BRAKIUM EMENDO*
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VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI?

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R. Melvin Londubat

R. Melvin Londubat

PARCHEMINS : 1129
DATE D'INSCRIPTION : 07/12/2009
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VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Vide
MessageSujet: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeDim 31 Jan - 12:56

_______________VOULEZ-VOUS COUCHER
__________________________AVEC MOI CE SOIR ?

sirius&melvin.


    Ce soir, c'était l'euphorie totalement catastrophique. Pire que ça, y a pas. Tous les élèves de Poudlard s'étaient arrachés le livre tant convoité où se trouvait toutes les informations nécessaires pour rentrer à la Fête Illégale. Ensuite, les salles communes avaient été pleines à craquer, de gens revêtant de beaux habits et cherchant à tout prix un masque. Car oui c'était la seule condition, le passeport pour avoir accès à la Salle sur Demande dans laquelle se déroulait la fête. Melvin sauta à hautes jambes les marches capricieuses du château pour arriver devant la salle commune des Piafs. Il était tellement pressé et excité à l'idée d'une fête illégale avec ses amis, qu'il trouva la réponse à l'énigme immédiatement. On voyait enfin une partie de ce bon serdaigle qui vivait en lui. Il se rua dans le hall de la salle commune, où il faisait chaud à en étouffer. Presque tous ceux de sa maison étaient là, tous aussi excités que lui. Il aperçut en autres, Deyvon qui parlait à une fille à laquelle Melv ne prêta pas attention. Il monta quatre à quatre les petites marches menant aux dortoirs des garçons, en en bousculant quelques uns au passage. Il émergea dans les dortoirs et se hâta vers son armoire où étaient rangés bordéliquement ses vêtements et sa valise. Il farfouilla rapidement dans l'armoire sans rien en sortir de vraiment intéressant. Il se dirigea vers son lit et glissa sa tête en dessous. Une lueur blanche se fit voir dans ses yeux. Il sortit de la pénombre un joli masque de lapin blanc à moustaches. « Tant pis pour le ridicule, ça fera l'affaire. » pensa-t-il. Laissant tomber le masque sur les draps de son lit, il replongea sous le lit pour en sortir une deuxième valise, identique à celle se trouvant dans l'armoire. Il y dénicha un smoking noir charbon très élégant. Il arracha une chemise rouge à carreaux de son cintre dans l'armoire, l'enfila à la hâte en ne fermant pas tous les boutons, ce qui laissa apparaître quelques poils de son torse, et enfila le smoking. « Merde, elles sont où mes chaussures ? » Il les trouva dans un coin de mur, à l'opposé de la pièce et les laça. Il était paré pour cette soirée de feu. Il marcha rapidement en ajustant un dernier pli de son smoking et attrapa dans sa course le masque de lapin en quittant la pièce.


    Le château était en effervescence, et le personnel s'en étonnait, n'étant pas au courant de la fête, vu qu'elle demeurait illégale. Tout le monde courait, sautillait par-ci par-là. Melvin arriva les cheveux en bataille devant un immense mur de pierre au septième étage. Il était essoufflé d'avoir monté autant d'escaliers en si peu de temps. Il se rendait seulement compte qu'il n'avait pas pris le temps d'inviter Miryà et Deyvon de venir à la fête avec lui, et se haït pendant un moment de ne pas avoir pensé à ses meilleurs amis. Désormais, il devrait rentrer seul, comme un touriste. Bref, Melvin s'en foutait, il avait son masque, personne ne le reconnaitrait. Il enfila son masque et serra les ficelles derrière ses oreilles qui se décollaient maintenant sous la pression de l'élastique. Certes, son masque n'était pas très élégant, et il faisait mauvais contraste avec son smoking luisant, mais Melv s'en fichait royalement. Il fixa le mur de vieilles pierres grisonnantes, concentré, en pensant si fort dans sa tête, qu'il le murmurait presque. « Je veux rentrer à la fête illégale. Je veux rentrer à la fête illégale. Je veux rentrer à la fête illégale. » Soudain, une petite porte de bois noir apparut floue au début, puis devint nette. Melvin regarda une dernière fois le ciel qui était noir par la grande fenêtre du couloir, et toqua à la porte. Le judas s'ouvrit, deux yeux verts vérifièrent la présence d'un masque, puis le trou se referma, et une clé tourna dans la serrure pour laisser entrer le jeune homme. La musique arriva aux oreilles de Melvin d'un coup, il faillait en tomber à la renverse. Qui aurait pu croire qu'une minuscule porte de bois pourrait isoler ainsi une discothèque improvisée dans le château? Il s'avança en contemplant quelques visages masqués, en se disant qu'il devait avoir l'air ridicule avec ce masque de lapin. Il chercha du regard une tête connue, en vain. Poudlard était-il si grand que ça pour qu'il ne connaisse aucun élève présent? Il ne les reconnaissait sûrement pas à cause de leur masque. Il aperçut pourtant Apolline et Sweelyn au loin, du moins il l'eut cru, mais il ne put pas vérifier, une silhouette vint se planter devant lui.


Dernière édition par Melvin Londubat le Jeu 11 Fév - 21:40, édité 1 fois
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Sirius Orly W. Lupin

Sirius Orly W. Lupin

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VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Vide
MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeDim 31 Jan - 19:09

      - Allez bouge grosse larve me lança rapidement Deamon.



    Sauf que je n’avais pas envie de bouger. La pleine lune était apssé depuis deux jours et j’avais d’énormes courbatures dans les jambes et des contractures musculaires dans le cou et le dos. Et Mademoiselle voulait m’entraîner dans la salle sur demande pour la petite fête. Cette idée m’aurait enchanté si je n’avais pas autant mal partout.


      - Mais Putain Sirius, lève ton cul, et habille toi ! grogna elle.



    Cette fille était une vraie enragée lorsqu’elle s’y mettait. C’était des fois à se demander comment je pouvais la supporter. Quoiqu’elle devait également me supporter donc l’un dans l’autre cela revenait au même. On avait le même caractère pourri alors on ne pouvait que se battre ou se supporter. On avait décidé de se supporter. Et dans des moments comme celui-ci , j’aurais préféré peut être le contraire. Quoique je l’aimais bien trop pour ça et elle le savait ! Elle en usait bien.


      - Dépêche toi, ou je t’habille moi-même.



    Je ne retins pas un rire amusé qui me tira une grimace. J’aimerais bien voir ça. Je ne fit aucun geste pour me lever et rester confortablement calé dans mes couettes et oreillers. Je pris juste la peine de lui glisser une œillade vraiment très amusé. Elle pesta en levant les yeux au ciel. Le pire dans cette historie c’était qu’elle était bien capable de le faire. Je passais une main sur mon visage fatigué. Deamon soupira avant de me faire des yeux de chien battus. Je secouais la tête avant de me lever. Elle avait gagné. J’étais incapable de lui résister. Elle sortit de mon dortoir en sautillant. Je filais sous la douche en riant. L’eau chaude détendit mes muscles froissés et dévala la pente de mon buste. Je passais la tête sous l’eau et restait un moment dans cette position, les mains posaient sur le carrelage blanc. Ça faisait du bien.



    Je sortis de la douche une bonne demi de relaxation plus tard. Je n’avais pas prévu qu’Ethan serait dans le dortoir et je n’avais pas pris la peine de me couvrir. Il rigola de ma tenue d’Adam et j’haussais les épaules. Il avait vu mes fesses de nombreuses fois. J’enfilais Boxer et chemise blanche avant d’aller chercher un costard noir. J’enfilais le pantalon, enlevait la ceinture et le laissait tomber sur mes hanches. Je laissais les deux premiers boutons de ma chemise ouverte et ne mis aucune cravate. J’avais horreur de ça. Je m’observais satisfait de mon reflet. J’ébouriffais un peu mes cheveux, remontait les manches de ma chemise sur mes avant bras. Je balançais la veste noire sur mon épaule et accroché un masque or sur mon visage. Il était simple mais il avait le bon avantage de faire ressortir mes yeux. Et j’adorais mes yeux.



    J’attendis tranquillement Ethan en enfilant mes chaussures et on quitta le dortoir. Deamon se joignit à notre cortège pour se diriger vers la salle. On fit les guets pendant que Deamon murmurait je ne sais quoi à la porte. Je n’avais même pas pris le temps de lire le livre moi. La porte s’ouvrit après rapide identification.



