Elle rit. Elle n'avait pas attaqué à manger que sirius avait déjà presque engloutit le premier dans les abysse de son estomac. Il s'occupa l'instant d'après d'apporter du tasse et du chocolat en poudre. La sorcière esquissa une grimace lorsqu'elle se mordit la langue en avalant le premier de ses pancakes. Elle poussa un petit cris. Et rit alors. Il mis alors chauffer du lait. Elle tartinait alors doucement son pancakes à l'aide de pâte à tartiner au chocolat qu'elle usurpa à son cousin tandis qu'il ingurgitait un autre pancakes. Elle se lécha avec élégance les doigts tandis que l'autre affamé se léchait les doigts d'une façon peu correcte. Elle esquissa un sourire. Ses lèvres étaient plein de chocolat, ainsi elle passa sa langue sur lèvres afin de récolter le plus de chocolat possible et les essuya finalement à l'aide d'un mouchoir. La scène était drôle, ils mangeaient tout les deux. Une vraie scène de petit déjeuné au beau milieu de la nuit, atypique. Lorsqu'elle se leva se fut pour aller chercher le lait chaud, elle servi le lait dans deux tasse et posa la casserole brulante sur la table, et, manquant par maladresse de se bruler la main.

    ________Elle s'assit alors, et versa da la poudre chocolaté dans son lait qu'elle remua ensuite à l'aide d'une petite cuillière. Elle regarda sirius qui mangeait goulument et qui avait maronné un merci lorsqu'elle lui a servi du lait. Elle l'adorait, oui. Elle laissa le pancakes dans son assiette, et attrapa la tasse par la hanse. Elle l'entoura de ses mains. La tasse brulante ne la brulait pas. Insensible à la douleur, enfin... presque. Disons qu'elle ne craignait pas le chaud, ni même le froid. Mi-anglaise, mi-russe, il ne manquerait plus qu'elle craigne le froid, la neige et la pluie, ces trois choses là étaient d'ailleurs plutôt ses éléments. Tout le monde se plaignait lorsqu'il pleuvait ou neigeait lors d'un match de quidditch, pour elle c'était un avantage stratégique, rien d'autre. On ne dirait pas que derrière le nom Potter se cache une fille de l'est. On ne le sait qu'en regardant son passeport, ou s'écrit en toute lettre, Miryà Lexy Aleksandra Cordélia Potter Sokonovski. Mais ça peut de monde savait son nom en entier. Elle se présentait comme Potter, pourtant elle portait le double nom. La seule fois où l'on l'avait appelé avec ses deux noms c'était lors de la cérémonie de réparition en première année. Les professeurs l'on vite appelés Potter, se souvenant plus de la suite. Mais parfois, elle préférait porter Sokonovski, qui disons le était moins lourd à porter, moins riche en histoire et en fardeau.

    ________Elle releva la tête et posa son regard sur Sirius, l'instant à ne pas briser était la dégustation, elle dit alors : « Au faite, comment va Deamon, ça fait un bail que je l'ai pas vu, avec tout ces cours... j'sais plus ou donner de la tête ! » Oui, elle connaissait bien deamon, la meilleure amie de Sirius, elle l'appréciait et la tenait en haute estime. Il fallait se lever tôt pour être tenue en estime par la sorcière. Il y avait peu de monde dans son estimes, il y avait notamment Sirius, Deamon, ses deux meilleur amis Deyvon & Melvin, et quelques autres personnes que l'on peut compter sur les doigts d'une main. Après dans son estime, il y a une personne intouchable, son grand père, le célèbre Harry Potter, nul n'est plus dans son estime que lui, ça no, c'est impossible ! Elle adressa un sourire à son cousin et porta sa tasse à ses lèvres, soufflant sur le liquide brulant, et en avala une gorgée, brulante. Elle disait être submergé par les cours, n'importe quoi, comme si miryà potter pouvait être submergé par les cours, impossible, c'était un génie.
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeSam 26 Déc - 17:14

    Le chocolat coulait sur mes doigts et j’allais le chercher avec la langue avant d’engouffrer le pancake dans ma bouche. C’était si bon, cela en devenait presque en péché. C’était à ce demander comment vivait ce qui n’aimait pas les pancakes. De toute façon, ces gens là n’avaient jamais goûté les pancakes de Miryà ! Sinon, ils en dévoreraient ! Je devais vraiment avoir l’air d’un affamé vu le sourire amusé de ma cousine. Elle adorait se moquer de moi surtout quand je m’empiffrais comme un ogre. De toute façon, Miryà était la seule capable de me faire chanter. Elle faisait de moi ce qu’elle voulait du moment qu’elle me promettait de la nourriture et des tonnes de pâtisseries. Cela m’avait valu quelques ennuis mais le gain n’en était que meilleur. Et dire qu’une femme avait l’ascendance sur moi …. La honte ! Non pas la honte, c’était ma cousine et rien que ça ; ça changeait tout ! Ce n’était pas la honte de se faire tranquillement dorloter le ventre par Mlle Potter. C’était plutôt un très gros avantage. Je relevais la tête alors qu’elle se mit à rire. Je fronçais les sourcils, peu sur de comprendre la cause de sa soudaine hilarité. Par contre je souris lorsqu’elle commença à déguster son pancake tartiné de chocolat. Je savais qu’elle mangeait peu alors la voir mangé était tout un spectacle. Elle était si délicate, tout le contraire de moi en y réfléchissant bien. J’haussais els épaules peu attendri par ce constat. Elle était une fille, j’étais un homme … ça devait venir de là. Les hommes sont toujours moins raffinés que les filles. J’avais oublié le lait sur le feu bien trop occupé à étaler maintenant sur mon pancake une couche de confiture à la poire. J’adorais la poire dans tout. Confiture, gâteaux, fruits, coulis ….. Tout ce qui avait de la poire. Et c’était pareil pour la noix de coco. Hélas, j’avais découvert ça en France et les confiture à la noix de coco en Angleterre ben ça cours pas les rues. Miryà posa la casserole sur la table, entre nous deux et me servit une tasse de lait chaud. – Merci dis je entre deux bouchées. Contrairement à elle, je ne le mélangeais pas avec du cacao. Non non, je ne faisais plus ça depuis longtemps. Quand j’étais petit, je prenais beaucoup de lait chocolaté maintenant je le mélangeais avec du café. Et ce fut exactement ce que je fis. Je pris dans ma main gauche, la hanse de la cafetière et incliné son bac vers ma tasse. Le liquide noir alla se mélangeait au lait. Je posais une petite cuillère dans la tasse et le fis tourner à l’aide de mon doigt tout en mangeant un énième pancake de l’autre main. – C’est vraiment trop bon ! la félicitais je. Je n’allais pas pouvoir dormir ensuite. Tant pis, je ferais un tour par le parc pour courir un peu. Je me léchais els doigts en délectation. Je fermais les yeux lorsque j’apportais ma tasse fumante à mes lèvres et que l’arôme du café atténué s’enivra ma gorge. Y’avais peut être un peu trop de lait et pas assez de café. Je reposais la tasse et repris la cafetière. Je rajoutais du café serré dans ma tasse et rendit le mélange plus foncé par cette action. C’était si bon, je m’empreignais de la douce effluve qui me parvenait aux narines en dodelinant de la tête. Je devais avoir l’air d’un enfant de cette façon. - Au fait, comment va Deamon, ça fait un bail que je l'ai pas vu, avec tout ces cours... j'sais plus ou donner de la tête ! me questionna elle. Je rouvris les yeux et me redressais en la regardant. Je fronçais les sourcils et pas sur le fait qu’elle demande des nouvelles de Deamon. Elles étaient amies. Et souvent quand Miryà venait chez les Lupin, elle retrouvait Deamon également. Donc bien forcé à un moment de se cotoyer. Je n’aurais jamais pu choisir entre les deux et j’espérais n’avoir jamais à le faire. Cela serait ma trahir que me demander de choisir.





