Ramsey-Wade Bennersohn PARCHEMINS : 36
DATE D'INSCRIPTION : 02/02/2010
AGE : 33
CREDIT : Psychotic Prince
| Sujet: MASTER OF MY FATE CAPTAIN OF MY SOUL Mar 2 Fév - 17:52 | |
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NOM DE FAMILLE: BENNERSOHN PRÉNOM(S) : RAMSEY-WADE DATE DE NAISSANCE : 20 NOVEMBRE NATIONALITÉ : ANGLAISE VILLE DE NAISSANCE : CARDIFF LIEU D'HABITATION : CARDIFF NATURE DU SANG : MÊLE ANNÉE DE SCOLARITÉ : 9EME MAISON : GRYFFONDOR
"Dans la nuit qui m'environne, Dans les ténèbres qui m'enserrent, Je loue les Dieux qui me donnent Une âme, à la fois noble et fière. Prisonnier de ma situation, Je ne veux pas me rebeller. Meurtri par les tribulations, Je suis debout bien que blessé. En ce lieu d'opprobres et de pleurs, Je ne vois qu'horreur et ombres. Les années s'annoncent sombres Mais je ne connaîtrai pas la peur. Aussi étroit soit le chemin, Bien qu'on m'accuse et qu'on me blâme. Je suis le maître de mon destin, Le capitaine de mon âme. " INVICTUS POEM | | SERVIABLE - ATTENTIONNÉ - INTELLIGENCE DANS LA MOYENNE - COURAGEUX - AVEUGLE FACE AU DANGER - MANIAQUE - PERFECTIONNISTE - OBSÉDÉ PAR L'ORDRE - AIME TOUT CONTRÔLER - VIOLENT LORSQU'IL NE CONTRÔLE RIEN - PLUS OU MOINS DOUÉ EN QUIDDITCH - IMPULSIF - PARFOIS RÊVEUR - PARFOIS POÈTE - CONSCIENT DE SON COTE MANIAQUE MAIS N'ARRIVE PAS A S'EN DÉFAIRE. |
QUATRE ANS - ORIGINS Il était à peine plus haut que la table de la cuisine, pourtant, ce garçon avait déjà l'esprit vif. Il répondait au nom de Ramsey-Wade Bennersohn. À cet âge là, la magie était un rêve pour lui, il n'en avait jamais entendu parlé, non pas que sa famille ne soit pas sorcière mais elle avait renié la magie il y avait bien des années, se jurant d'en finir avec ça. Mais le jeune garçon n'en savait rien, sa vie était rythmé avec l'école, le goûter, les dessins animés et les repas le soir en famille. Ces repas le passionnait, il écoutait avec fascination son père parler de son travail, ce dernier était scientifique moldu. L'enfant admirait son père, mais éprouvait une véritable fascination pour sa mère qui ne parlait quasiment jamais, mais qui lui témoignait un amour sans faille.
Ce soir là, le soleil était encore là, l'été battait son plein. La chaleur du mois de juillet était insoutenable. Mitchum Bennersohn, son père était assis sur la terrasse, il lisait le journal, tandis qu'à côté de lui, il y avait le barbecue qui fumait. Le petit garçon qui jouait avec son ballon de foot ball et il pouvait dors et déjà humé la douce et délicieuse odeur du barbecue. Il jouait tranquillement, sous les encouragements de son père, et sous les encouragements de sa mère qui avait maintenant disparut du jardin depuis quelque seconde, sans doute pour retourner à sa cuisine où chauffait de délicieux mets. Ramsey fut rejoint dans le jardin par sa petite sœur, Mona-Wendy, ou tout simplement Mona. À cette époque, il avait quatre ans, sa petite sœur en avait deux, elle marchait à peine et écartait les bras pour rester en équilibre durant sa conquête du ballon. Ramsey, jouait avec sa petite sœur, plus petite que lui. Mona était plus petite, mais son sourire était angélique. Quand Ramsey tira le ballon loin du jardin, de l'autre côté de la route. Il posa ses deux petits mains sur les épaules de Mona, et lui dit d'une voix enfantine, mais fraternel : « Ne bouge pas, je reviens !» lui tapotant doucement sa petite tête, il lui tira doucement la langue. Il se dirigea en courant vers la porte vitrée du salon. Le ballon était passé par dessus la clôture, il devait sortir et traverser la maison pour aller chercher le ballon. Il entra alors, passant dans la cuisine. Il espérait y trouver sa mère. Mais il n'y avait personne, une délicate odeur de brûlé s'en échappait. Les pommes de terres dans le poêle était carbonisé. Il chercha sa mère, l'appellant alors : « MAMAN ! MAMAN ! » N'ayant aucunes réponses il haussa les épaules. Il quitta la cuisine et sorti par la porte de devant. Il voyait son ballon, juste au pied de la poubelle. Du haut de ses quatre ans, il était petit pour les garçons de son âge. Il traversa la pelouse qui le séparait de poubelle à toute vitesse. Il faisait des petits pas. Il vit sa mère sur le trottoir d'en face entre de discuté avec la vielle madame Lutters.
