BRAKIUM EMENDO*
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♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING

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Madeline Georgie Weasley
MISS ALMOST, MISS MAYBE, MISS HALFAY ♥
Madeline Georgie Weasley

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♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Vide
MessageSujet: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeSam 2 Jan - 22:11

DON'T STOP BELIEVIN
__________HOLD ON TO THAT FEELING


    Quand on est petit, on a peur du noir. Madeline se rappelait de cette époque ou son frère l'avait convaincu qu'un troll vivait sous son lit. Un parent dirait à son enfant moldu que les monstres n'existent que dans notre tête, mais un sorcier, que pouvait-on lui dire? Elle pensait avoir été immunisé depuis bien longtemps contre cette terreur, pourtant lorsque les préfets annoncèrent les extinctions de lumières, elle n'arriva pas à trouver le sommeil. Ses rêves étaient trop noirs, trop terrifiant, peut-être pas pour certains mais ou elle, si. Toujours le même rêve, ou plutôt cauchemar: elle se retrouvait dans une forêt semblable à celle près de l'école, la nuit s'était levé, mais une brume épaisse couvrait les environs. Immobile, elle ne bougeait pas avant d'entendre des crépitements de feuilles mortes, c'est à ce moment précis qu'elle se mettait à courir, mais vers ou? Elle n'en avait absolument aucune idée, cette forêt était plus un labyrinthe qu'autre chose, on ne pouvait pas en sortir. Inévitablement, elle se prit une racine et tomba à terre, ne trouvant pas la force de révéler, elle restait immobile comme ça, des fois pendant quelque secondes, des fois pendant des heures avant que quelque chose ne lui saute dessus, et qu'elle se réveille en sursaut. Toujours le même rêve, et toujours la même fin. Pourtant sa peur s'accentuait un peu plus chaque nuit. Bref, en sursaut elle se réveilla, agrippé à ses draps encore humides, des perles de sueurs dégoulinaient sur sa peau diaphane, elle avait toujours eut le teint pale, mais il le paraissait encore plus étant donné qu'elle n'avait pas bien dormi depuis ... une éternité. Des cernes marqués sur les yeux, elle ressemblait à vrai zombie, après quelques secondes, elle réussit à retrouver un rythme cardiaque normal. Cette nuit allait être longue.

    Le silence la perturbait, les ronflements, mouvements des autres la confortait, dans ce noir, elle ne se sentait pas seule. Mais là, rien. Madeline se redressa un peu et jeta un regard vers la fenêtre, son échappatoire, en cours, elle se plaçait toujours près de celle-ci, et se laissait distraire par ce paysage si ... magique. Sauf en une matière, dfcm: les défenses contre les forces du mal en abrégé. Pourquoi, un mot suffisait, Grayson. Cayn Greyson, son professeur, les quelques heures qu'elle avait avec lui chaque semaines étaient les plus captivantes de toutes sa vie. Il avait cette assurance qui la fascinait, surement un des plus respecté de tout le système, pourtant, il n'était pas le plus stricte ou même sadique. Pas étonnant qu'il était un ancien gryffondor. Enfin, son regard s'écarquilla lorsqu'elle aperçu une lumière douce s'échapper de son bureau, il était toujours levé. Sur la pointe des pieds, elle se leva et enfila sa robe de sorcier, mimi n'avait toujours pas abandonné sa robe de première année, aujourd'hui elle lui arrivait au-dessus des genoux, et ses manches étaient devenues des manches trois-quarts, pourquoi ne mettait-elle pas celle de cette année, tout simplement, vue sa maladresse, elle se prenait toujours les pieds dedans. Marchant le plus doucement possible, elle se crispait à chaque craquement que causait le vieux parquet. Montant les marches deux par deux, l'école paraissait si différente le soir lorsqu'il n'y avait personne, elle espérait qu'une chose: que le concierge ne l'attrape pas. Au pire elle pouvait faire semblant d'être somnambule, à ce qui paraît-elle l'avait été étant plus petite. Marcher la détendait, comme courir, la meilleure sensation qu'il y avait, elle se retrouvait dans un endroit ou rien de mal ne pouvait arriver, comme si même si elle poussait un peu plus loin, qu'elle continuait à bouger, rien ne pouvait la toucher. Elle arriva devant la salle de Mr Grayson, la porte ouvert, il travaillait, peut-être à corriger des copies, elle ne savait pas. Figé, elle voulait partir avant qu'il ne la remarque, mais elle n'y arrivait pas, finalement il leva ses yeux, avant qu’il ne comprend que s'était elle, ses jambes se mirent en marche à une vitesse accéléré. Elle allait se faire détruire. Pourquoi était-elle venue? À ses risques et périls, il l'attirait, des filles comme elle ne pouvaient pas se rendre responsables de leurs actes.