    - Tu es sur que c’est les cours qui te font perdre la tête ? Cela serait juste pas … hummm un garçon ? souriais je doucement. Miryà avait elle oublié a qu’il elle parlait ? J’étais son cousin, et j’étais si proche d’elle que je la connaissais comme si je l’avais faite. Et puis, j’avais le flair pour certaine chose. – Deamon va bien, elle s’est encore chamaillée avec Wilfried tout à l’heure. Le pauvre j’en viendrais presque à le plaindre. Déclarais je en retenant un rire. Wilfried ne supportait plus Deamon. Elle était toujours entrain de l’embêter et moi toujours entrain de rire de leur chamailleries. Etant bons amis, il venait de demander de la faire taire avant qu’on se mette à parler du monde moldu et de Sawyer, notre ami commun.- Tu devrais voir comme elle agit avec lui … c’est vraiment trop drôle finis je. N’empêche que je n’enviais absolument pas sa position. Je connaissais parfaitement bien ma meilleure amie et je savais qu’elle pouvait devenir imbuvable et puis quand elle avait quelque chose en tête, elle se montrait très bornée. C’est pour ça que je ne pouvais rien faire pour Wilfried.




    Je repris un pancake ou j’y apposais une couche de confiture à la poire avant de le mâcher plus doucement que les dernières fois. – Et alors comment Melvin et … c’est quoi son nom déjà ? Deyvon non ? sourias de toute mes dents. Je connaissais très bien ses meilleurs amis, j’étais très pote avec Deyvon justement. On parlait souvent de nos conquêtes, il était un peu comme moi. Un chic type vraiment, bien qu’il soit peut être un peu dérangé en ce moment.
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeSam 26 Déc - 18:33

    ________Miryà contrairement à la majorité des gens adorait aller en cours. Serdaigle n'étaot pas sa maison pour rien, elle était sage, attentive, studieuse et par dessus tout intelligente. Elle avait toues les qualités requise pour entrer à serdaigle, oui, toute les qualités requises. Mais d'un côté, ses défauts auraient fait d'elle une parfaite serpentarde, impatiente, rancunière, impulsive, et ambitieuse. Elle avait imploré le choixpeau pour qu'elle aille n'importe où sauf à serpentard, qui était sa hantise. Une potter à serpentard, je vous laisse imaginer le tableau. Avec le recul, elle était bien contente de ne pas avoir été là bas, elle aurait fini comme cette pauvre Jules Lupin faisant mumuse avec les Malfoy. La sorcière chasse cette vision de son esprit en secouant la tête de gauche à droite. Elle était bien à serdaigle, elle était bien entourée de Melvin, et de Deyvon. Le confident, et le... l'autre. Ils étaient incontestablement ses deux meilleurs amis. Elle n'avait jamais compris pourquoi elle n'était jamais parvenue à se lier d'une amitié dure et solide avec une fille, sans doute un mauvais souvenir du jardin d'enfant où elle avait eut pas mal de problème avec une fille. Et puis sans doute à cause de l'environnement masculin dans lequel elle avait grandit. Elle comptait beaucoup de garçon dans sa famille, surtout du côté de sa mère. Sa famille russe ne comptait que des garçons, elle n'avait que des Cousins, Uri, Aleksei, Andrei, Viktor, et j'en passe. Elle avait en tout et pour tout huit cousins russe, le plus grand ayant dix neuf ans et le plus jeune trois ans. Elle avait toujours adoré passer du temps avec eux, un peu chérie, comme une petite poupée de porcelaine. Elle avait toujours rêvé de n'être qu'une simple poupée. Une poupée un peu trop sage.

    ________Sirius fit alors une première remarque. Elle cilla, clignant des yeux et le fixant. Elle se souciait de ses cours, elle. Mais sans doute pas au point d'être submergé, même les buses n'étaient pas venue à bout de la détermination et des facilités de la sorcière. Lorsqu'il évoqua un garçon, elle porta la tasse ses lèvres et bu une longue gorgée de chocolat chaud. Il avait le flaire pour tout ce qui concernait la sorcière, lorsque que l'on connait trop bien quelqu'un on prend le risque de ne plus avoir de secret, avec Sirius c'était un peu ça. Il la connaissait comme sa poche. Melvin était le confident de la sorcière, mais qu'il ne s'y méprenne pas, il n'était pas dans tout les petits secrets de la sorcière, il y a toujours des trucs que l'on garde fermement pour soit, quoi qu'il arrive, à force de mensonge et de 'comme si de rien n'était', et pour être franche, Miryà était passé maître dans l'art du comme si de rien n'était. Elle ne dit rien à ce sujet et le laissa poursuivre, elle voulait avoir des nouvelles de deamon, elle l'adorait. Pour qu'une fille ait des l'estime au yeux de miryà, ce n'est pas peu dire. Miryà esquissa un sourire quand il lui dit qu'elle c'était encore chamaillé avec wilfired, qu'elle ne connaissait qu'au travers des dires de sirius et de deamon, c'était un de leur amis. C'était normal pour des amis de se chamailler. Il n'était pas rare de voir la sorcière en intense prise de bec avec l'un de ses amis. Elle pouvait aisément imaginer comment deamon pouvait se comporter avec lui, surtout connaissant plutôt bien la sorcière. Têtue, quand elle avait quelque chose en tête, miryà avait pu remarquer qu'il était parfaitement (ou presque) impossible de la faire changer d'idée. La détermination, un propre des gryffondor. Elle rit alors légèrement, portant un pancakes à ses lèvres, où elle mordit avec fureur comme une affamée. Elle avait faim après tout il devait être tard, et elle avait dîner vers sept heure du soir.

    ________La sorcière répondit alors : « sacré Deamon ! Têtue comme une dragonne. Il pourra rien y faire, si elle décidé qu'elle l'embêterai, je crois que le pauvre sera forcé de subir. Tu crois pas ? » elle avait beau poser la question, elle était persuadé que ce pauvre Wilfried n'avait tout simplement aucunes chance de s'en débarasser. La sorcière ravala alors une gorgée de chocolat, plus petite que celle qu'elle avait pris lorsque sirius lui avait dit qu'il s'agissait d'un garçon. Elle n'avait pas relevé. Non, pourquoi relèverait elle, elle ne lâcherait rien de toute façon. Quoi qu'en la cuisinant un peu on pouvait peut être obtenir quelque chose d'elle. Elle laissa couler, pas question de relancer le sujet, elle n'allait pas lui tendre des perche non plus ? Elle n'était pas aussi bête. Lancer des perches, c'est se retrouver dans une situation peu favorable pour la sorcière. Elle devait bien avouer que parler de cœur avec sirus était quelque chose qui la mettait un peu mal à l'aise. À vrai dire elle n'abordait jamais vraiment ses histoires de cœur avec Melvin, elle avait un peu de peine car il était un garçon. Pour parler des histoires de cœur, elle aurait préféré avoir une meilleure amie. Mais, ça, c'était un choix, les filles sont méchantes entre elles. Un rien peu les pousser à se disputer. Avec un garçon c'est tellement plus simple, il ne se disputera pas avec vous si vous flasher sur un gars, au moins il y a peu de chance pour que lui aussi flash dessus, sauf si votre meilleur ami est gay ou bisexuel, mais ne cherchons pas compliqué, restons dans le basique et l'efficace.