    La fête était déjà bien entamée lorsqu’on y pénétra. Les filles se trémoussaient sur la piste, els mecs collaient à elle. D’autres se trouvaient au bar ou simplement dans un coin avec des amis. Parcourant la salle d’un œil critique, je me retrouvais seul. Je ris un peu, quelle bande de lâcheurs ! J’inspectais les personnes présentes. On me regardait, tout le monde m’avait reconnu et ce n’était pas bien dur ! Je posais mon regard sur la silhouette timide d’Aryallenh. Cette fille est un drôle de mélange. Je l’aimais bien surtout en DCFM. Elle me faisait rire.



      - Danse avec moi Arya lui soufflais je doucement.




    Je ris lorsque ses pommettes se colorèrent d’un rouge soutenu. Elle était trop timide pour son propre bien mais elle se laissa entraîner sans mal dans un petit rock improvisé. Elle dansait bien mademoiselle la française. Je lui accordais exactement deux danses avant de prendre congé de force. Une rousse m’entraîna dans une danse endiablée. J’avais mal partout mais tant pis maintenant que j’étais là, je n’allais pas écouter les plaintes de mes jambes et de mon dos. Au moins Arya avait été douce.



    Une nouvelle personne entra, je me focalisais sur elle. Un homme ok, mais c’était un des meilleurs amis de Miryà et j’avais envie de discuter avec ma cousine. Je quittais ma cavalière et me plantais devant lui.



      - Salut ! Melvin c’est ça ? Tu ne serais pas ou est ma cousine ? demandais je poliment et gentiment.



    Mais je n’eus pas le loisir d’entendre sa réponse qu’on m’abordait déjà.


      - Sirius tu danses avec moi minauda une demoiselle

      - Euh…j’allais danser justement là en fait !

      - Mais avec qui ?

      - Avec heu …lui ! dis je en montrant melvin du doigt.



    Je souris hypocritement à la jeune fille t me baisse mollement devant Melvin en lui présentant mon bras. Tout le monde connaissait mes petites excentricités donc ça ne choquerai personne. Mais pour le coup on allait détoner. Avec force, j’entraînais Melvin sur al piste de danse. J’étais maudit en plus, fallait qu’il passe le premier slow de la soirée. Je laissais échapper un rire avant de coller Melvin contre moi et de sourire joyeusement aux autres. Non mais vraiment, qu’est qu’il faut pas faire …..
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R. Melvin Londubat

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VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Vide
MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeSam 6 Fév - 18:06

    C'était vraisemblablement un homme. Melvin aurait eu tendance à croire que ce serait une fille qui serait venu l'aborder, mais un grand brun mal rasé vint se planter devant lui, le regardant fixement. Melvin ignorait la raison de cette position mal à l'aise et attendit du jeune homme qu'il se justifie en lui lançant un regard interrogateur. « Salut ! Melvin c’est ça ? Tu ne saurais pas où est ma cousine ? » Pour qui il se prenait celui-là. En fait, c'était le cousin de Miryà. Il l'avait déjà aperçu quelques fois vaguement avec Miryà. Toutes les filles affluaient autour de lui, rouges d'émotion et en ébullition devant son corps d'athlète, Melvin parut dégouté. Melvin n'eut pas le temps de lui répondre qu'il n'en savait fichtrement rien car une jeune femme s'interposa entre lui et son interlocuteur. Une jeune toute en beauté, dans une robe violette avec un masque noir jais qu'elle tenait de sa main, et qu'elle portait à ses yeux grâce à un petit manche, telle une vénitienne. Au fait, j'y songe, Sirius ne portait pas de masque, comment était-il rentré à la fête? Il avait sûrement du l'enlever. La jeune fille tourna tout autour du beau gryffondor pour l'allumer un peu avant de lui proposer sauvagement d'un regard revolver de danser avec lui. Ils échangèrent quelques mots très ... sensuels. Melvin détourna le regard pour ne pas faire croire qu'il écoutait attentivement. Il regarda tout autour de lui, c'était l'euphorie et la déchéance totale. Si un professeur rentrait là-dedans sans savoir comment, tous les élèves étaient bons pour la torture. Melvin rit à cette pensée puis rejoignit la conversation du beau mâle et de la jeune femme. Elle semblait insister pour danser, avec à ses côtés d'autres minettes en chaleur devant le décolleté de la chemise de Sirius. Sirius refusait catégoriquement, mais toutes les demoiselles l'envahissaient et le poussait. Subitement tout se passa très vite. « Euh… j’allais danser justement là en fait ! » Toutes les filles le regardèrent d'un air bizarre et interrogateur. Avec qui de mieux qu'elles pourrait-il danser? Elles l'interrogèrent sauvagement. « Avec euh ... lui ! » Melvin se sentit visé du doigt et tourna son regard vers Sirius. Les demoiselles parurent dégoutées et partirent de sitôt vers d'autres charmants cavaliers. Sirius menant son mensonge à exécution s'approcha du serdaigle. D'instinct, Melvin recula soudainement, en lançant un regard noir au mâle. Il lui présenta son bras, tel un gentleman. Melvin fut décontenancé. Comment osait-il ? Melvin n'était pas bisexuel. En ne voyant venir aucune réaction de la part de Melvin, Sirius prit les choses en main pour épater la galerie et amena de force Melvin sur la piste. Il protesta, en vain, car le gryffy ne l'écoutait même pas. « Non mais ... oh ! Ça va aller ? » Sirius était malheureusement musclé et plus grand que Melvin, et il n'arriva pas à se défaire de l'étreinte subite du loup-garou. Melvin faillit faire une crise cardiaque lorsqu'il entendit la musique virer en un slow sensuel. « Mais qu'ai-je fait au Bon Dieu ? »


    Contre son gré, Sirius, pour danser comme il se devait le slow, le serra contre son torse et parut amusé de voir tous les regards étonnés tournés vers lui. Melvin, lui, ne l'était pas du tout, et tentait de se faire le plus discret possible. Il était mal à l'aise. Mais à ce moment, tout se passa très vite. Melvin sentit le corps du gryffondor tout contre lui, et tel un déclic, il ressentit d'énormes pulsions envers le beau Sirius. Il le serra aussi fort que Sirius le faisait, pour jouer le jeu, se disait-il. Mais en réalité, il en avait eu subitement envie. La chaleur du corps d'un homme était devenue soudain primordiale. Melvin ne vit pas la réaction de Sirius car il était trop petit et ne regardait pas en haut. Soudain, comme s'il était possédé par un démon, il eut envie d'embrasser Sirius jusqu'aux amygdales. Il le désirait. Cela était apparut dans ses pensées d'un seul coup, à cause de ce pauvre con qui l'avait entrainé là au beau milieu de la piste, sur un slow. Melvin se retenait de ne pas faire ça devant tout le monde mais il en avait terriblement envie, à s'en mordre les doigts. Pulsion sur pulsion. Il allait craquer, il le sentait. Non, il devait se contrôler. Pourquoi subitement avoir envie d'un homme? Pourquoi? Le slow continuait et peu à peu, les gens détournaient leur attention des deux hommes en train de danser. Melvin avait ses mains dans le dos de Sirius, et celles de Sirius étaient dans le dos de Melvin. Mais Melv ignorait totalement si Sirius était bisexuel. Tant pis, il l'avait mérité, et il l'avait cherché. Melvin, dans un élan sexuel, passa ses mains sous la chemise de Sirius dans son dos, et le caressa sensuellement. Sirius semblait aimer. Mais Melvin n'en était pas sûr. Pour s'en assurer, il fit quelque chose qui ne lui ressemblait pas. Il se mit sur la pointe des pieds et haussa les épaules jusqu'à celles de Sirius. Avec sa bouche, il lui souffla un souffle chaud dans le cou, en susurrant des petits mots. « Tu l'as cherché. Alors, tu aimes ? »


Spoiler:
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Sirius Orly W. Lupin

Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeDim 7 Fév - 10:36

    Etant bien plus grand que Melvin mais aussi bien plus fort, je n’eus pas besoin de beaucoup d’efforts pour l’emmener sur la piste de danse. Il voguait tranquillement entre mes bras avec une jolie teinte rouge prononcée. Je souris un peu amusé. Il avait peut être pas l’habitude d’être le centre de l’attention pour quelques d’aussi choquant. Enfin choquant seulement pour les non ouverts d’esprits. J’aimais les différences et surtout j’aurais été perfide et arrogant de me croire normal. Bien que là encore la normalité restait à définir. Je croisais le sourire goguenard de Deamon au fond de la salle. Je n’arrivais pas à voir avec qui elle était mais je n’hésiterais pas à bondir si elle avait besoin d’aide. Elle me calma du regard en levant les yeux au ciel juste après. Je refis le même geste seulement pour l’embêter. Ethan me regardait lui aussi, à moitié écroulé de rire aux côtés de Malfoy. La froide Alice, qui s’amusait aussi. Si elle croyait qu’elle allait pouvoir me faire chanter plus tard, cette sale peste pouvait toujours rêver. Les personnes se succédaient sous mon regard pénétrant et inquisiteur. Je passais de mes amis amusés, aux groupies désespérés. D’ailleurs celle-ci semblait vouloir m’écorcher vif et Melvin avec. Quoiqu’elles se jetteraient plus sur le pauvre Serdaigle que sur moi. Bien que certaines restaient tout de même satisfaites du spectacle que j’offrais. Vive les femmes et leurs fantasmes délurés. Bon j’étais mal placé pour parler, j’étais une machine à testostérone bien que j’asseyais de me calmer pour Destiny. Je cherchais celle-ci du regard mais avec la foule, les masques, les robes plus scintillantes les unes que les autres je ne la trouvais pas. Dommage, j’aurais bien aimé qu’elle m’accorde une danse. Quoique je n’avais pas envie de me retrouver pendu la tête en bas et un boxer par son soi disant petit copain. Fallait vraiment que je la tire des griffes de cet abruti fini !