Dernière édition par Madeline Georgie Weasley le Dim 3 Jan - 11:43, édité 1 fois
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Cayn J.J. Grayson

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MessageSujet: Re: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeDim 3 Jan - 0:03

    CAYN JJ CRAYSON ● MADELINE G WEASLEY
    we shouldn't do that you know.
    Il n'avait jamais planché des heures sur une feuille pour rendre un devoir, jamais. Naturellement brillant, les cours étaient pour lui d'une facilité déconcertante lorsqu'il était encore étudiant. D'après ses professeurs ses facultés de logiques, de réflexion étaient exceptionnelle. Plus tard lorsqu'il avait intégré les aurors, il avait démontré des aptitude physique incroyable, et un sang froid hors du commun. Il était doué, très doué. Mais il n'avait jamais imaginer le temps qu'avaient mis ses professeurs pour lire ses copies, enfin les siennes ne devaient pas leur prendre beaucoup de temps étant donné qu'elles frisaient l'exactitude parfaite. Les copies de premières années qu'il corrigeait lui donnait mal à la tête. Il ne comprenait pas à quoi avait servit les cours que ces gosses avaient suivit dans leur études antérieure. Des copies mal écrites et par dessus tout bourrées de fautes d'orthographe. Il était effaré de constater à quel point ce gamins n'avaient rien écouter à son cours. Il leur mettait des notes abominables, néanmoins quelques copies lui redonnait le sourire, il parvenait désormais à associer au nom la tête. Il n'était plus étonné par les bonnes notes, elles étaient pour ceux qui écoutaient en cours, sauf rare exception. La professeur essayait d'être sympa sur la note de ceux qui bossaient un maximum mais dont la note n'était pas encore à la hauteur des efforts. Il était étonné de voir qu'il pouvait avoir un coté pédagogique, lui qui avait toujours répondu à ses professeurs avec désinvolture, mais il pouvait se le permettre, il avait l'intelligence et le savoir, ce qui était loin d'être le cas des élèves qui lui répondait. Il voyait des capacités en certains. Il essayait de les mater, malgré ces attitudes négatives. Il avait foie en certain de ses élèves, mais pas en tous.