    ________La sorcière attrapa la confiture de fraise qui était à l'autre bout de la table. Elle était loin. À moitié couchée sur la table, elle l'attrapa du bout des doigts. Elle était quasiment couché sur la table, et fut soulagé quand elle parvint à la ramener vers elle. Sirius n'avait même pas bouger le petit doigts pour l'aider et avait préféré rire de la situation. La sorcière lui tira alors la langue. Puis il lui parla de Melvin, et de Deyvon. Elle confirma alors : « Ouai, c'est ça Deyvon et Melvin. Ils vont bien, fidèles à eux même ! » Il avait hésiter sur le nom de Deyvon. Naturellement sans réfléchir, elle avait dit Deyvon et Melvin, et non Melvin et Deyvon, comm A&B, comme tic&tac, comme tom&jerry. Certaines personnes pourraient dire qu'il s'agit là d'une phrase révélatrice. Elle n'y pensa pas. Pour elle c'était évident que c'était comme ça et pas autrement. Point. La sorcière esquissa un sourire, et tartina alors son pancakes de confiture de fraise qui était selon elle la meilleure des confitures, et de loin. Elle regarda Sirius. Elle avait esquivé la question de cœur, pour combien de temps mystère. Elle espérait que les pancakes avaient embrumés l'esprit de son cousin, afin qu'il ne revienne pas sur le sujet.
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeSam 26 Déc - 20:13

    Miryà ne prit même pas la peine de me répondre et but une longue gorgée de son chocolat chaud en me regardant. Elle ne niait alors pas les faits mais ne les avouait pas non plus. Je savais qu’elle ferait ça. Elle le faisait toujours, des qu’on penchait vers un sujet de conversation plus glissant. Elle se taisait ou alors changeait de sujet. Des fois, je la laissais tranquille, des fois j’attendais juste un peu pour la cueillir plus tard et des fois, je la cuisinais sur le coup sans lui laisser aucune chance de s’échapper. Des fois , ça lui permettait de se confronter à ses problèmes et puis je n’étais que son cousin … je n’étais pas là pour la juger seulement pour l’aider et ça elle le savait. Alors bien sur, je n’étais peut être pas la personne la mieux adapté pour donner des conseils. Mais je savais être sérieux, et j’étais d’une oreille attentive. Deamon pouvait aussi l’aider si elle prenait la peine de lui en parler. Elle était plus compétente que moi pour donner des tuyaux sur des garçons. Moi, mon domaine c’était plutôt les filles … si Miryà se révélait être homosexuelle, je pouvais par contre l’aider. Mais je ne pensais pas ça possible, je ne la rejetterais pas dans ce cas ci, mais je savais qu’elle ne l’était pas. Elle louchait trop sur certaine personne de ma connaissance pour l’être. Et même intelligente et futée, ce n’était pas une simple couverture. Miryà ne m’avait jamais parlé de ses coups de cœur, de ses copains si de temps en temps … Mais c’était une belle nuit pour commencer et puis je me sentais d’humeur taquine. Seulement, je savais qu’il fallait la jouer fine, ne pas la brusquer sous peine de la voir se refermer comme une huître. Aujourd’hui, le but n’était pas de la mettre mal à l’aise non c’était de la faire parler et pour ça, j’avais plus d’un tour dans mon sac. Malheureusement pour elle, nous lycanthrope pouvons nous montrer extrêmement roublard. Mauvais côté de notre personnalité qui présentait tout de même de certain avantage. - sacré Deamon ! Têtue comme une dragonne. Il pourra rien y faire, si elle décidé qu'elle l'embêterai, je crois que le pauvre sera forcé de subir. Tu ne crois pas ? sourit elle. Ce n’était pas le changement de sujet attendu mais c’était juste la suite de la conversation logique. Elle faisait comme si elle n’avait pas relevé ma remarque. Je m’adossais contre le dos de ma chaise un petit sourire au visage. Néanmoins, elle avait raison. Deamon était très têtue peut être parfois trop pour que cela soit normal. Elle avait décidé un jour que le pauvre Wilfried serait sa victime, elle s’y tiendrait jusqu’à qu’ils quittent Poudlard ou jusqu’à ce que Durham excédé finisse par se mettre très en colère. Je ne pourrais jamais prendre position entre els deux. Deamon était ma meilleure amie, et Wilfried partageait mes étés à présent. Je m’étais souvent demandé si l’intérêt que Deamon lui portait était seulement « amical ». J’en avais déduit que oui aussitôt et je sus que j’avais raison lorsqu’elle commença à divaguer sur le triste Pankhust. Je haïssais ce mec, il était affable et peu sympathique. Toujours à essayer de voir ce que je gâche, il fouinait toujours à la recherche d’indices. Si il croyait que je ne le voyais pas … je faisais de même de mon côté. Après tout, si il devait apprendre mon problème autant que j’ai une arme de mon côté pour le faire chanter. Lorsqu’on s’attachait à mon secret, j’étais sans pitié et sans morale. – Non il ne pourra rien faire ou peut être pas ….Deamon n’est pas non plus sans faiblesse. Et si Wilfried trouve les bons mots, la bonne approche ou que sais je d’autre, il arrivera peut être à la faire arrêter. Mais je n’y crois pas. Au fond, ils s’aiment bien et ce sont de véritables amis. Dis je sérieusement. Ce n’était que ce que je pensais après tout. Les gryffondors étaient souvent représenté comme liés entre eux et toujours là pour aider l’un de leur en cas de besoin, de crise ou de scandale et c’était parfaitement vrai …. Bien sur, le temps et les différentes époques avaient vu naître des exceptions.




    - Ouai, c'est ça Deyvon et Melvin. Ils vont bien, fidèles à eux même ! dit elle en sourant. Je portais en souriant ma tasse chaude à mes lèvres. J’en bus une courte gorgée et la reposais. Il restait encore des pancakes dans l’assiette mais j’avais faim d’autre chose actuellement. J’avais faim de curiosité. Je voulais savoir qui était capable de débordée la si douce Miryà , le génie de la famille Potter. – Deyvon et Melvin déclarais je en la regardant dans les yeux. On avait toujours tendance à mettre en premier notre préféré. Miryà elle faisait elle vraiment une différence entre ses deux amis ? Au vu du sourire qu’elle affichait, elle ne semblait même pas sans rendre compte ou alors elle essayait de se donner une contenance sous mon regard inquisiteur. J’avais un regard particulier, il pouvait aussi doux que perçant. J’étais un fin calculateur et je le savais. Moi j’avais senti, ce que les autres ne pouvaient que voir. Je faisais une différence entre les uns et les autres. On peut tromper le flair d’un humain mais celui d ‘un animal c’était déjà plus compliqué. Aporès tout, peut être est ce seulement du au fait qu’elle s’entendait mieux avec Deyvon qu’avec Melvin. Il n’y avait peut être aucun autre sentiment au dessous et pourtant … je devais le vérifier. – Aller tu peux tromper qui tu veux mais pas moi …. Commençais je doucement. Finalement, la technique ne pas la brusquer ne lui donnait juste plus de temps pour s’échapper, je choisis donc une technique plus directe mais pas brute. – Deyvon , Deyvon … raconte moi Miryà .. je ne vais pas te manger tu sais et promis je mords pas ! finis je avec un sourire amusé. L’humour sur ma condition j’en avais à revendre.
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Lexxie
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeSam 26 Déc - 21:09

    ________Miryà reine de l'esquive. Miryà reine du non dit. Minie, minie, ne dit rien, minie de sait rien. Minie ne dit rien, non ô non grand jamais. Minie ne se confie pas. Minie n'aime pas les confessions. Minie n'aime pas l'amour. Minie n'aime pas parler des sentiments. Minie n'aime pas les questions indiscrète. Elle était Minie, la reine de l'esquive. L'esquive pour survivre. Elle était la reine pour se dérober sous les conversations. Combien de fois s'était elle dérober au sujet que l'on voulait aborder avec elle ? Un grand sourire, un battement de cil, et son interlocuteur passait à autre chose. Cela marchait avec tout le monde, sauf avec sirius qui avait la fâcheuse tendance d'être plus perspicace, plus pointilleux, plus futé que les autres, au grand malheur de la sorcière. Il a le délicieux avantage de la connaître presque mieux que quiconque, il savait donc décelé le mensonge, et l'angoisse derrière de sourire de poupée de porcelaine à la peau couleur cellophane. Elle était une sainte petite poupée qui essayait de s'en sortir par un battement de cil, un grand sourire, une mèche derrière l'oreille. Mais avec lui, ça ne prenait pas. Ça ne prenait pas. Elle n'avait pas de jardin secret avec lui, il connaissait toutes ses techniques. Il connaissait ses techniques aussi bien que sa mère elle même. En parlant de sa mère, elle était la seule qui pouvait lui dire 'arrête de changer de sujet, tes techniques c'est les miennes alors crache le morceau qu'on en finisse.' Elle regrettait parfois qu'il sache reconnaître ses mensonges et ses technique d'esquive, on aimerait tous pouvoir garder un jardin secret pour ça. Oui, on aimerait tous, mais quelque part sirius était l'homme qui en savait trop, the man who knew too much.