    J’eus un hoquet de surprise, lorsque les bras de Melvin se refermèrent possessivement sur mon dos, me collant carrément à lui pour le coup. Etais ce la peur ou la colère qui lui faisait faire ça ? Il était mal à l’aise je le sentais d’ici. Grâce à tous els points de contacts avec son corps, le loup en moi grognait de satisfaction et en même temps s’interrogeait. Il et moi avec pouvait sentir la frustration, la colère, peut être même le mépris de mon camarade et cavalier improvisé. Mais notre intimité physique présente ne me dérangeait pas. J’aurais pu m’effaroucher, paraître offusqué, lui marcher sur les pieds … Mais c’était moi qui l’avait mis sous le feu des projecteur. Il cherchait peut être juste à se venger. Et puis, j’étais bi et très fier de l’être. Fille ou garçon, qu’importe, je me sentais bien avec les deux. Bien sur, j’ »tais sortie qu’avec des filles pour des durée plus ou moins longues. Il ne fallait quand même pas choquer l’ordre public avec ma désinvolture. Mais quand je retournais dans le monde moldu voir mes amis, c’était différent ! Et Wilfried pouvait en témoigner ! D’ailleurs il était ou celui là ? Sawyer, mon meilleur ami moldu avait été également mon premier amant homme mais pas sexuel, j’étais un enfant précoce ! Bah on était jeune, on avait envie de nouvelles expériences, et c’était bien. Je ne l’ai jamais regretté surtout qu’il est toujours resté mon ami. Après, il y en avait eu d’autres mais moins depuis l’année dernière. J’étais plus hétéro que gay au final. J’aimais bien trop les filles pour en passer. Elles étaient toutes à tomber avec leur minois innocent, leurs jambes fines et galbées. C’était peut être aussi le besoin du prédateur qui sommeillait en moi.



    Les mains de Melvin passèrent dans mon dos et remontèrent le long de ma colonne vertébrale pour redescendre. Je ne sursautais pas et restait complètement naturel. Bien qu’au fond je commençais à réellement me poser des questions sur les fréquentations de ma cousine. Pas que cela me dérangeait, c’était plutôt même bien agréable. Mais fallait pas qu’il me cherche trop ! Il risquait de bien me trouver. Loup loup y est tu ? Il se mit sur la pointe des pieds pour poser sa bouche dans mon cou. Je souris malgré moi de son manège sous les yeux effarés de certaines personnes. J’étais pas sur qu’il faisait ça pour se venger pu si v’était une pulsion comme une autre. Anya me disait souvent que mon charme n’a pas de limites. Garçons ou filles ils tombent tous, c’était peut être vrai, au final ! Surtout que je ne connaissais pas réellement Melvin et que rares étaient les fois ou je lui avais adressé la parole.



      - Tu l'as cherché. Alors, tu aimes ? me questionna il suavement.

      - Fais attention de ne pas te brûler lui répondis je mais si tu veux jouer à ça , je suis ton homme ! Tu seras mal à l’aise avant moi continuais je un rire dans la voix et puis … je baissais la voix en un murmure pour que lui seul m’entende tu craqueras avant moi…





    Je baissais mon regard vers lui. Mes mains descendirent d’elle mêmes vers ses fesses sans que je m’en sente gêné. Puis la musique changea, du slow on passa au rock endiablé. Tant pis pour les blessures, il allait voir qui étais Sirius Lupin. J’attrapais ses mains chaudes et viriles dans les miennes, les faisant repasser sur ma chemise. Je comptais mentalement jusqu’à trois avant de lui faire exécuter de plein gré les pas de danse. Il me suivait et ça me faisait rire. J’avais appris à danser quand j’étais petit et je bénissais ma mère de m’y avoir forcé. Je ramenais presque brutalement son corps contre le mien en bougeant ensuite mon bassin. On était heureusement pas seul sur al piste de danse et même si on faisait l’objet d’une attention soutenue, les gens commençaient à retourner à leurs activités. Je le fis tourner entre mes bars et bientôt son dos s’accouda à mon buste. Il m’offrait maintenant sa nuque dégagée. Je l’effleurais mollement de mes lèvres tout en remontant vers son oreilles.



      - Tu veux toujours jouer ? demandais je mutin
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R. Melvin Londubat

R. Melvin Londubat

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeDim 7 Fév - 14:20

OH, BABY BABY BABY.



    Je regardais ses yeux brillants en attendant sa réponse. Je l'admirais, il était si beau. Comment faisait-il pour avoir l'air si attirant? Il me répondit dans un rire étouffé, amusé. « Fais attention de ne pas te brûler, mais si tu veux jouer à ça, je suis ton homme ! Tu seras mal à l’aise avant moi et puis … tu craqueras avant moi. » Sa phrase se termina en murmure pour que moi seul l'entende. Il parut souriant et amusé à l'idée de me lancer un défi. Qui de nous deux tiendrait le plus longtemps avant de se jeter sauvagement sur l'autre ? C'était le défi lancé, et je lisais dans ses yeux l'idée de gagner à tout prix. Ce beau mâle devait sûrement avoir conscience de son sex-appeal démesuré. Et il s'en servait. Mais Melvin comptait être pour lui plus qu'un petit objet sexuel car il avait découvert grâce à Sirius sa bisexualité. Il mourait d'envie d'en découvrir plus avec le même homme. Sirius regardait à présent Melv, au fond des yeux. Il parut mal à l'aise un court d'instant car il le fixait intensément. Il baissa la tête à ce moment-là, gêné légèrement mais tentait de se reprendre pour ne pas avoir l'air d'un faible aux yeux du Sirius tout puissant. Les gens autour d'eux ne les regardaient plus vraiment, ou du moins leur adressaient seulement un coup d'oeil furtif de temps à autre, pour voir si la scène n'avait pas changé du tout au tout. Melvin continua son slow avec le beau gryffondor, qui avait l'air de prendre quand même un malin plaisir, à être collé au serdaigle. Mais on aurait dit qu'il réfléchissait à ce qu'il allait faire par la suite. Melvin le comprit aussitôt lorsqu'il sentit les mains chaudes de Sirius caresser ses fesses rebondies. Melvin paraissait aux anges, et Sirius ne semblait pas gêné le moins du monde. Melvin commençait à prendre goût à ce petit jeu. Il y prenait réellement du plaisir. La musique changea alors du tout au tout. Un rock prononcé prit la succession d'un slow calme. Les gens sur la piste commencèrent à se trémousser. Melvin, bien décidé à ne pas décrocher du torse du loup-garou, resta collé à lui, pour être de danser ce rock. Ben quoi? Autant profiter d'une telle compagnie. Pourquoi se priver? Mais Sirius n'avait pas l'intention lui non plus de lâcher l'affaire et prit Melvin par les mains pour les ramener jusqu'à son buste chaud. Ensuite, les pas de danse arrivèrent, et Melvin était plutôt bon danseur et on lui avait toujours dit qu'il avait un bon déhanché. Sirius commença à faire les pas de danse, et Melvin suivit le pas, amusé maintenant, lui aussi. Les autres élèves autour d'eux les imitaient. Heureusement, ils n'étaient pas seuls à se ridiculiser ainsi. Enfin, pour Melvin, c'était ridicule de danser en plein milieu de la piste, car c'était un grand timide au départ. D'un coup, Sirius prit Melvin par la taille et le ramena vers lui. Sirius déhanchait son bassin tel un Dieu. Melvin devait suivre le mouvement. Si l'on avait été dans un scène hot d'un film porno, cette position aurait pu porter à confusion.