    Le sorcier posa enfin sa plume, et acheva fièrement de corriger la pile de copie des premières années. La moyenne défiait de loin les plus basses qu'il n'avait jamais vu. Il poussa un soupire de soulagement et s'étira doucement. Le château était calme, comme toujours. La nuit avait peu à peu englober le château dans un manteau noir profond. La lune était nouvelle, il n'y avait nul rayons de lune ce soir, rien que la nuit noire. Il n'avait pas vu la nuit se coucher, il n'avait même pas lever la tête. Il travaillait non stop, mais il avait enfin fini. Le couvre feu était passé, voilà ce qui expliquait le calme ambiant. Il pris le tas de copies dans ses mains et fit de sorte à ce qu'elles soit bien ranger. Il se leva enfin pour les poser sur le meuble derrière lui. Il attrapa la fine pile juste à côté, il s'agissait là de devoir facultatif pour les plus motivés. Il les posa sur son bureau et se rassit enfin. Il pris quelque seconde de réflexion, il avait sa plume en main, mais il ne bougeait pas. Il fixait la première copie sans parvenir à la lire, d'extérieur on aurait pu croire qu'il travaillait. Faux il pensait, il pensait qu'il était idiot de donner des devoirs facultatifs car cela faisait des copies à corriger en plus. Il resta quelque minutes comme ça. Puis, il releva enfin la tête. Remarquant que la porte de son bureau était encore ouverte. Mais ce ne fut la seule chose qui lui sauta aux yeux. Une silhouette se dessinait dans la porte. Si cela avait été allegra, il aurait entendu des jurons avant même de la voir. Une élève, à cette heure ci dans le château ? Voilà qui était quelque chose de surprenant, enfin il n'était pas tellement surpris car lui à son époque il ne respectait jamais le couvre feu, mais cette fille était plutôt suicidaire aller voir un professeur après le couvre feu, voilà qui était original.

    - Miss weasley, seriez vous suicidaire ce soir ? dit alors alors de sa voix à la fois enjoué, mais sérieuse. Entrez donc, des fois que le conierge vous vois, et fermez la porte.

    Il posa alors sa plume pour observer la sorcière. Madeline Weasley, fille d'un de ces nombreux Weasley. D'après les parents de Cayn les weasley étaient très nombreux, aussi nombreux que les insectes (oui, dans les familles de sang purs les weasley et tout les gens se disant sorciers ayant un sang moyennement pur ne sont pas aimer.). Il ne la punirait pas. Après tout, elle était peut être en pleine crise de somnambulisme, ou peut être avait elle un problème qu'il pouvait résoudre. Il s'efforçait, lui qui n'avait rien d'un alturiste, de résoudre les problèmes des élèves qui se présentait à lui. Beaucoup venait pour l'orientation, mais à des heures plus décente. Il attendit qu'elle bouge, qu'elle entre et qu'elle ferme la porte, bien qu'il lui fallut un moment de réflexion. Il lui dit d'un signe de tête de s'avancer. Il croisa les bras et s'assit alors sur son bureau sans quitter la sorcière des yeux. Elle était une élève qui se débrouillait plutôt bien en défense contre les forces du mal, il devait l'admettre, mais d'après ses autres professeurs, c'était la seule matière où elle faisait des merveilles. Il ne pouvait s'empêcher de sourire, s'imaginant lui entrain d'être pédagogue. Lui Cayn Grayson, le type le plus indépendant de tout le ministère, le type le plus arrogant, et le don juan. Le don juan en lui ne pouvait s'empêcher de penser à quel point cette sorcière était dangereusement jolie. Avec sa façon de sourire en cours et de lever la main dès qu'il posait une question, il avait remarquer les regards qu'elle lui portait, et s'efforçait de ne pas y penser. Professeur, il se devait une certaine éthique, mais il le savait il n'arriverait pas à tenir l'éthique longtemps, car les règlements et lui on toujours fait deux.

    -Madeline, je peux faire quelque chose pour toi, ou j'appelle le conierge ? dit entre humour et sérieux, avec son sourire légendaire.
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Madeline Georgie Weasley
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MessageSujet: Re: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeDim 3 Jan - 13:52