    ________Il parla de Deamon et Wilfried. Mais il avait raison, la sorcière avait elle aussi des faiblesses, comme tout le monde. Mais pour Miryà elle trouvait que les faiblesse de Deamon étaient parfaitement bien caché, elle n'en avait pas vraiment décerné. Mais elle se trompait sans l'ombre d'un doute. Mais c'est souvent lorsque les faiblesses sont bien caché qu'elles sont les plus efficace pour faire tomber l'autre. Si les faiblesses sont cachées, c'est parce que l'on estime qu'elle peuvent nous briser et nous détruire. Alors, nous faisons ce qui est en notre possible pour les cacher afin que personne ne les trouve, pour que nous puissions rester debout. Miryà elle aussi avait des faiblesses, mais quant à elle bien apparente. Elle avait le fâcheux défaut d'être facilement manipulable, d'être un véritable pantin pour qui sait bien la comprendre et jouer avec elle. Elle avait le fâcheux défaut d'être, ou plutôt de se vouloir hermétique au sentiments. Elle avait une technique différente. Elle gardait ce qui s'apparentait à des avantages tactiques pour elle. Elle était ambitieuse et assez futée quand elle le voulait. Un petit côté manipulateur et calculateur qu'elle ne gardait que pour elle. Qui pourrait soupçonner la petite Potter de manipulation ? Qui ? Pas grand monde, pour ne pas dire personne. Elle atttrapa son pancakes et mordit dedans pour en détacher un petit morceau, qu'elle marchouilla. Elle fit tomber sa tartine et rigola doucement. Elle était bien avec sirius, rire, cela faisait du bien parfois, beaucoup de bien.

    ________Elle le regarda incrédule lorsqu'il répéta ' Deyvon et melvin'. Elle ne releva pas. Elle porta la tasse à ses lèvres et bu une pauvre petite gorgée de chocolat. Elle en gardait en stock, la conversation avait pour risque de s'éterniser un peu trop longtemps, autant garder du chocolat pour simuler une occupation, dans le cas présent boire à la tasse. Il la regardait dans les yeux. Elle ne baissa pas le regard quand elle posa sa tasse sur la table, elle la tenait de ses deux mains. Son regard azure soutenait le sien. Elle détourna le regard au bout d'un moment, elle se balança alors légèrement sur sa chaise. Jetant un œil furtif sur sa montre. Quand elle regardait sa montre ça n'était jamais bon signe, enfin... c'était plutôt un signe d'embarras. Il dit alors : « Aller tu peux tromper qui tu veux mais pas moi. »elle laissa planer un silence, elle le regarda alors, tournant la tête de gauche à droite en signe d'exaspération. Elle venait de dire par ce signe qu'elle ne parlerait pas, un point c'est tout. La technique confie toi à moi je te connais n'était pas ce qui marchait avec la sorcière. Non, lorsqu'on lui laisse le choix, il n'est pas question qu'elle se confie, non il n'est pas question. Elle le regarda, espérant sincèrement qu'il n'emploiera pas la méthode forte, elle n'avait pas envie de penser à ça, non, elle n'avait pas envie, non. Elle ne voulait pas. Elle ne voulait, parler, se confier, c'est s'ouvrir. S'ouvrir c'est faire fac eà ses sentiments, faire face à ses sentiments, c'est tout simplement souffrir. Elle ne voulait plus souffir. il ajouta sans lui laisser assez de temps pour se dérober : «Deyvon , Deyvon … raconte moi Miryà .. je ne vais pas te manger tu sais et promis je mords pas ! » Elle se figea. Elle resta muette. Elle détourna alors le regard. Elle ne le regardait pas. Elle lâcha sa tasse. Croisant ses bras sur sa poitrine comme une enfant que l'on venait de gronder, elle garda alors le silence n'était ce pas son droit ? Elle poussa un soupire et se leva alors. Énervé, contrariée, il fallait qu'elle marche, qu'elle fasse cent pas, qu'elle pense à autre chose. Mais sentant le regard de sirius sur elle, elle n'arrivait pas à retrouver paix et sérénité, comme il y avait quelques minutes. Elle s'arrêta et posa ses mains sur le dossier de sa chaise. Tournant sept fois dans sa langue avant de parler. Elle ne savait pas quoi dire. La vérité ? La vérité c'est qu'elle ne faisait que l'aimer, voilà. Elle l'aimait mais aller dire ça à votre meilleur ami, surtout si ce dernier à la réputation d'être un bourreau des cœurs qui joue impunément avec les cœurs innocents, à qui elle avait envie de lui chanter la chanson, « laisse tomber les filles laisse tomber les filles, un jour c'est toi qui pleurera ». d'ailleurs cette chanson s'appliquait tout aussi bien à siriuus qu'à Deyvon. elle articula alors : «Je.. Je crois que, je l'..aime.» elle avait dit ça calmement hésitante. elle qui détestait se confier, elle qui détestait aimer dit alors d'une voix plus cassante : «T'es content tu sais tout : ah c'est torp cool sirus lupin a un scoop ! » De l'instant où elle c'était livrée, à cet instant, il y avait une miryà totalement différente. Elle poussa un profond soupire et poussa un peu sa chaise nerveusement. Elle retourna près des fourneaux et posa ses deux mains sur le comptoir, de sore à tourber le dos à sirius. Elle ferma doucement ses yeux, calmant peu à peu sa respiration. Mon dieu elle l'avait dit. Mais quoi ? Qu'elle l'aimait. Elle n'était pas prête à souffrir. Elle ne voulait plus souffrir. L'amour quel jeu de masochistes.
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeDim 27 Déc - 11:35

    Rejeté sur le dossier de ma chaise j’attendais soit sa fuite soit ses aveux. Je me faisais l’effet d’un bourreau ou d’un auror pourri qui interroge de manière grossière une jeune femme sans défense. Je n’avais pas le beau rôle mais je n’avais pas le mauvais non plus. Puisque contrairement à un auror, je ne recherchais pas absolument la vérité, je n’étais pas là pour émettre un jugement ou condamner … j’étais là pour l’aider dans les limites de mes capacités. Miryà ne semblait pourtant pas décidé à cracher le morceau et s’enfermait actuellement dans son mutisme. C’était sa manière d’esquive. Elle me lança un regard significatif sur le fait qu’elle ne voulait pas répondre à mes questions ou plutôt à mes déductions. Mais qui ne dit rien consent ! Et oui, le silence était le plus bruyant des aveux. Un large sourire commença à apparaître sur mon visage et il ne cessait de s’agrandir. - Je.. Je crois que, je l'..aime avoua elle enfin avec un soupçon de gêne vite remplacé par la colère. Mon sourire se figea à son apogée et je soutins son regard colérique. Je savais qu’elle avait horreur de ça. Mais au moins maintenant peut être réfléchira elle sur la portée de ses sentiments. Je savais que Miryà se croyait hermétique à ce genre de choses, que ça ne l’atteignait pas. L’amour pour elle, ça ne valait rien, ça n’avait pas de sens. Pour moi non plus, ça n’avait pas de sens, je n’y croyais pas un peu comme elle. Cela n’avait rien à voir avec ma lycanthropie ou le fait que à cause de ça, je ne marierai certainement jamais … De toute façon, le mariage et les enfants, ce n’était pas pour moi. Le mariage ce n’étaient que des liens et des concessions. Je ne voulais pas me priver de ma liberté d’action et de la liberté tout court. Personne ne devrait avoir un jour à me dicter mes actes. Non décidemment, jamais …. Et Miryà était comme ça, pour des raisons différentes et peut être pour des raisons stupides. Et c’est pour ça que d’un côté sans pouvoir plus l’aider qu’une fille je pouvais la comprendre mieux que personne. Les froufrous blanc, le bouquet figé et la tonne d’invités, ça lui faisait peut et moi je trouvais ça inutile. Mais un jour il finirait par être mère de famille et à côté elle aurait une brillante carrière dans la branche de son choix. C’était couru d’avance. - T'es content tu sais tout : ah c'est trop cool Sirius lupin a un scoop ! cracha elle d’une voix sèche. Et malgré son ton, sa colère visible, je gardais mon sourire. Si elle pensait que j’allais aller le colporter je sais ou, elle me connaissait bien mal. Personne ne toucher à Miryà sinon il avait à faire à moi. Je la protégeais un peu comme ma sœur, ce n’était pas pour avoir le monopole de l’humiliation. Ce n’était pas mon genre et surtout pas sur une personne de ma famille et encore moins sur ma cousine favorite. Ma petite perle, ma préférée. Elle se leva et alla vers le fond de la cuisine d’un pas raide et le dos droit. D’un côté son comportement présent m’amusait autant qu’il m’exaspérait. C’était un peu stupide de se mettre dans des états pareils. Je n’étais pas un étranger, j’étais son cousin.