    Le rock endiablé commençait à ralentir, signe de la fin de la chanson. Les gens partaient tout doucement vers les recoins de la salle, moins à la vue de tout le monde. Sirius, lui n'était pas décidé à sortir de la piste et il fit tourner Melvin entre ses bras, pour accouder le dos de Melvin à son torse, maintenant en sueur. Sirius porta langoureusement ses lèvres à la nuque de Melvin. « Tu veux toujours jouer ? » Melvin avait envie de se retourner brusquement et de l'embrasser fougueusement. Mais il devait se contrôler om il perdrait le défii. De toute façon, Melvin savait bien qu'il allait perdre le défi, Sirius était trop beau pour ne pas savoir lui résister, mais Melvin s'était juré de résister le plus longtemps possible. Les lèvres du mâle étaient toujours contre la nuque de Melvin, ce qui ne lui facilitait pas la tâche pour résister à la tentation. Melvin tourna la tête, de façon à voir le visage de son prétendant, et lui adressa un regard coquin. « Bien sûr. Pourquoi arrêter ce petit jeu maintenant, alors qu'il commence seulement ? » Melvin voulait faire passer un message, mais il n'était pas sûr que Sirius l'ait compris. Ça voulait dire que Melvin voulait aller plus loin qu'aux simples mots doux et caresses. Mais Melvin était au bord de l'extase devant le décolleté de la chemise du beau gosse qui laissaient entrevoir une pilosité intéressante. Il ne savait pas combien de temps il allait encore tenir. Mais il devait faire semblant de prendre les rennes et de mener le jeu. Dans un élan compétitif, Melvin feignit d'embrasser Sirius, mais il l'embrassa sur le coin de la lèvre, volontairement. Sirius alla chercher le baiser, mais Melvin se retira, laissant le loup perplexe. Melv se dirigea vers l'ombre de la salle dans un coin, il vit des gens rentrer dans une pièce plus éclairée, les toilettes. Il resta dans l'ombre, guettant l'arrivée de Sirius, voulant sans doute continuer ce baiser. Seulement, un autre homme vint l'aborder un peu sauvagement. Et Sirius n'arrivait toujours pas. « J'ignorais que tu étais bi Londubat. Alors accorde-moi une danse maintenant que tu as lâché Lupin au beau milieu de la piste. Je ne te savais pas comme ça. » C'était un serpentard, qui semblait fantasmer sur Melvin depuis longtemps déjà et voulait en faire sa proie. Il l'entraina de force à travers la foule, et Melvin, n'étant pas très puissant, se débattait sans rien pouvoir faire. Il attendait l'arrivée de Sirius avec impatience, pour l'implorer de neutraliser ce pauvre con de serpentard, avant qu'il ne le viole en public maintenant qu'il avait découvert sa bisexualité. Et puis Melvin voulait seulement danser et embrasser Sirius et pas ce pauvre serpentard en manque d'affection. Où était son sauveur? N'avait-il pas marché dans son jeu? Melvin douta tout à coup, et songea à une idée pour le faire venir plus vite. « Embrasse-moi ici pauvre con, j'en peux plus d'attendre, pas besoin d'aller sur la piste. » Le serpentard marchait dans le jeu de Melvin en croyant que ce dernier avait envie de lui, le serpentard embrassa fougueusement Melvin. Melv essaya de cacher son rictus de dégout. Puis il fit mine de repousser le vert et argent, en faisant croire qu'il l'embrassait de force. Ce qui, il l'espérait, ferait venir le loup enragé.
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Sirius Orly W. Lupin

Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeDim 7 Fév - 15:11

    Je m’enivrais de son odeur intéressante. Elle était musquée et sensuelle, le loup en moi s’en régalait. Et puis mes lèvres dans son cou, me permettaient de goûter la texture laiteuse de sa peau blanche et sans imperfection. Je la raclais de mes dents. Je pourrais le mordre et cette idée emmena au plus profond de moi un jappement admiratif de la part de mon autre. Je laissais un sourire goguenard étirer mes lèvres. On avait peut être pas la façon de voir le mot mordre. Là, ou le loup garou voyait l’envie primaire et l’appelle du sang. Là, ou il voulait déchiqueter sa proie entre ses crocs puissants et l’avaler …. Moi j’y voyais la luxure et la sensualité. Melvin ne faisait absolument rien pour se détacher de ma prise. De toute façon, c’est lui qui avait commencé ce petit jeu. Au début, je ne l’avais emmené sur la piste que pour me débarrasser des groupies. Et ça avait plutôt bien marché. Mais cette situation devenait vraiment très intéressante bien que je n’étais pas vraiment sur que cela soit l’endroit idéal pour faire ça. Ou du moins pour le commencer. J’avais des étirements dans le dos et dans els jambes qui me rappelaient à l’ordre à chaque mouvement. Et même si je les occultais, mes blessures et courbatures étaient bien présentes. ET c’était mon corps entier qui se plaignait. Mais maintenant, je ne ferais pas demi tour. J’étais le chasseur et pas le chassé. Il fallait juste que je fasse attention, que j’arrête si je ne me sens pas. J’espérais pouvoir y arriver, ne pas me laisser aller à ma faiblesse physique. Mais pour l’instant, ça ne me demandait pas trop ‘efforts. J’avais cette sauvagerie primaire que je savais envoûtante dans tous mes traits. J’avais la douce brusquerie de ma condition dans chacun de mes gestes. Et au fond de mes yeux, la lune qui se réveillait sous l’appel du jeu. Ma sauvagerie tronquée se battait sur le coup de mes lèvres pleines, appel au péché. Il se retourna vers moi, juste assez pour que j’engloutisse son profil du regard. Il ne me fallut que quelques secondes pour imprimer dans ma rétine les détails qui se voulaient invincibles. Un grain de beauté dans le cou, sous l’oreille, une fine cicatrice sur la joue gauche trop blanche pour être vu des autres. Un grain de peau soigné. La fragrance de son shampooing me montait aux narines, cette odeur de cuir et de bois qui ravivait mes sens.



      - Bien sûr. Pourquoi arrêter ce petit jeu maintenant, alors qu'il commence seulement ? joua il.




    Je laissais un sourire en coin fleurir relevant une partie de mes lèvres. Je l’avais cru timide au départ, peut être ne l’était il pas. Peut être cachait il bien son jeu. Mais à moi on ne pouvait pas me mentir. Je le savais excité et tremblant d’appréhension en même temps. Son malaise se battait avec ses envies. Et pourtant, il s’abandonnait comme une poupée de chiffon à ses pulsions. Heureusement pour lui que moi je n’y cédais pas. Sinon, on serait déjà hors de cette salle. Je n’étais pas du genre patient. Joueur certes mais seulement lorsque je mène la danse. Et là, c’était Melvin qui venait de prendre l’initiative de poser ses lèvres à la commissure des miennes. J’attendais plus mais rien ne vint. Je restais un instant perplexe et abasourdi. Finalement, peut être que j’allais rentrer dans son jeu et lui montrer qu’on ne joue pas avec un loup garou, j’allais le rendre fou. Fou d’oxyde désir à en mourir. Il quitta la cage de mes bras pour se diriger plus loin, je le suivis du regard quelques secondes.



      - Sirius m’appela on



    Je posais mon regard brillant sur la silhouette longiligne d’une serdaigle. Je souris carnassier en lui tendant une main. Il reviendra vers moi. Elle l’accepta avec un sourire présomptueux en narguant ses camarades. Dieu que les filles étaient des diables primaires. Je la fis tournoyer quelques minutes entre mes bras, mêlant douceur et sauvagerie. Ses joues rouges et ses cheveux décoiffés lui donner un air rebelle et soumis que j’aimais particulièrement. Je jetais des coups d’oeils vers Melvin que j’avais quitté momentanément des yeux. Il semblait pris avec un serpentard et en mauvaise posture. Je secouais al tête, me détachait de ma cavalière qui s’offusqua, emmenant tous els regards vers moi.


    Je progressais entre les danseurs et danseuses qui se poussaient sous mon passage. Il devait y avoir un parfum entêtant d’arrogance dans ma démarche calme. Le regard haut, j’arrivais prés du serpentard et tapotait sur son épaule.



      - Regarde et apprend mon petit vert et argent soufflais je.