    Le visage crispé, elle s'était fait attrapé. Elle se retourna avec le plus beau sourire qu'elle aurait put faire, et ça elle connaissait bien. Madeline était une fille mignonne, au visage enfantin, à force, elle avait apprit à s'en servir. Lui redonnant des couleurs, physiquement, elle ressemblait à une sorte de vampire, mort-vivant. D'un pas léger, elle recula, arrivant au niveau de la porte, elle avait toujorus eut cette grâce naturelle mais sa maladresse avait tendance à tout gâcher, à ne pas tenir en place, elle finissait toujours pas briser ou renverser le seul objet sensible au moindre choque. - Miss weasley, seriez vous suicidaire ce soir ? pendant un instant elle eut peur qu'il était contrarié, mais sa voix gardait n ton plaisant. Entrez donc, avant que le concierge vous vois, et fermez la porte. elle ne répondit rien, parce qu'il n'y avait rien à répondre. le problème avec Mr Grayson, s'était qu'il ne ressemblait en aucun cas aux autres professeurs, il montrait un peu de compassion à ses élèves, il avait légèrement tendance à dépassé les limites, mais il suffisait que un des élèves en profite pour qu'il le remette à sa place. Le silence demeura quelques instants, elle sentait son regard la parcourant, mais elle essaya de ne pas y faire attention. Il était indéniablement beau, mais elle n'était surement pas la seule à le remarquer, toutes les filles de sa classe bavait en le voyant, sans parler mlle Gage, pendant longtemps, elle s'était bien entendue avec sa professeur, mais aujourd'hui, elle était plus froide avec elle, l'ignorait completement, la poufsouffle n'était pas idiote à ce point-là. Après quelque recherche, elle apprit qu'ils avaient un passé, ce n'était pas étonnant, ils avaient tous un peu près le même âge, pas étonnant que certains se connaissaient dans le passé. Depuis, elle avait essayé de se montrer un peu distante, mais sans beaucoup de succès.

    Immobile, elle ne bougea pas avant qu'il ne lui fasse un hochement de tête lui demandant d'avancer. Assis, les bras croisés, son regard la toisait, Madeline se retourna pour fermer la porte avant de s'avancer vers le bureau. C'était la première fois qu'elle se retrouvait seule avec lui, et pourtant, elle n'était pas du tout mal à l'aise, avec lui, elle se sentait bien. Mais en le regardant, elle pensait qu'une vingtaine de filles étaient passé là avant lui, quand il n'y avait personne dans la salle, parce qu'il n'était pas si innocent que ça: récemment des rumeurs couraient comme quoi certaines élèves auraient couchés avec lui, il y avait deux solutions, soit à force d'y rêver ces filles le croyaient vraiment, ou bien s'était vrai. Madeline avait plutôt tendance à croire la deuxième solution, mais bon, elle ne pouvait pas le juger car elle ne le connaissait pas. - Madeline, je peux faire quelque chose pour toi, ou j'appelle le concierge ?Elle détestait le concierge, un homme rustre, solitaire qui semblait n'aimer personne, dont elle. Elle hésita à s'asseoir, si elle s'installait, ça voulait dire qu'elle n'était pas prête à partir, pas qu'elle le voulait, mais cette situation était si étrange, non déplaisante, mais elle ne s'était jamais imaginer que les professeur avait une vie à côté de leur métier. il passait quasi tout leur temps ici, et durant leur temps libre ils corrigeaient des copies, aucune vie sociale. les heures scolaires avaient été largement déplacer, face à lui, était-elle toujours son élève, et lui son professeur? - Je doute vraiment que la défense contre les force du mal soigne les insomnies. Une lignée de dents blanches apparurent lorsqu'elle afficha sur son visage de nouveau un sourire. Dieu qu'il était beau, elle se demandait quel âge il avait. La trentaine, ou peut-être un peu moins, il n'était pas si vieux que ça. Les mains posés sur les hanches et enfin posa le regarda droit dans les yeux, pour la première fois, il ne l'intimidait pas plus que ça. Elle hesita à ajouter que la lumière provenant de sa salle l'avait initriguer, prétexte pour se balader dans le château, mais elle ne le fit pas parce qu'il n'tait pas son ami, ni rien, elle ne pouvait juste pas lui parler comme ça, même si elle l'aurait voulu.
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Cayn J.J. Grayson