    Je la laissais siffler et souffler quelques secondes pour se calmer. Je n’avais pas envie d’être la victime d’un geste un peu brusque quoique… Miryà n’oserait jamais m’en mettre une et puis fallait encore qu’elle y arrive de toute façon. Je me levais de ma chaise et prit le temps d’étirer mes muscles un peu endormis. J’avais de désagréables sensations de fourmillement dans les chevilles. Je détestais ça. Je me plaçais dans son dos, et posais deux mains réconfortantes sur ses épaules avant de la calait doucement dans mes bras. Même avec Miryà, il était rare de me voir donne des marques de tendresse. Les câlins et les bisous, ce n’étaient pas trop mon truc. Je le faisais avec mes copines mais elle en général elle restait pas assez longtemps pour me les réclamer. – Tu as finis de bouder, en plus tu n’as fait que confirmer ce que je savais déjà alors le scoop je l’avais déjà et puis ce n’est pas un scoop. J’irais jamais colporter une information te concernant. lui dis je doucement. Le fait qu’elle avait pu penser le contraire quelque secondes m’avait quand même pas un peu vexé. Si en me connaissant depuis les couches, elle était incapable de savoir ça, c’était vexant. Je le laissais penser à mes paroles quelques secondes. Elle pouvait être un peu interprété comme un reproche voilé. Enfin, je détestais quand Poussinou foutait de moi de cette manière. Enervant. – Pourquoi tu ne lui dis pas ? Après tout, c’est ton meilleur ami ? Il est bien capable de le comprendre et puis si jamais il te fait du mal, il risque de pas voir le jour se lever le pauvre déclarais je. J’aimais bien Deyvon, mais j’aimais encore plus Miryà et si il lui faisait du mal, alors il ne serait plus vraiment dans mes bonnes grâces. Ce n’était pas tout d’y rentrer mais une fois qu’on en sortait, on n’y revenait jamais. Oui j’avais un côté très rancunier. Après c’est sur, je ne pouvais pas forcer Deyvon a aimait Miryà, ce n’était ni mes affaires, ni mon devoir. Et c’est ça qui faisait peut à Potter , le refus.
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MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeDim 27 Déc - 14:17

    ________Fière. N'aviez vous pas encore compris que derrière ce visage porcelaine, se sourire parfait, et cette intelligence hors du commun se cachait tout simplement une sorcière trop fière d'elle même pour avouer ses faiblesses ? Miryà était une Potter, elle était fière, elle tenait ce fâcheux défaut de ce côté ci de la famille, fière d'être intelligente, mais au fond fière d'être une potter bien qu'elle daigne le dire. Elle était debout, ses deux mains posées sur le comptoir. Elle s'appuyait sur ces dernières. Rien n'était plus dure à dire que la vérité. La vérité était ce qui avait toujours effrayée la sorcière. Elle avait toujours couru après la vérité, elle qui était avide de savoir et de connaissance. Jusqu'au jour où la vérité blesse profondément, profondément, et laisse une marque indélébile sur votre peau, vous marquant alors en plein cœur. La vérité blesse, la vérité n'est pas toujours bonne à dire. Il y a des choses qui sont faites pour rester secrètes. Il existe ce que l'on garde bien fermement pour nous, de peur que l'éclosion de la vérité vienne perturber le train train de la vie, perturber les choses, bouleverser l'existence. Il existe des secrets plus ou moins gros, certains ne sont pas important, d'autre feront l'effet d'un pavé jeté dans une mare, tandis que d'autre auront l'effet d'une bombe. On ne prédire les conséquences avant de révèlé quoi que ce soit. Effrayée par la vérité, par ses conséquences, et surtout par le changement Miryà était devenue une fidèle allié du mensonge, ou plutôt elle omettait la vérité, car jusque là, nul ne lui avait posé cette question. Qui aurait pu lui poser une telle question ? Elle était certaine qu'elle avait tout fait pour ne jamais laisser supposer quelque chose du genre. Mais sirius la connaissait visiblement trop bien, il en savait trop pour elle pour détourner ses mensonges. Il était décidément l'homme qui en savait trop.

    ________Avant Qu'il ne place le moindre mot, qu'il ne répondre à ce qu'elle venait de dire sans détour. Il sa plaça dans son dos. Les effusions de tendresses n'étaient pas choses courantes pour sirius en miryà, ils se contentaient souvent de s'ébouriffer les cheveux, de ses lancer des piques sarcastiques, mais de la tendresse c'était bien plus rare. Il la cala contre lui. Ne bronchant pas elle se laissa faire. Elle poussa un soupire à peine perceptible. et il dit alors : « Tu as finis de bouder, en plus tu n’as fait que confirmer ce que je savais déjà alors le scoop je l’avais déjà et puis ce n’est pas un scoop. J’irais jamais colporter une information te concernant. » Elle haussa les épaules. Non, elle n'avait pas fini de bouder, et il était bien placé pour le savoir. Quand elle se met à bouder, il est dur, dur de la faire cesser. Susceptible, elle prend la mouche plus vite que n'importe qui. Elle le regarda quand il dit qu'elle n'avait fait que confirmer. Elle lui jeta un regard quasiment noir. Comment avait il pu savoir ? Il essayait de lui faire croire qu'il ne la connaissait que trop bien, prêcher le faux pour obtenir le vrai ? C'était donc ça sa technique, ou bien disait il la vérité. Certaine de n'avait laisser transparaitre aucun indices, aucunes faiblesses, elle pensa plutôt qu'il avait prêcher le faut pour obtenir un aveux. Il ne colporterai jamais rien la concernant ? Bien sûr qu'elle le savait. Dans son énervement chronique la sorcières avait tendance à tout oublier. Mais il ne faisait jamais de mal de rappeler quelques bases. Elle savait qu'il ne dirait rien, il tenait à elle, elle tenait à lui. A vrai dire, il était son cousin préféré. Fille unique elle avait toujours perçu en Sirius le frère qu'elle n'avait jamais eut sans jamais vraiment le dire, non, encore une fois trop fière.

    ________La laissant quelques secondes dans le silence, elle avait réfléchie à ses paroles. Elle ne répondit pas. Son silence avait pour signe une approbation. Le silence à lieu de consentement avec la sorcière, en effet lorsqu'elle désapprouve elle vous le fait savoir avant que vous n'ayez pu dire quidditch. « Pourquoi tu ne lui dis pas ? Après tout, c’est ton meilleur ami ? Il est bien capable de le comprendre et puis si jamais il te fait du mal, il risque de pas voir le jour se lever le pauvre. » Elle poussa un autre soupire. Avouer, c'était une évidence. Il lui disait cette solution comme si elle n'y avait jamais pensé, comme s'il s'agissait de l'idée du siècle. Il était son meilleur ami, justement le problème se situait exactement à ce point précisément. Être le meilleur ami de quelqu'un c'est ne jamais accordé plus que de l'amitié. L'amitié est l'amitié, l'amitié n'est en rien de l'amour. Bien qu'elle n'ai la certitude de l'aimer, elle savait que ce qu'elle ressentait outrepassait l'amitié. Comment peut on dire à dix sept ans que l'on aime ? On ne peut pas vraiment. On ne devrait pas pouvoir. On ne sait que l'on aime lorsque l'on est blessé. On sait que l'on aime que lorsque l'amour nous a profondément blessé, heurté en plein cœur. Elle espérait ne jamais avoir la certitude. Comme le disait si bien Will Shakespeare, pourquoi est il si doux d'aspect, mis à l'épreuve si tyrannique ? Elle soupira une nouvelle fois. Retrouvant peu à peu un calme intérieur. Il était dure d'imaginer lorsque l'on ne la connaissait pas l'impulsivité de la sorcière, un rien la mettait hors d'elle. Derrière l'apparence calme et sage s'était toujours caché une sorte de furie destructrice. Elle avait toujours ses mains posé sur le comptoir. Ses poings s'était doucement relâchés. Il lui fallait du temps pour évacuer le stresse, l'angoisse et la colère, ces trois sentiments qu'elle n'était jamais parvenue à distinguer et qui avait en elle l'effet d'une bombe.