    J’haussais un sourcil dans sa direction, attrapais la nuque de Melvin de ma main et le rapprochais de moi. Je mettais tourner de façon à ce que le serpentard vois l’intégralité de mes gestes. Je mordis doucement la lèvre de Melvin, la faisant rouler entre mes lèvres. Mon regard acier se planta dans celui de la brute épaisse. J’happais les lèvres de Melvin dans un baiser sauvage, le retenant d’une main. Je forçais l’entrée de sa bouche et laissait ma langue caresser la sienne sans jamais quitter du regard le vert et argent. Il écumait de rage. Je relâchais ma prise sur les lèvres de Melvin, rouges et gonflées. Je me déplaçais dans son dos, toujours avec la même désinvolture dévorante. Je suçais la peau de son cou, la mordillais, y laissant une marque rouge et prononcée. J’embrassais la carotide du serdaigle ou le sang pulsait de manière désordonnée. Ma main vint caresser la mâchoire. Le serpentard voulait me sauter dessus, je guettais toutes ses réactions et c’était particulièrement amusant. Je laissais ma langue traçait un chemin humide sur la nuque du meilleur ami de ma cousine. Si miryà était là, elle allait me tuer.


    Le vert humilié et furieux finit par partir à grandes enjambées. Un silence chargé flotta dans l’air. Je m’éloignais de Melvin non sans lui glisser avant un :



      - Attention, je suis plus dangereux que lui…
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R. Melvin Londubat

R. Melvin Londubat

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeJeu 11 Fév - 17:47

I want to finish the night with you



    Le serpentard rageait et mordait ses lèvres. De rage et de colère. Melvin s'était refusé à lui, et son égo en avait été outré. Melv scrutait les environs à la recherche de Sirius. Enfin, il le vit arriver, contournant la foule. Il n'était pas trop tôt. Il aborda le vert et argent, il lui souffla quelque chose, en le narguant à sa barbe. « Regarde et apprends, mon petit vert et argent. » Il se dirigea vers Melv, en mâle affamé de câlins. Il redoutait la chose qui allait se produire. Il lui prit la nuque doucement et tendrement, et se tourna de façon à ce que le serpentard admire la scène. Il lui mordilla la lèvre, et Melvin commença son ascension vers le septième ciel. Melvin ferma les yeux, se laissant guider par son galant partenaire qui lui léchait les lèvres sauvagement, et roulait sa langue entre les lèvres de Melvin. Il arracha le serdaigle à son rêve pour se rendre dans son dos, toujours en narguant le serpent. Il lui suça la nuque, puis la lécha, et revint vers l'avant, happant sa carotide. Il caressa ma main de ses grandes mains viriles et poilues légèrement. Le serpentard fit alors un bond en avant mais s'arrêta net. Puis fou de rage, il s'éclipsa. Sirius continua encore un peu ses avances langoureuses, puis stoppa la scène. Il se recula et plongea son regard dans le mien en susurrant ces mots intrigants. « Attention, je suis plus dangereux que lui. » Melvin ne réagit pas. Et il chercha le contact. Il se rapprocha rapidement du corps d'athlète de Sirius pour enlacer ses bras autour de sa taille. Il caressa sa chemise et se laissa tomber contre lui. Il susurra lentement. « Je m'en fous, Sirius. Tout ce que je veux... » Il tourna et se blottit contre le dos de son amoureux, passant ses mains de l'autre côté, non loin des parties intimes auxquelles il dut résister. Il lui souffla son souffle chaud dans le cou. « C'est toi. »


    Sirius bizarrement se laissait faire. Melvin trouvait ça inhabituel, ce mâle étant très dominateur, d'après ce qu'il avait pu observer durant cette soirée. Melvin refit les pas inverses, et se retrouva nez à nez avec son beau prétendant. Il prit les devants et sauta au cou du loup-garou, toujours muet et immobile, il se laissait faire, mais prit part au baiser fougueux où les langues s'échangèrent furieusement. Melvin se foutait que tout le monde autour les regarde. Il voulait rester dans les bras de ce Don Juan éternellement, car il s'y sentait terriblement bien. Melvin ouvrit les yeux, et vit les yeux gris argent de Sirius, il en frémit tellement ils étaient beaux. Melvin, réalisa qu'il était en train de tomber amoureux d'un coureur de jupons. Il s'en mordrait les doigts par après mais il s'en foutait. Tant que Sirius se laissait faire, il fallait en profiter. Il n'aurait pas un dieu dans ses bras tous les soirs, surtout un aussi mignon que celui-là. Il tâta les fesses du loup amoureusement, ce qui fit naître un léger sourire coquin sur le coin des lèvres de ce dernier. Melvin dans un élan affectif, ne contrôlant plus ses pulsions et découvrant une force qu'il n'avait jamais utilisée, poussa Sirius contre le mur à quelques mètres, pour lui mordiller à son tour les lèvres. Melvin se dirigea vers l'oreille de ce dernier et la mordilla fougueusement. Cela lui procurait du plaisir. Un plaisir qu'il ne pouvait décrire. À leur gauche, la porte des toilettes des hommes s'ouvrit et se referma. Melvin attira Sirius dans les toilettes éclairées d'une lumière blanche, Sirius résista un peu, bizarrement. Melvin oublait qu'il n'aimait pas être dominé, que ce soit par une fille ou par un homme. Le loup resta sur le pas de la porte, interrogateur. Ce qui mit Melvin en rogne, qui voulait absolument, durant ses énormes pulsions, prendre du plaisir avec son amant. Tant pis, Melv l'embrassa encore une fois, toujours sur le passage d'entrée des toilettes. Il descendit sa bouche vers le décolleté de la chemise du gryffondor, qui se laissait à présent faire, les yeux fermés en caressant les cheveux de son acolyte. Melvin défit les premiers boutons, laissant apparaître le pelage viril qu'il aimait tant caresser. La suite s'enchaina.
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeJeu 11 Fév - 19:29

    J’eus un sourire désabusé lorsque je croisais le regard furibond de celui qui aurait pu devenir un adversaire. Pour cela il aurait encore fallu que je considère Melvin comme un trophée ou un défi. Mais je ne ressentais rien de tout ça, c’était juste en quelque sorte un jeu expérimental bien que … j’avais déjà fait ce genre de choses, sexes confondus. Je lançais un regard innocent à Ethan qui me fixait els yeux ronds. Il s’attendait peut être pas à ça comme els trois quarts de la pièce. Je pourrais peut être mettre ça plus tard sur le compte de l’alcool. Mais je suis du genre à assumer le moindre de mes actes, les bons comme les mauvais. Et la différence ne me posait aucuns problèmes particuliers. Et puis, ça avait plutôt l’air actuellement de faire fantasmer toutes les filles de la pièce. Les fantasmes ne pouvaient apparemment pas être contrôlé. Je fis quelque pas vers le bar avant que deux bras fort me retiennent. Je levais les yeux au ciel amusé malgré moi par sa soudaine possessivité. Ce n’était pas pour me déplaire mais je n’avais pas trop l’habitude d’être le jouet de quelqu’un. Mais si Melvin pensait pouvoir me contrôler et avoir un droit de veto sur mes désirs, il allait vite redescendre sur terre. Je ne vivais absolument pas par procuration. J’étais bien acteur de ma vie et non spectateur. Personne ne pouvait me dire quoi penser et surtout quoi faire. J’étais trop fier et trop indépendant pour ça. Mais si Melvin voulait s’amuser alors ils allaient s’amuser à deux. Pour le moment, je me laissais faire mais bientôt j’allais rentrer en action et les choses sérieuses pouvaient alors commencer. J’étais de nature très joueuse alors j’espérais que Melvin soit patient. J’adorais frustré mes amants mais jamais mes amantes. Les femmes sont trop impatientes et colériques pour ça.

      - Je m'en fous, Sirius. Tout ce que je veux... souffla il. Il se déplaça dans mon dos et souffla sur ma nuque : C'est toi.