Il n'a jamais oublié le regard mécontent que sa mère lui avait jeté ce soir là. Elle poussa un soupire et lui ordonna de ne pas s'approcher de la route. Elle lui avait dit des centaines de fois qu'il ne devait pas aller chercher lui même son ballon de l'autre côté de la clôture, car on ne sait jamais ce qu'il pouvait arriver. Avant même qu'elle ne puisse le sermonner, dans son regard il voyait ses pensées, il imaginait ses mots. Mais obéir, c'est impossible, enfant turbulent, obéir était impossible. Il se figea alors qu'il arrive au niveau de son ballon. Il le pris de ses mains frêles et petites. Il fixait sa mère de l'autre côté de la route. Le temps s'était ralenti à cet instant, elle regarda de gauche à droite avant de traverser, et en le sermonnant elle avança le regard énervé. La vieille Madame Lutters l'appela alors. Mrs Bennersohn, Susie Bennersohn, se figea au milieu de la route et rétorqua à la vielle : « Oh vous taisez vous, c'est mon fils, je l'élève comme... » Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. Cette image restera à jamais gravé dans l'esprit du jeune garçon. Il n'eut pas le temps de de crier, ni de dire quoi que ce soit. Sa mère n'eut pas le temps de faire quoi que ce soit, elle n'eut pas le temps de se retourner. Enfin si, elle croisa le regard de son fils. La suite de la scène fut violente. La voiture percuta de plein fois Mrs Bennersohn qui était entrain d'injurier la vielle dame. Ses derniers mots. Ses derniers sentiments. Elle était en colère après Ramsey. Il hurla alors : « MAAAAAAAAAAAAAAMAN ! MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! » Il hurlait. Des milliers de larmes coulaient sur ses joues. Il lâcha son ballon sur le sol qui rebondit, et s'en alla. Il se rua de toute ses forces vers a mère, qui gisait au sol. Le conducteur de la voiture était sorti affolé, il ne l'avait pas vu, il était horrifié par la scène. Le garçon était tout aussi horrifié. Sa mère était par terre, il se rua, et se laissa tomber à genoux à côté d'elle. Il caressa son front et attrapa sa main au moins trois fois plus grosse la sienne. Ses larmes ruisselait. Il ne sentait plus son pouls, elle était là morte, mais il ne le réalisait pas. Il hurlait, et l'appelait de toute ses forces. Il regarda sa main dans la sienne. Il découvrait alors que sa mère gisait dans le sang, que sa main, que ses mains à lui étaient couverte de sang, que son jeans était lui aussi plein de sang. Il se tue alors, cessant d'hurler pour contempler avec horreur ses mains. Il pleurait, il pleurait. La vielle Madame Lutters arriva alors et le porta loin de sa mère. Par dessus son épaule, il se remis à crier, à appeler sa mère. Essayant de l'attraper de la main en vain. Sa vision devint floue. Ses yeux était rempli de larme. La vielle la posa sur le sol et son père le pris dans ses bras. Ce n'était pas la première fois qu'il faisait ça, mais c'était la première fois que Ramsey se cramponna à lui avec tant de poigne. Il avait les mains ouvertes de sang. Ses petites mains avait salie la chemise de son père, mais qu'importe. Il avait les larmes aux yeux. Contre lui, il pouvait sentir son père sangloter. À cet instant, Ramsey était rongé par les remords. Elle n'aurait jamais traverser s'il n'avait pas enfreint les règles. Il s'en voulait, il n'avait rien pu contrôler, et il se jura d'un chose, même s'il n'avait que quatre ans, plus jamais rien n'échapperai à son contrôle, jamais plus oh grand jamais. Maintenant il aurait le contrôle sur tout et répondrait aux ordres, suivrai les règles.
DIX SEPT ANS - DECADENT Il était assis au fond de la bibliothèque. Devant lui, des livres ouverts. Pour certain, les livres ouverts devant eux était une façade, juste une ruse pour faire croire que l'on travaille à la bibliothèque. Ramsey avait la fâcheuse habitude de travailler ses cours, ce qui était étrange pour un gryffondor dans son genre, il n'était pas si fidèle que ça à l'image de la maison qu'il représentait. Mais le travail est important. Le travail était organisé, c'était une chose qu'il pouvait aisément gérer. Il aimait tout gérer, et ce depuis sa tendre enfance. À la mort de sa mère, il avait été envoyé chez sa grand mère. Son père était retourné habité chez ses parents ne s'en sortant pas avec ses deux enfants à charges. Mr Bennersohn était un sorcier, tout comme sa femme. Mais suite à la mort de leur premier enfant alors qu'il était encore dans le ventre de sa mère à cause d'un sortilège raté, il avait quitté le monde de la magie en espérant protéger leur famille du malheur. Cette pensé faisait sourire tragiquement Ramsey, tout ce qu'ils y avaient gagné était la mort de leur mère. Il était entré en contact avec la magie quand il est arrivé chez sa grand mère. Cette dernière lui avait enseigné beaucoup de chose, et en parfait petit garçon il avait tout appris, sans broncher. Il avait appris beaucoup de chose sur la magie. S'ils avaient habité dans le monde des sorciers, sa mère n'aurait pas été percuté par une voiture, il en avait la conviction, si elle avait eut sa baguette, et s'en saurait sorti. Si Ramsey n'avait pas désobéit, elle n'aurait jamais traversé à ce moment là. Les adultes avaient beau lui avoir dit qu'il n'y était pour rien, la culpabilité rongeait Ramsey qui s'efforçait d'être le plus parfait possible, il s'efforçait d'être capable de tout contrôler. Sa vie était sous contrôle, pour lui tout était sous contrôle.