    ________« Tu ne comprends pas. » Dit elle dans un souffle. Elle retira ses mains du comptoir, et s'extirpa en douceur des bras de sirus, se retourna pour lui faire face. Elle avait horreur de ne pas voir ses interlocuteurs lorsqu'elle parlait. Elle le regardait de ses yeux bleus, exprimant à la fois une sorte de regret et en même temps un soulagement de pouvoir en parler à quelqu'un. Comme si elle avait avait pu en parler à Melvin, autant dire qu'elle aurait pu le dire directement à deyvon. Voilà pourquoi des fois, elle regrettait tant de ne pas avoir de meilleure amie féminine pour lui confier ce genre de chose. Mais d'un côté sirius faisait office de fille, car elle savait qu'il tiendrai sa langue, et que s'il vendait la mèche la petite brune viendrai le lui faire regretter. Elle dit alors de sa voix fluette, douce, sans ce ton cassant qui avait été là l'instant d'avant, dépourvu de superflu, dépourvu de mensonge, et non dénué de sincérité : « Qu'est ce qu je devrais faire ? lui dire ? rèfléchie un peu Sirius c'est mon meilleur ami. Je ne veux pas gâcher de longues et super années d'amitiés pour de foutus sentiments qui ne sont peut être qu'au fond une manifestation de l'amitié que je lui porte, de l'attachement, amical, que je lui porte. » peu convaincue par ses paroles, elle laissa planer un silence. peu convaincue par ses paroles, elle laissa planer un silence. Elle regardait toujours sirius et se mordit doucement la lèvre inférieur. Elle disait la vérité, elle ne voulait rien gâcher, non, elle ne voulait rien gâché. Tout avait déjà faillit s'écrouler une fois. Elle s'en souvenait bien qu'elle avait joué l'amnésique. Elle refusait d'être une fille parmi tant d'autre. Elle refusait d'être l'énième jouet d'un homme à femme, voilà pourquoi elle avait joué l'amnésique, espérant que cet instant s'effacerai de son esprit, en vain. Elle ajouta alors : « Et puis, je ne veux pas aimer, je sais que... quoi qu'il arrive, quoi qu'il advienne, je serai blessé, tôt ou tard. je le connais, il ne reste jamais avec une fille. alors autant rester son amie, il a au moins un peu d'estime pour moi. » elle n'avait pas peur du refus, seulement d'être jeté après. D'être rejeté, après.
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Sirius Orly W. Lupin

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• Un casse dalle presque parfait .... Vide
MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeLun 28 Déc - 12:18

    - Tu ne comprends pas. Me dit elle. C’est sur je ne pouvais comprendre ce qu’elle ressentait. Je n’étais jamais tombé amoureux. Alors oui, je m’étais une ou deux fois attaché à une fille, elles me fascinaient aussi mais il n’y avait jamais rien eu de plus. Et j’étais différent de mon grand père, je ne pensais pas qu’en étant un lycanthrope je n’avais pas le droit à l’amour mais … en fait je ne le cherchais pas. J’en avais tout simplement pas envie. Je me disais qu’un jour ça finirait peut être pas m’arriver. A 18 ans, j’étais tout de même assez désabusé. J’étais plutôt dans l’optique, ça arrive tant mieux, ça arriva pas tant pis. Je n’étais certes pas du genre à attendre les sentiments, à courir derrière dans l’espoir de un jour les toucher du doigt. Non moi, je vivais ma vie au jour le jour. Dans ma famille rescapée de guerre on savait bien que la vie était bien trop courte et même si une guerre était finie, on n’était jamais à l’abri d’une autre. Moi je me contentais peut être égoïstement de profiter de chaque seconde, c’était mon optique de vie et pour l’instant je n’étais pas prêt d’en changer. Non, j’étais bien dedans, un peu comme seul maître. Personne ne me disait quoi dire et quoi penser. Il y avait moi et les autres, on vivait ensemble, on s’entendait mais aucun ne venait vraiment impiété sur mon territoire. Chasse gardée. Et puis de toute façon, c’était comme ça et puis c’était tout.




    Maintenant il était certain que je ne pouvais pas comprendre l’ampleur de ses sentiments et sa souffrance mais en attendant je pouvais l’écouter et lui faire part de mon opinion. Lui apporter un point de vue extérieur et masculin sur la question. Et ce n’étaient pas ses regards sceptiques qui me feraient faire marche arrière. Elle m’avait avoué, j’étais là pour l’aider et j’espérais au fond qu’elle en soit certaine. - Je ne veux pas gâcher de longues et super années d'amitiés pour de foutus sentiments qui ne sont peut être qu'au fond une manifestation de l'amitié que je lui porte, de l'attachement, amical, que je lui porte asséna elle en se dégageant de mes bras. Je ne tentais pas de l’y garder, je n’étais jamais très à l’aise avec quelqu’un dans mes bras, surtout quand c’était une personne à laquelle je tenais. Je lui lançais un simple regard dépourvu de toute trace de sentiment. Un peu vide mais je réfléchissais à ses belles paroles qui pouvaient être censée. Miryà n’avait jamais cherché à tourner le problème, à voir de l’autre côté, à regarder d’un autre œil. Elle s’était bornée dans sa vision des choses et je savais qu’il serait bien difficile de l’en déloger. Mais je pouvais encore chercher à l’y faire réfléchir ou au moins sans le lui faire accepter, le prendre en considération.




    Je pris bien le temps de réfléchir pour lui répondre alors qu’elle semblait faire de même de son côté mais peut être pas pour les mêmes raisons. – Pourquoi pense tu que cela gâchera votre amitié ? demandais je doucement. Et puis je repris sans lui laisser le temps de parler avec des arguments un peu plus fort plus poussé. – Et quand tu pourras plus faire semblant Miryà, quand un jour tu seras obligé de faire un choix ? Tu auras caché ça pendant tellement d’années que tu ne sera même plus quoi faire. Qu’est que tu feras quand tu pourras plus mentir et cacher, tu vas fuir …. Ou avouer ? Dans tous les cas, il arrivera forcément un moment ou tu seras obligé de faire un choix. Tu feras celui que tu crois juste pour toi certes0. Tu parles de gâcher une amitié, c’est tin meilleur ami pas un étranger, il ne te rejettera pas violemment et il restera quoiqu’il arrive ton ami. Mais ton amitié avec lui est en devenir, peut être même vouée à l’échec. Tu restes bornée sur tes positions et je te comprends, mais toi réfléchis … prends le problème d’un autre point de vue. Fini je sans triomphe. Elle allait peut être pas aimer ce que je venais de dire mais je ne reviendrais pas sur mes paroles. Elles n’étaient pas dénuées de sens. Bien au contraire. J’avais tourné le problème à l’envers, n’essayant pas de voir sur le présent mais sur la distance. Pour le coup, je la sentais perdue c’est sur elle ne devait pas s’attendre à ce que je parle de ça, de cette manière. J’étais intelligent et je le savais et mon intelligence planait bien au dessus du simple travail scolaire. J’avais la capacité d’analyser les autres, de les ressentir. Autant que je m’en serve un peu pour aider ma famille et mes proches.