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MessageSujet: Re: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeDim 3 Jan - 16:42

    L'année scolaire avait à peine commencé. Il s'était déjà retrouver avec des centaines de copies, notamment des copies dues à des contrôles surprise impromptue. Il abandonnait dors et déjà l'idée des contrôles surprises pour ramener le silence dans son cours. Il était passé à quelque chose beaucoup plus cool, il avertissait sur le ton d'une quasi plaisanterie, et au second coup dehors. Simple, mais efficace. Il était réputé depuis le début de l'année d'être quelqu'un de plutôt cool, cool, mais passant vite à l'autre extrémité, mettant dehors ceux qui ne suivent pas et perturbent le cours. Il avait dors et déjà une réputation. Il se souvenait lorsqu'il était élève, il donnait souvent des fausses indications sur les professeurs, lançant des rumeurs, juste pour rire. Le temps de ses études remontait déjà jusqu'à six ans. Six années qu'il avait quitté la château. Les septièmes années étaient en première année lorsque lui achevait son cursus. Il avait peut être traumatisé la moitié de ses élèves, mais il ne s'en souvenait pas, et puis qu'importe il avait changé, maintenant il avait tout pouvoir sur eux. Le professeur Grayson était victime de rumeur, malgré lui, alors qu'il n'avait même pas fini de s'habituer à son nouveau statu. Il devait avouer que Poudlard était affreusement monotone, lui qui aimait bouger sans cesse. Il se demandait souvent ce qui l'avait pousser à devenir professeur ici, sincèrement. Selon les dites rumeurs, il aurait couché avec certaines de ses élèves. Il avait un sourire aux lèvres en y pensant. Car il n'avait encore couché avec aucunes de ses élèves ou presque. Il pensait que ces jeunes filles avaient dû prendre leur rêve pour leur réalité.

    La sorcière qu'elle était s'avança finalement. Madeline Weasley, son côté professeur analysait mentalement son dossier, prêt à répondre à l'une de ses questions concernant son cours. Il doutait que la défense contre les forces du mal soit la cause de son insomnie, mais il ne dit rien, laissant la jeune sorcière répondre à sa question. Il se doutait qu'elle ne désirait pas qu'il appelle le concierge, lui même ne le portait pas dans son cœur. Ce vieux bougre ne le portait guère dans son cœur, se demandant encore comment un type comme lui pouvait être devenue professeur, lui qui jadis n'avait jamais eut une once de respect pour l'ordre. Il n'avait jamais imaginer qu'en étant professeur sa vie sociale serait quasiment réduite à néant, entourée de gamine d'à peine vingt ans, il se sentait peu à sa place, entouré de professeurs qu'il connaissait, et avec lequel il avait parfois des problèmes. Son travail l'obligeait à ne se fier à personne, surtout à personne. Envoyé pour veiller sur la sécurité, il n'aurait jamais pensé qu'être professeur le priverait de vie sociale. Ainsi, il voyait en ses élèves plus âgé un moyen de garder un contact avec l'aspect vie sociale qu'il chérissait tant. La sorcière lui répondit alors. La réponse de cette dernière ne le surpris pas. La défense contre les forces du mal ne pouvait pas causer d'insomnie sauf si vous êtes auror et que dépende de votre travail la vie de plusieurs personne, là, alors, la défense contre les forces du mal avait de quoi être la cause de non sommeil, mais la sorcière n'était pas auror, c'était donc forcé. Il ne pu s'empêcher de penser que par Merlin, elle était belle.

    - La défense contre les forces du mal ne peut rien contre tes insomnies répèta il en la fixant, laissant un mince sourire se dessiner sur ses lèvres. Si le professeur ne peut rien pour toi, alors qu'est ce que je peux faire pour toi Madeline ?