    Je restais stoïque alors qu’un grand sourire pervers venait s’incruster sur les courbes de ma bouche. Le serdaigle était vraiment pleins de surprises. Lui qui rougissait comme une adolescente pré pubère il y a peu me faisait maintenant du rentre dedans. Mais bon, j’aimais bien le coup de l’innocence désabusée. Bien sur j’avais bien plus de contrôle que Melvin mais c’était du seulement à mon expérience un peu plus grande dans ce domaine. Pas difficile lorsqu’on a la réputation de Don Juan et qu’on la tient ! Perdu dans mes réflexions, je ne remarquais pas que Melvin attendait certainement un geste ou une réponse. Par contre ses lèvres pressées et demandeuses contre les miennes eurent tôt fait de me ramener à l’instant présent. J’ouvris la bouche sur son injonction muette. Je décidais pendant un moment de rester un pantin entre ses doigts. Je répondais à son baiser en y prenant ensuite els commandes et il se laisse faire, se retira la respiration erratique. Cette dernière me balayait le visage. Ses mains descendirent sur mes fesses et je souris amusé. Non vraiment, il avait l’air assez bien dans ses baskets. Ou alors peut être lui faisais je cet effet là tout simplement. Après tout, mon charme n’était pas censé avoir de limites alors bon. Il se replaça dans mon dos et descendit ses mains pour les arrêter très bas. Je ne portais pas de ceinture, mon pantalon de smoking tombait sur mes hanches. Il n’avait qu’à tirer un peu pour me l’enlever avec une forte possibilité de faire craquer les boutons et vu le prix de l’ensemble, ça ne me fera pas rire. Il me poussa contre un mur et je retins avec peine la grimace qui voulait s’imprimer sur mes traits. J’avais le dos dans un sale état, il n’allait pas falloir qu’il s’amuse à faire ça….. Je ne le supporterai pas. Et un loup garou blessé ça devenait facilement violent. Après si il aimait les rapports brutaux c’était son problème, je savais m’adapter aux situations.

    Il essaya de m’entraîner vers les toilettes et je refusais d’y entrer. Non non, là il prenait ses rêves pour des réalités le petit. Il allait devoir me supplier avant, se mettre à genoux. J’étais vraiment d’une humeur joueuse ou sadique, ça dépendait des points de vus. Il trouvera certainement ça frustrant et sadique et moi ça follement excitant. Un peu déçu, il m’embrassa pour descendu à la base de mon cou et mordilla ma clavicule. Je fermais els yeux et profitais de ces petites caresses tout en lui caressant sagement les cheveux. Je descendis mes mains jusqu’à son visage et le relevais vers moi. Je le maintins à distance de ma bouche tout en laissant peu d’espace. Il ne bougeait pas bouger. Mes lèvres suçotaient les siennes et les effleuraient.

      - Finis de jouer mon grand, ici c’est moi qui commande susurrais je contre sa bouche.


    Un sourire goguenard et prometteur jaillit sur mes lèvres. J’haussais un sourcil provocateur dans sa direction. Je passais un main dans ses cheveux, attrapa une poignée et tirais doucement s a tête vers l’arrière. Sa nuque ainsi dégageait j’en profiter pour mordiller sa peau et la faire rouler entre mes dents. J’empêchais ses mains de se balader sur mon dos en les maintenant en place dans ma main libre. Il pouvait toujours essayer de se défaire de ma prise, je serais toujours bien plus fort que lui. Puis aussi subitement que j’avais repris le contrôle, jarretais et mis de la distance entre nous. Je lui soufflais un « patience » égocentrique avant de disparaître dans la foule. Lorsque je sus que je n’étais plus dans son champ de vision, je me dirigeais vers le bar, histoire d’aller boire un verre et d’humidifier ma gorge sèche.

      - Sirius pleurnicha une voix danse avec moi stp.
      - si tu veux lui concédais je.


    Elle sourit en me regardant bizarrement. Ils avaient tous été témoin de ma petite scène et apparemment ça avait fait son petit effet. Que la vie était belle ! Arrivé sur la piste de danse je me mis de telle façon à ce que Melvin encore frustré et immobile puisse me voir. Show must go on ! La musique était endiablée et sensuelle tout ce qu’il me fallait. Je me déhanchais avec ma cavalière. Mon regard plantait dans celui de Melvin lui murmurait milles envies. J’allais le rendre fou et ça avait l’air de plutôt bien marcher. J’abandonnais ma cavalière et disparais une nouvelle fois. Je contournais les danseurs et arrivais dans le dos de Melvin. J’étais discret, s’avancer à pas de loup, c’était quelque chose que je connaissais bien. Je fus bientôt complètement collé à son dos, tout en l’empêchant de bouger. J’étais caché par l’obscurité. Ma respiration caressa son cou, ses épaules mises à nues par mes bons soins. Un de mes bras vint le ceinturer avec force juste sur mon abs ventre. Mon autre main partit à l’ascension de son buste sous sa chemise pour repasser dessus et défaire les boutons uns à un avec une lenteur très calculée. J’aimais bien sentir sa respiration s’accélérer. Je le fis tourner et plantais mon regard onyx dans le sien. On était dans le noir mais j’avais pas finit avec lui, j’allais encore jouer un peu, ça rend la scène que plus attractive.

    Mes doigts remontèrent le long de sa poitrine, puis redescendirent puis remontèrent etc …. Ma bouche se posa sur la base de son cou et laissa un chemin humide de baiser le long de sa gorge et de sa mâchoire. Je contournais sa bouche qui quémandait un baiser pour arriver à son oreille.

      - Melvin, Melvin, Melvin …….. soufflais je d’une vois rauque et désabusée.
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R. Melvin Londubat

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeJeu 11 Fév - 21:38

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    Tout se déroulait très bien jusque quand Sirius stoppa Melvin en plein élan. « Fini de jouer mon grand, ici c’est moi qui commande. » Melvin parut surpris au début puis finit par trouver ça totalement logique. Comment pouvait-il s'imaginer que Sirius allait le laisser continuer ainsi, en prenant le dessus? Il lui mordilla la nuque en lui adressant un sourire vicieux. Qu'avait-il avec sa nuque bon sang? Il ne pouvait pas s'empêcher de la lui toucher, mordiller, embrasser, ou mieux encore. Puis, le loup se retira doucement, s'éclipsant délicatement. « Patience. » finit-il par lâcher à Melvin en se frayant un chemin dans la foule, non loin des toilettes. Melvin ne comprenait plus rien. Que voulait-il à la fin? Jouer avec ses pieds même s'il voulait se taper Melv? Ou tout simplement avoir une conquête de plus sur son tableau de chasse? Melvin, curieux de savoir ce qu'il mijotait, suivi ses traces dans la foule dansante. Il eut du mal à se frayer un chemin puis, quand il l'aperçut il le vit tenir une jeune femme par la taille, tout en se déhanchant, un verre à la main. Melvin faillit vomir à cette perspective. Écœuré, dégouté. Ça décrivait bien l'instant présent. Comment osait-il se payer sa tête? Il allait l'entendre. Melvin se retourna, ne voulant plus voir un morceau de cette scène grotesque, et s'apprêtait à quitter la soirée quand il sentit une ombre dans son dos, se blottissant contre lui. Le serpentard supposait-il, il se retourna, le poing paré à être écrasé dans la face de ce dernier. Mais surprise, Sirius lui léchait presque le dos. Il dénuda mes épaules, ce qui me fit frissonner tellement l'air était frais dans la salle malgré la foule enragée. Le Melvin que l'on connaissait grognait en moi, mais le Melvin en manque d'affection se laissait faire. Lequel allait prendre le dessus? Le garçon glissa ses mains en dessous des bras de Melv pour lui retirer ses boutons de chemise, un à un, délicatement et sensuellement. Melvin hésitait, ne bougeait pas était immobile. Comment osait-il bon sang? Il n'allait pas jouer avec ses pieds comme ça. Bien que Melvin rêvait de finir la soirée dans ses bras. Dilemme. Gros dilemme. La bouche du beau mâle viril remonta à ses oreilles pour lui donner un baiser mordant. Melv tendit l'oreille. « Melvin, Melvin, Melvin. »


    C'était trop. La chose à ne pas dire, les pulsions sexuelles de Melvin l'emportèrent. Melvin arracha sa chemise, laissant apparaître un liseret de poils sous son nombril. Ils étaient dans un coin sombre personne ne les voyait, et puis même il s'en fichait. Melvin en avait ras le bol de ce petit jeu et voulait conclure. Il se retourna, et se trouva face au reste de barbe excitant de Sirius. Melvin lui caressa la mâchoire avant de lui voler un baiser mordant sur les lèvres gonflées de Sirius. Puis il commenca à déboutonner la chemise de son ami lui aussi mais un peu plus sauvagement. En effet, Melvin ne contrôlait pas. Sirius, un peu mieux. Sirius se retrouva vite, lui aussi torse nu, affichant sa belle musculature. Melvin lui, en avait légèrement moins que son prétendant. Melvin parcourut de ses mains le torse jouissif de Sirius, en ouvrant la bouche d'extase, et lui adressa enfin quelques mots, dans un souffle. « J'ai pas envie d'essayer de te résister. J'en ai marre de ce petit jeu. » Ils se reculèrent dans un couloir dans l'ombre, tiens Melvin ne l'avait jamais repéré celui-là? Mais oui ! C'était la Salle sur Demande, Melvin pensait si fort à un coin un peu plus tranquille, qu'il apparut. Sirius attira Melvin au bout de ce minuscule couloir, on entendant moins la musique, ce qui laissait entendre la respiration saccadée des deux individus. Soudain, Melvin se dit qu'il fallait oser. Qu'il fallait tenter la chose. Il déboutonna le pantalon de Sirius en deux temps trois mouvements, c'était facile vu qu'il ne possédait pas de ceinture. Le pantalon tomba sur les chevilles du gryffondor, les yeux perçants l'ombre. Melvin eut l'eau à la bouche en remarquant que le caleçon avait été entrainé par la chute du pantalon.
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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeJeu 11 Fév - 22:13