    - alors autant rester son amie, il a au moins un peu d'estime pour moi. Finit elle. C’était un argument difficile à contrer. Je connaissais bien Deyvon et lui et moi sur ça, on se ressemblait drôlement. Alors bien sur je pouvais me servir de mon expérience, de ce que j’étais pour démontrer qu’on n’était pas non plus dénué de cœur. Mais même avec ça, je ne serais jamais Deyvon. Il pouvait encore m’étonner bien que cela serait certainement la dernière chose qui lui saurait donner de faire. Je ne comptais pas mener l’enquête, je n’étais pas un marieur et je n’étais pas très doué à ce jeu là. Et puis, je savais qu’il ne fallait jamais se mettre au milieu d’une histoire qui ne nous concerne pas sous peine de voir tout nous retomber dessus. – Il aura toujours de l’estime pour toi, quoi que tu fasses et c’est bien la seule chose dont je ne suis sure à son sujet. Finis je quand même par déclarer. Je ne pouvais pas m’avancer sur le reste. D’un coup de baguette, j’enveloppais les pancakes restant dans un papier pour les garder et les protéger. Trois coups de baguette plus tard, les pots de confitures, le lait, la casserole, tout fut lavé et de retour à sa place. La table fut rapidement propre. Il était tard et bien l’heure d’aller dormir. – Allez viens lui intimais je doucement. J’ouvrais le tableau et la laisse passer. C’est le noir oppressant des cachots qui nous accueilli. – Ne traînons p … commençais je avant de m’arrêter. Je jurais mentalement et pris le bras de Miryà avant de me mettre à courir seulement guider pour mon instinct. On gravit précipitamment les escaliers du hall. Derrière nous, ce n’était pas le concierge, mais un prof bien décidé à nous coincer….
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• Un casse dalle presque parfait .... Vide
MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeLun 28 Déc - 20:46

    La sorcière était une personne de nature penseuse. Elle aimait avoir le contrôle de tout ce qui touchait de près ou de loin à son univers. Elle passait beaucoup de temps perdue dans ses pensées. Elle passait du temps à essayer de prévoir ce qu'elle ferait l'instant d'après, et ce armé de sa logique quasi imparable. Elle analysait tout, elle contrôlait tout. Ou presque, dès que les évènements dépassaient le stade du rationnel, elle ne répondait plus de rien, et se laissait complètement submergé. Le relationnel, le sentimental, rien n'avait jamais été sa tasse de thé. Au jardin d'enfant elle avait toujours compris pourquoi il fallait faire ce ci comme ça, mais elle n'avait jamais compris le jeu des autres enfants. Elle n'avait jamais compris les autres enfants. Elle avait commencé à se socialiser vers ses huit ans, et elle avait connu sa première déception amicale, une gamine qui s'était fait passé pour son amie mais qui n'était en faite intéressé que par miryà car elle l'aidait à faire ses devoirs. Miryà n'a à partir de ce jour plus jamais vraiment eut d'amie féminine. Alors depuis, question amitié, la sorcière avait peur, un peu peur de tout gâcher à cause de n'importe quoi. Elle avait mis du temps à devenir ami avec Deyvon et Melvin, mais aujourd'hui, elle ne le regrettait pas, le temps avait construit une amitié forte et solide, capable de traverser le temps, enfin, elle espérait. Elle ne voulait pas gâcher une amitié, non pas à cause de cette foutue chose que l'on appelle amour. Elle écouta alors Sirius :

      « Et quand tu pourras plus faire semblant Miryà, quand un jour tu seras obligé de faire un choix ? Tu auras caché ça pendant tellement d’années que tu ne sera même plus quoi faire. Qu’est que tu feras quand tu pourras plus mentir et cacher, tu vas fuir …. Ou avouer ? Dans tous les cas, il arrivera forcément un moment ou tu seras obligé de faire un choix. Tu feras celui que tu crois juste pour toi certes0. Tu parles de gâcher une amitié, c’est tin meilleur ami pas un étranger, il ne te rejettera pas violemment et il restera quoiqu’il arrive ton ami. Mais ton amitié avec lui est en devenir, peut être même vouée à l’échec. Tu restes bornée sur tes positions et je te comprends, mais toi réfléchis … prends le problème d’un autre point de vue. »

    La sorcière haussa les épaule. Si, elle pouvait très bien faire semblant, il pouvait y arriver elle en était persuadée. Elle espérait qu'avec le temps tout, tout ces sentiments qu'elle ne devrait pas avoir s'effaceraient comme ils étaient venus et ne seraient plus que des mauvais souvenir. Elle ne pouvait reste éternellement éprise du même homme, elle ne pouvait pas. Ça n'était pas possible qu'un seul homme occupe indéfiniment vos pensés. Ça ce n'était qu'au cinéma moldu, seule Julia Roberts dans le mariage de mon meilleur ami était resté éprise de son meilleur ami. Miryà avait la conviction, ou plutôt espérait fortement qu'elle ne resterait pas soumise, ni esclave de ce sentiment. Il fallait qu'elle passe à autre chose, il fallait qu'elle passe à autre chose avec quelqu'un d'autre avant qu'il n'obnubile complètement ses pensées, bien que c'était déjà quasiment le cas. Sirus tentait de la faire réfléchir, il tentait, elle s'était bornée à un point de vue, pour elle l'autre point de vue n'était absolument pas recevable, avouer était pour elle contraire à sa raison, même si son cœur lui disait que sirius avait raison, mais ne se laissant jamais guider par autre chose que la raison la sorcière secoua la tête de gauche à droite en signe de désapprobation. La sorcière comprenait son point de vue, le respectait mais ne le cautionnait pas. Elle ne dirait rien tant qu'elle serait gouverné par la raison, elle le savait. Sa raison lui dictait de rester muette, lui disant que le temps finirait par tout arrange, qu'avec le temps, les sentiments s'en vont, lui disait qu'avec le temps, elle ne l'aimerait plus. Elle espérait. Plus elle espérait cette disparition de sentiment plus son image venait la hanter, comme pour lui rappeler qu'elle n'était que son esclave. Elle tenta de chasser cette image de son esprit, mais par la force des choses, elle se rappelait à elle, sans cesse. Lorsqu'elle n'eut pas parler de lui, elle ne pensait pas à lui. Mais là, le sujet était lancé, il fallait qu'elle pense à autre chose. Elle ne daigna même pas répondre à son cousin, elle se contenta de laisser planer un silence. Le silence avait lieu d'une compréhension, mais elle n'ajouta rien, restant alors sur sa position, elle ne dirait rien. Tant que sa raison sera ce qui la guidera, elle ne dira rien. Elle espérait parfois que sa raison s'en aille pour laisser parler son cœur, mais son manque de courage était compensé par sa raison.

    La sorcière resta là, les bras ballants. Elle fini par les recroiser au bout d'un certain temps. La sorcier lui dit que quoi qu'il arrive, il aurait toujours de l'estime pour elle. La sorcière n'en était pas persuadé, loin de là. Bien qu'au fond d'elle même elle espérait qu'au moins au nom de leur amitié il garderait toujours un semblant d'estime pour cette fille qui avait été son amie pendant de longues et belles années. Mais, elle se voulait réaliste, il n'avait vraisemblablement pas une once de respect ni même d'estime pour toutes ses conquêtes. Que pouvait elle espérer obtenir d'un homme comme lui si ce n'est de la déception, de la tristesse et une grande souffrance ? Dramatique jusqu'au bout, la sorcière ne voyait nullement quelque chose de positif dans tout ça. Elle haussa une nouvelle fois les épaules. Sa raison, une nouvelle fois sa raison lui dictait qu'elle avait elle même raison, l'omission des sentiments était la meilleure des solutions. La sorcière n'avait plus envie d'aborder ce sujet avec qui que ce soit, après, elle le regrettait, elle se retrouvait toujours tirailler entre raison et cœur.