Ses professeurs disaient qu'il redorait le blason de la maison gryffondor grâce à son attitude loyale, courageuse, calme, posée et serviable. Ce qu'ignorait ses professeurs étaient son côté manique, et obsédé de l'ordre et du contrôle. Il était fière que ses professeurs aient cette image de lui, c'était ce que sa mère aurait voulu. Souvent il se demandait ce que sa mère penserait de lui. Souvent il se remémorait ses hurlements. Maniaque, il ne supportait pas les tâches, et encore moins le sang. Lorsqu'il tâche apparaissait quelque part, il ne pouvait s'empêcher de frotter jusqu'à ce que celle ci s'en aille. Cette part de lui même était effrayant, il n'était pas capable de mesurer jusqu'où cette manie du contrôle pouvait aller. Une fille s'installa à côté de lui. Cette dernière vient alors presser ses lèvres contre les siennes. Il fut surpris de ce baiser, bien qu'il sache pertinemment que cette fille était sa petite amie. Elle était jolie, plus jeune que lui et docile. Pour la citer elle avait dit que Ramsey était le petit ami parfait, serviable, à l'écoute, fidèle et attentionné. Les petites attentions qu'il lui portait faisait parti de sa manie du contrôle, en lui faisant plaisir, il la contrôlait, c'était aussi simple que cela. Aux yeux du monde, Ramsey était le genre de type parfait, gentil, sympathique, calme, attentionné, non violent et un peu rêveur. Mais ça ça n'est que trente pour cent de l'iceberg. Il la regarda et attrapa doucement sa main avant de presser ses lèvres contre cette dernière=. Puis il attira la sorcière contre lui, et passa sa main dans ses cheveux blonds. Cette dernière gloussa mais il lui dit doucement à son oreille : « Chut... » elle se tu, souriant. Elle posa son sac sur la table et poussa sans le faire exprès le bouteille d'encre du Ramsey qui se trouvait sur la table, tâchant alors son parchemin, que très légèrement car il avait réagit vite, et la bouteille était presque vide. Les yeux de Ramsey fixaient la tâche, la couleur noire de l'encre n'était pas sans lui rappeler la couleur du sang qu'il avait eut sur les mains. Il lâcha alors sa petite amie et chercha dans son sac quelque chose, n'importe quoi pour y effacer.
Sortant un mouchoir, il éloigna la sorcière de lui et essaya d'éponger l'encre en vain, elle avait déjà pénétré le papier. Il jeta le mouchoir de l'autre côté de la table, et poussa un soupire. Il s'énervait à la vitesse de la lumière, avant même que l'on ait eut le temps de dire quidditch. Elle posa sa main sur son épaule lui murmurant alors doucement à l'oreille : « C'est de l'encre chéri... » elle posa sa tête sur son épaule et caressa ses cheveux. Il poussa un autre soupire et enleva la tête de la sorcière de son épaule en éloignant d'un coup d'épaule la sorcière de lui. Il la fixa alors, son regard était différent de l'instant d'avant. Il était en colère, en colère. Il serrait son poing de toutes ses forces. Il avait envie d'hurler. Mais il laissa un grand sourire s'installer sur ses lèvres et répondit avec douceur : « c'est rien chérie, c'est juste un brouillon! » Le sourire aux lèvres il l'attira de nouveau contre elle et pressa ses lèvres contre les siennes, l'enlaçant. Lorsqu'elle était blottie contre lui, la colère s'afficha de nouveau sur son visage, mais il ne laissa rien transparaitre, jamais. Tout était sous contrôle, tout est toujours sous contrôle.
PRENOM : X PSEUDO : AL ÂGE : 18 ANS AVATAR : CHACE CRAWFORD COMMENT AVEZ VOUS CONNU BE : HUM QUE PENSEZ VOUS DU DESIGN : TOP COOL COMMENTAIRE : Les chocogrenouilles boivent du jus de citrouille
Dernière édition par ramsey-wade bennersohn le Jeu 4 Fév - 22:38, édité 18 fois |
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Ramsey-Wade Bennersohn PARCHEMINS : 36
DATE D'INSCRIPTION : 02/02/2010
AGE : 33
CREDIT : Psychotic Prince
| Sujet: Re: MASTER OF MY FATE CAPTAIN OF MY SOUL Mar 2 Fév - 20:28 | |
| MERCI TOUT LE MONDE Merci pour le pseudo, ça fait plaisir, j'iame bien en avoir des qui ressemble pas trop à des trucs commun Ophelia, je te garde un lien, Mpotte moi si tu as des idées (: Oui, le texte ' Invictus' est top Chace a du succès héhé
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