    Je m’amusais réellement comme un fou. Je prenais bien mon temps. La patience était une vertu qui rimait avec le contrôle. Et ça tombait bien parce que j’avais les deux et puis je menais surtout la danse comme toujours bien que Melvin avait amorcé bon nombre de choses ce soir. Fallait dire que je n’étais pas au mieux de mes capacités physiques aussi. Aller vous amuser et danser lorsque tout votre squelette grogne et souffre. C’est vraiment vraiment pas facile. Surtout qu’il fallait faire semblant d’aller parfaitement bien pour éviter les situations gênantes enfin surtout les questions gênantes. Quoique en avançant mon mal de dos, j’aurais peut être pu glaner un massage divin. Ma foi c’était bien une piste à exploiter. On ne crache pas sur un petit service de ce genre. Enfin demain le réveil n’allait pas être triste. J’allais être un vrai papi avec toutes mes courbatures et les efforts que je fournissais. Bon je regrettais pas que Deamon m’est sortie de sous ma couette mais bon, fallait peut être que j’apprenne à ne pas faire d’excès.




      - Je n’ai pas envie d'essayer de te résister. J'en ai marre de ce petit jeu souffla il à bout.
      - Déjà ? me moquais je gentiment.





    Je commençais à vraiment m’amuser moi, bah je trouverais bien le temps de le faire languir encore un peu. Non vraiment, l’attente c’était bien meilleur que tout lorsqu’on savait si prendre. Je n’avais pas non plus la prétention d’être un dieu dans ce domaine. Bien que les gens disaient le contraire et s’accordaient à le dire. Au moins ça formait une unité entre les maisons même els ennemis. Melvin semblait émerveiller en découvrant mon torse. Je ne pus réprimer un rire face à son visage satisfait. Il était entreprenant et en même temps il réagissait de manière assez prude. Je n’avais plus de doutes sur le fait que c’était sa première fois. Ses gestes montraient une impatience extrême qui commençait à me frustrer aussi. Les puceaux ne savaient jamais prendre leur temps. Dans ce cas de figure, c’était donc à moi de l’éduquer et l’inculquer à la patience. Quelque chose me disait que ça n’allait pas être triste. Après fallait aussi que j’arrive à me contrôler jusqu’au bout et ne pas animer la cadence trop rapidement. Mais on n’en était pas encore là même si tout allait vers une très proche concrétisation.



    Je me sentis poussé dans un endroit sombre. Un couloir ? Original, je ne l’avais jamais fait contre mur. Ça ne devait pas être non plus des plus agréable. Mais bon els endroits insolites je les connaissais aussi. Je le menais au bout, l’intimidé c’était bien mieux quand même. On allait respecter une certaine pudeur tout de même. Je fixais sans retenue le visage de Melvin. Je voyais dans le noir et les émotions que passaient sur son visage était si divertissantes. Je le laissais m’enlever mon pantalon en craignant pour mes boutons. Par contre, je n’avais pas prévu de finir déjà nu. Pas je n’avais aucun problème avec ma nudité de toute façon. Je souris machiavélique lorsque les yeux de Melvin s’agrandirent à la vue de mon entre jambe. Et là si j’avais un doute, c’était clair que ça allait être sa première fois. Je haïssais les premières fois. Fallait faire attention à tout. Heureusement que la pleine lune était passée sinon ça aurait été une catastrophe. Je me rapprochais de lui collant mon corps entièrement nu au sien. Nos poitrines dénudées frémirent de concert. J’adorais vraiment trop la chaire humaine, sans mauvais jeu de mots.



      - Eh ben alors, on a jamais vu le loup ? le taquinais je doucement.




    Ah entendre par là de ce qui faisait que j’appartenais aux hommes. Bien sur c’était un jeu de mots habilement tourné pour les oreilles connaisseuses. Mais pas de risques, ce n’était pas le cas de mon futur amant. J’adorais son cou, sans pouvoir réellement me l’expliquer. J’adorais sentir sous ma langue la pulsation effrénée de son sang. C’était un instinct un peu animal. C’était le prédateur qui prend conscience de sa proie avant de planter brutalement ses crocs. Je me reculais, et allait m’appuyer doucement sur le mur surtout dans le souci de ne pas me faire trop mal. Un rayon de lumière diffuse tamisée ma peau. Je traçais moi-même le contour ma plus grande cicatrice. Je n’en avais pas beaucoup mais celle-ci était la plus voyante. Et loin de me défigurer on m’avait souvent dit qu’elle me donnait un charme fou, une allure de héros et de rebel. Elle partait du bas de ma hanche pour aller se perdre sur mes côtés.



      - Tu aimes ce que tu vois Melvin ?allumais je avec toujours le même sourire en peu manipulateur.





    Melvin semblait en transe sinon sur qu’en voyant mon sourire il aurait décamper à toute vitesse. Où peut être pas si il était un minimum sans bon sens. Des gens masos ça existe, j’en étais un preuve au final J’étais taré aussi et très peu orthodoxe également. Il manquait plus qu’une clope pour accentuer mon côté vraiment bad boy sur le coup. Sur que j’avais laissé mon paquet de cigarettes dans le dortoir et que c’était pas l’heure d’aller le chercher.
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R. Melvin Londubat

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeVen 12 Fév - 20:40

it's my first time, be sweet



    Mes yeux prirent une forme ronde écartée sans que je m'en rende réellement compte. Il est vrai que, à part dans les douches du stade de Quidditch, je n'avais jamais vu d'autre sexe que le mien. Je n'étais pas gêné, non non. Juste un peu étonné, et malgré moi, cela se fit remarquer sur mon visage. Je ne bougeais toujours pas, ébahi devant cette scène. Comment avais-je pu le déshabiller aussi sauvagement? J'étais sorti de ma transe sexuelle et je prenais conscience des mes actes, seulement. J'étais figé, et il me regardait de ses yeux cristallins, le sourire aux lèvres. Il rapprocha son corps nu contre le mien. Je me sentis une micro-seconde gêné, puis je frémis de plaisir. Il savait vraiment s'y prendre pour me faire craquer. En même temps, cela me mettait en colère car je n'avais aucun contrôle de moi-même lorsqu'il jouait à ces jeux-là, et d'un autre côté, j'aimais me sentir bien contre lui. Mon torse toucha le sien, et au fur et à mesure de nos mouvements, se caressèrent l'un l'autre. Contrairement à lui, j'avais encore mon pantalon, ce qui empêchait encore que nos deux corps se retrouvent nus l'un contre l'autre, dirai-je. Sa voix grave que j'aimais tant résonna dans ce minuscule espace. « Eh ben alors, on a jamais vu le loup ? » J'imaginais que ce qu'il entendait par le loup était ce membre qui se durcissait doucement, dans son entre-jambe, au rythme de nos préliminaires très étranges. C'est sûr que de tels préliminaires, on en voyait pas tous les jours. Mais bien évidemment, je ne captai pas le malicieux jeu de mot glissé sous cette phrase pourtant d'apparence insignifiante. Soudain, alors que je ne m'y attendais pas, il se recula dans l'ombre du coin du couloir, contemplant son corps sculptural. Il caressait sa hanche, son ventre puis son flan d'une façon indescriptible. J'aperçus grâce à un rai de lumière une cicatrice assez conséquente. Je fis mine de ne rien voir, histoire de ne pas le choquer. Cette expérience avait du être terrible, même si Sirius était du genre à ne rien laisser paraître en surface. « Tu aimes ce que tu vois, Melvin ? » Sa voix grave avait résonné dans ma tête tel un dong immense, du fait que j'étais perdu dans mes pensées. Je me rendis compte que, en train de réfléchir, mon regard posait sur son entre-jambe plus qu'alléchante. Je mis du temps à comprendre le réel sens de la question qu'il venait de me poser, et dans une gêne, je ne parvins pas à répondre. Il était vrai que c'était la première fois que je couchais avec un homme. Ou plutôt, que je couchais tout court. J'y pense. Ma première fois sera avec un homme, curieux. Je ne l'aurais pas imaginé ainsi. Il était clair qu'il l'avait compris, je le sentais. Alors à quoi bon le confirmer par la parole s'il l'avait lui même deviné. Je n'en voyais pas vraiment l'intérêt.