    La sorcière allait sortir sa baguette pour ranger le bordel accumulé dans la cuisine, sentant très bien que leur escapade nocturne touchait à sa fin. Elle le savait, elle allait avoir du mal à trouver un autre sujet de conversation, la sorcière était désormais contrarié pour un bon moment. Il en fallait peu pour la contrarier, mais la contrarié pour un bout de temps était quelque chose qui n'était pas très courant. Il y avait des sujets qui la contrariait plus que d'autre, ses sentiments pour Deyvon, sa famille et leur pseudo courage, le fait qu'elle soit absolument terrifié par l'eau, voilà ce qui pouvait la contrarié, et également l'amour, voilà le sujet qui la mettait le plus en rogne. Sirius emballa les pancakes qui restait. Cela fit plaisir à la sorcière, vraiment plaisir. La sorcière était touché. Oui, car il aimait sa cuisine, un rien la rendait heureuse. D'un coup de baguette sirius fit disparaître le bazar ambiant qui s'y était installé. La sorcière était douée en cuisine, mais, l'était beaucoup moins lorsqu'elle devait ranger tout ce qu'elle avait précédemment sortie. Sirius lui demanda de la suivre. Elle ne dit rien d'autre et se contenta de laisser apparaître un petit sourire sur ses lèvres. Elle passa devant lui, ce dernier lui ouvrit le tableau pour qu'elle puisse passer. Elle s'imaginait mal sans sirius, même s'il n'était pas toujours là, il était là quand elle avait besoin de lui, il était toujours là, tout le temps. il dit alors :

      « Ne traînons p … »

    Sa voix se tu alors. Il s'arrêta brusquement. La sorcière lui adressa un regard inquiet se demande d'abord si son cousin était sein d'esprit. Sans qu'elle n'eut le temps de dire quoi que ce soit il la pris par le bras et se mis à courir. Entrainé la sorcière fit de même, tentant de suivre ses pas sans tomber. Tout deux gravirent à toute vitesse les escaliers du hall. La sorcière compris alors ce qu'il fuyait quand elle entendit des bruits de pas dans le hall, derrière eux. Elle pressa naturellement le pas, se découvrant grâce à l'adrénaline une bonne capacité de sprint et d'endurance. Alors que sirius continuait tout droit, la sorcière le poussa vers une petite porte. Elle le fit entrer à tout allure. Elle referma la porte dans le silence le plus total. Elle fit signe à sirius de se taire. Ils étaient entré dans une salle, la sorcière lui fit signe d'avancer cette pièce était une sorte de raccourci. Elle permettait de sortir sur un autre couloir qui menait directement aux escaliers qui menaient à leur tour respective.

      « CHUT ! »

    Lâcha t elle alors dans un sifflement quand sirius allait dire quelque chose. Elle lui fit les gros yeux. Miryà savait être persuasive quand elle le voulait. La sorcière colla doucement son oreille contre la porte qui donnait sur le couloir qu'ils devaient emprunter. Les bruit des pas s'éloignaient dans la direction dans laquelle ils n'allait pas, elle dit alors à mi-voix pour ne pas se faire repérer :

      « Ne mange pas trop tu ne va pas arriver à dormir, j'vais rentrer au dortoir, normalement je devrais pas me faire prendre »

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• Un casse dalle presque parfait .... Vide
MessageSujet: Re: • Un casse dalle presque parfait .... • Un casse dalle presque parfait .... Icon_minitimeMar 29 Déc - 12:13

    J’avais peut être un peu trop mangé. Mais rien n’allait rester dans mon estomac si je continuais de courir. Je n’avais même pas encore entamé ma digestion, et les pancakes commençaient à vraiment me faire défaut. J’adorais la cuisine de ma cousine et le problème résidait en ce fait. Je l’aimais tellement que lorsque je commençais à en manger, je ne m’arrêtais plus avant d’avoir fini. Je faisais de la boulimie à la nourriture de Miryà. Bon heureusement, j’avais de la marge question kilos en trop. Ethan ne comprenait d’ailleurs pas comment en mangeant autant je pourrais maigrir … oui parce que les trois quarts du temps, je ne grossissais pas. Disons que c’était une de mes nombreuses facultés. Je n’étais pas non plus maigre et sans forme. J’avais et je le savais des muscles bien dessiné et voyant. Ils n’étaient pas du à une pratique récurrente du Quiddicth puisque les fois ou j’étais monté sur un balai se comptait sur le doigt de la main. Je n’avais pas le vertige, cela n’avait juste pour moi aucun intérêt. Alors oui, en vacances lorsque mon frère me demandait de jouer avec lui, je le faisais mais général même lui appelait ses potes pour une partie. J’aurais pu m’en sentir vexé, ce ne fut jamais le cas. En attendant mes excès, j’allais els payer si je n’arrêtais pas de courir assez rapidement. Miryà sembla avoir pris conscience de mont rouble ou alors ce ne fut qu’une coïncidence, néanmoins, elle me tira avec une force insoupçonnée vers une porte. Elle l’ouvrit et la referma avec délicatesse pour ne pas faire de bruit et ainsi alerter la personne qui nous cherchait. Elle me poussa dans le dos pour me faire avancer. J’essayais d’ouvrir la bouche pour parler mais elle me fit taire rapidement. Elle a de l’autorité lorsqu’elle s’y met. Et puis elle est si mignonne lorsqu’elle fait ses gros yeux, on est obligé de l’écouter. Elle colla son oreille contre le bois brut de la porte pour écouter les bruits extérieurs. J’en profitais pour faire glisser mon regard sur les murs nus et froids de ce petit passage secret, inconnu de ma connaissance. Comme quoi, j’avais encore des choses à apprendre sur Poudlard et que même après huit ans à errer dans ce château, j’avais encore des choses à découvrir. Rien n’était encore fait et tout restait donc à faire.




    - Ne mange pas trop tu ne va pas arriver à dormir, j'vais rentrer au dortoir, normalement je devrais pas me faire prendre finit elle par déclarer. Je me retourne vers elle et l’observe doucement. – Tu es sure que tu ne veux pas que je t’accompagne ? demandais je même si je savais que c’était inutile. Elle fit un signe négatif de la tête en me souriant. Sourire que je lui rendis bien sur. Je passais une main dans ses cheveux et lui j’embrassais son front en lui faisant un clin d’œil. – Fais attention dis je avant de disparaître dans l’obscurité de la nuit. Le couloir était maintenant bien vide mais les professeurs rodaient toujours dans les parages. C’était même à croire qu’ils ne dormaient jamais. Ce fut donc à pas de loup que je me dirigeais vers ma salle commune. Arrivé j’eus la désagréable surprise de voir que la grosse dame avait quitté son tableau pour aller batifoler ailleurs. Je lâchais un soupir résigné en m’asseyant à même le sol. J’étais obligé d’attendre maintenant. Je pouvais encore parcourir les couloirs pour me défouler et digérer mais je préférais rester calmement assis dans le noir à l’affût du moindre bruit pouvant suspecter une présence. Faire de la maraude seul, ce n’était pas très drôle. Les histoires qu’on me racontait sur les maraudeur avaient le don de me faire rêver et ce encore même à 18 ans. J’étais un de leur descendant, il n’y avait pas plus grande fierté que ces héros de guerre. J’eus évidemment une pensée triste pour le tristement célèbre James Potter. Son fils Harry, était le grand père de ma cousine chérie, j’avais énormément d’estime pour cet homme et mon père beaucoup d’amour pour lui. Après tout, il était son parrain et il l’avait bien à moitié élevé à la mort de mes grands parents. De belles histoires qui se sont vu créer dans le sang et la soumission.



    Je restais perdu dans mes pensées. Je n’avais même pas vu le retour tant attendu de la grosse dame rose qui me fixait incrédule de tant de froideur et d’immobilité. Je finis tout de même par m’en rendre compte et lui donna le mot de passe. Pour une fois, elle ne fit aucune histoire et consentit à m’ouvrir le passage à al salle commune. Je la remerciais doucement. Ce fut un feu ronronnant que m’accueilla. Un sourire fugace passa sur mes lèvres à l’ambiance de quiétude ambiante. Je ne m’attardais pourtant pas et je montais rapidement les marches de mon dortoir glissant un regard sur les murs rouges emplis de nostalgie. Je refermais doucement la porte de mon dortoir derrière moi, et seul le ronflement sonore d’Ethan répondit à ma soudaine intrusion. Je passais par la salle de bain pour me laver les dents et me mettre en pyjama. J’avais juste pris l’habitude de dormir en boxer, j’avais horreur d’être serré dans mes vêtements. Une des raisons pour lesquelles je ne mettais jamais de ceinture à mes pantalons, que ma cravate rouge et or pendait souvent autour de ma peau brunie par le soleil et que les premiers boutons de ma chemise n’étaient jamais boutonné. Je m’allongeais dans mon lit et rabattit la couverture jusqu’à ma taille. Mes bras trouvèrent refuge sous ma tête et les pancakes de Miryà eux avaient trouvé refuge sur ma commode. Je restais un long moment à fixer la noirceur du plafond avec pour seul bruit , les ronflements et les respirations de mes camarades de chambre. Et puis sans m’en rendre compte je finis par s’endormir.
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