    Il parut voir clair dans mon jeu, il savait que je n'allais pas lui répondre. Il sortit de l'ombre, montrant toujours son corps nu, et vint se coller contre moi, dans la même position qu'il avait prise juste avant. Nous aimions tous les deux cela. Le plaisir était présent. On aurait dit que nos deux corps étaient en parfaite harmonie, en symbiose. Mais pour que celle-ci soit totale, il fallait mettre à nu les deux corps. Le corps de chacun. Sirius s'empressa de le faire, retenant sa vigueur pour ne pas paraître pressé. Mon pantalon de smoking noir descendit de lui-même après qu'il ait arraché ma ceinture de ses dents blanches comme neige. Mon caleçon montra le bout de son nez, rouge à carreaux blancs, on aurait dit un écossais en kilt. Sauf qu'il y manquait le vert. D'un coup de mâchoire, mon caleçon se déchira, et un sourire triomphant se dessina sur le visage de mon partenaire. Nous étions désormais tous les deux nus, l'un contre l'autre. Tout cela n'allait pas se passer comme je le pressentais, je le savais bizarrement. Sirius allait encore jouer un peu, tel un gosse immature qui énervait sa mère. Bien que nous soyons tous les deux nus, je sentais que Sirius allait tenter quelque chose d'encore un peu plus fou. Je me mis à genoux tout en douceur, et caressai ses jambes poilues, comme je les aimais. Je remontai jusqu'à ses cuisses, laissant ma langue goûter au parfum enivrant de sa peau. Je contournai la partie la plus croustillante et la gardai pour plus tard. Je caressai son torse de mes mains moites, sans doute un peu violemment, car il émit un hoquet de douleur, sûrement dû à ses cicatrices. Je lui adressai un baiser langoureux sur les lèvres en parcourant son restant de barbe de mes doigts. Une fois mon emprise sur ses lèvres pulpeuses me laissant libre court à la parole, je susurrai ses mots, sur un ton sensuel, toujours contre ses lèvres. « Vas-y, lâche-toi. Autant que je me souvienne de ma première fois. » Je m'étonnai moi-même de ma subtile réponse, car j'avais à la fois répondu à sa question précédente, mais je l'avais aussi invité à continuer nos ébats sexuels, que j'aimais tant.


    désolé pour le passage en je, et c'est pas super long mais bon *o*
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Sirius Orly W. Lupin

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MessageSujet: Re: VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? VOULEZ-VOUS COUCHER AVEC MOI? Icon_minitimeVen 12 Fév - 21:19

    Il mit du temps à reprendre pied avec la réalité. Je patientais gentiment en le détaillant de tout mon soul. Il était beau le petit serdaigle impudique. J’avais vu des corps magnifiques dans ma maigre et frivole existence de play boy. Des hommes et des femmes avec des corps à faire pali un saint. Il avait son charme un peu enfantin. Il avait les courbes de l’homme qui s’épanouit lentement mais sûrement. C’était… comment dire …mignon et attendrissant. Il n’était pas le genre de personnes qui se prennent trop la tête et qui passaient leur temps dans des salles de sport, à faire de la gonflette pour faire baver les filles. Il avait l’air assez simple comme garçon et très terre à terre. Cela ne m’étonnait pas, c’était en ami de ma cousine après tout. Son meilleur ami même. C’était obligé qu’au fond il soit quelqu’un de simple et de fréquentable. Enfin pas quand il avait décidé de perdre sa virginité mais je m’en amusais au lieu de m’en sentir offusqué. Et puis c’était plutôt gratifiant de savoir qu’on avait été choisi pour une tâche très importante.

    Je le déshabillais rapidement trouvant la situation trop injuste et surtout trop à son avantage. Je me reculais à bonne distance pour pouvoir le contempler librement. Je le laissais s’amuser tranquillement avec mon corps. Et puis ça me faisait du bien, ça me détendait les muscles. Mais là j’avais vraiment l’impression de prendre du plaisir tout seul bien qu’il avait l’air ravi de s’occuper de mon cas. Ça avait l’air de le griser complètement. Un gamin qui découvrait pour la première fois la magie de Noël. J’étais persuadé que Melvin ne pourrait ensuite plus jamais se passer de sexe. Je ne pus réprimer un hoquet de douleur lorsque ses doigts vinrent appuyer un peu trop brusquement sur mes cotes et le bas de mon dos. C’était là ou j’avais pris le plus gros coup il y a deux jours. Je mettais propulsé contre un arbre dans ma rage. Et puis c’était souvent l’endroit ou j’avais le plus mal à cause de ma transformation. J’étais énormément sensible du dos. En tout cas, c’était pas mal qui allait me vriller les omoplates contre le mur mais bien Melvin. Il fit taire ma plainte presque inaudible en m’embrassant à pleine bouche. Sa langue s’insinua entre mes lèvres et je la laissais jouer tranquillement avec la mienne tout en rapprochant son corps du mien en le poussant avec mes mains.

      - Vas-y, lâche-toi. Autant que je me souvienne de ma première fois. Souffle il sensuel.
      - Oh mais ne t’inquiète pas mon grand … tu vas t’en souvenir ! Et tu vas même en redemander encore et encore jusqu’à ce que demain tu n’arrives pas à marcher ! susurrais je sur le même ton que le sien.


    Et j’étais parfaitement sérieux, j’avais de l’endurance à revendre même deux jours après une pleine lune surtout qu’il avait bien eut le temps de me chauffer et moi de jouer avec lui. Là je me sentais fin prêt et rassasier de sa frustration. Je lui lançais un regard énigmatique tout en le repoussant contre le mur. D’ici personne ne pouvait nous voir. La musique était forte, trop forte d’ailleurs pour mes tympans sensibles. J’entendais tous els grésillements de la bande son mais au moins personne ne viendrait nous déranger. Et puis sinon je chasserais les petits curieux. Il était prêt je n’avais donc pas besoin de lui poser la question et de faire durer mon petit jeu. Au final, je lui avais donné pleins d’occasions de fuir, il n’en avait saisi aucune. Il était sur de lui. Je lui souris, l’embrassais presque sauvagement en torturant ses lèvres. Je prit une dernière fois l’autorisation dans ses yeux brillants et impatients et commençait son apprentissage et son dépucelage dans les règles de l’art sans l’épargner sur les sensations mais en essayant de ne jamais lui faire mal … je voulais qu’il s’en souvienne et qu’il en soit fier.

    ----

    Je posais ma tête sur son torse. Ma respiration erratique et secouée vibrait sur sa peau. Il me tenait et le mur le tenait. Je laissais un sourire satisfait fleurir sur mes lèvres. C’était un bon coup. J’espérais qu’il avait apprécié. Je me relevais sur mes jambes tremblantes. Je grimaçais en sentant mon dos criait d’injustice face à ma négligence. Je me grattais la tête en étirant ensuite mes muscles endoloris. J’étais parfaitement bien, détendu. Je nageais dans la petite bulle post sexe, planant à trois milles.

    Je me laissais à rire devant l’air de Melvin, il avait l’air complètement ailleurs.

      - Tu risques d’avoir mal demain ne pus je m’empêcher de le prévenir.


    J’avais vraiment envie d’une bonne clope maintenant. C’était ma petite habitude. Sexe et nicotine de quoi avoir une vie parfaite saine. Je remis mon caleçon, mon pantalon et ma chemise sans pour autant la boutonner. Je ne savais pas ou j’avais mis ma veste de smoking mais j’allais bien finir par la retrouver.

      - Je vais chercher une clope, remet toi avant de me rejoindre… lui lançais un rire dans la voix.


    Je l’embrassais presque délicatement et j’ai bien dis presque et sortit du couloir pour retourner vers la foule agitée, la musique. J’accostais plusieurs personnes avant de trouver une âme charitable qui puisse me donner du tabac. Je m’installais sur un des fauteuils libres de la salle, allumer ma clope et laisser le tabac envahir mes sens. C’était si bon.
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