    Le professeur ne pouvait rien faire face au insomnie de la sorcière. Non, la défense contre les forces du mal ne pouvait rien contre les insomnies, si elle voulait résoudre ce problème il aurait fallu que la sorcière rende visite au professeur de potion dans les sous sol du château, mais elle y aurait sans doute moins reçu par sa collègue féminine. Il aurait pu lui donner mille et une façon de combler le temps où l'on s'ennuie lorsque l'on ne parvint pas à s'endormir à Poudlard. La première était d'errer dans la château, jouant à cache cache avec le concierge, très amusant mais aussi très risqué. La seconde était de réveiller brutalement ses camarades et d'organiser une petite soirée pyjama. Il y avait mille et une façon de passer son temps, certaines plus catholique que d'autre, mais ça c'était quelque chose qu'il devait se sortir de la tête. Bien que tête brûlé, et maudissant fermement les règlements, la raison était sa seule limite, la seule chose qui le gouvernait en fin de compte. Il la regardait. Il était toujours assit sur son bureau. Il laissa alors planer un silence, un silence. Il méprisait le silence, il préférait de loin qu'il y ai du bruit à en faire perdre la tête, le bruit qui réveillerait les morts. Le silence avait un côté reposant, mais un côté reposant qu'il associait à la vieillesse. Il ajouta alors, brisant le silence, d'un air malicieux et enjoué :

    - Il existe mille et une façon d'occuper son temps durant les insomnie tu sais, et je parle en tant qu'ancien élève, en six ans, ça ne doit pas être bien différents.
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MessageSujet: Re: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeDim 3 Jan - 22:29

    Poudlard avait quelque chose de fascinant la nuit, aucun des premières années ne train de vous courir entre les jambes, le silence avait quelque chose de reposant mais aussi un peu perturbant, pourtant, la solitude ne la dérangeait pas, elle lui arrivait d'être mieux que son entourage des fois qui aujourd'hui se résumait à peu de personne. A cette pensée, Deyvon apparut dans son esprit. Elle ne savait toujours pas quoi faire à propos de lui, les cartes s'étaient entre ses mains, depuis le début, elle aurait put tout arrêter mais jusqu'à aujourd'hui n'avait jamais songer à le faire. Il lui rappelait un peu son professeur, Mr Grayson, le genre indéniablement attirant, mais quasi inaccessible. Elle avait réussi à finalement obtenir le serdaigle, mais elle avait mit ses espérances à une barre trop haute. Elle l'avait vu maintes et maintes fois avec son ancienne copine, Sonja, ce qu'ils avaient étaient tellement passionnels , tellement fort, que cet amour la rend aveugle au point de sortir avec celui-ci après la rupture des deux, une bien belle erreur. Il ne fit que se servir d'elle, et le pire dans tout ça, c'est que son meilleure ami est celui lui en faisant part, une personne qu'elle ne connaissait à peine s'inquiétait plus pour son bien être que son propre copain. C'était idiot qu'elle se tracasse avec ça, la décision était pourtant simple, mais Madeline qui était pourtant une fille simple parfaitement capable de trancher ce genre de décision en moins de deux n'arrivait pas à quitter un con dans son genre. Elle se mordit la lèvre, il n'était pas con, elle l'était pour l'avoir crut. Mais elle n'allait pas se refaire avoir, parce que malgré l'éthique de son professeur, sa réputation était selon elle réelle en grande partie, et en aucun cas elle ne désirais être à nouveau le corps chaud de quelqu'un. Elle méritais mieux, Londubat lui avait fait comprendre qu'elle avait plus de valeur qu'elle ne le pensais.

    - La défense contre les forces du mal ne peut rien contre tes insomnies il souriait, légèrement, mais il souriait. Maddie était vraiment heureuse de l'avoir comme professeur, parce qu'au fond il était plus que ça, ses élèves, ils les aidaient aussi en dehors des cours, parce qu'il était encore jeune et les comprenait. Si le professeur ne peut rien pour toi, alors qu'est ce que je peux faire pour toi Madeline ? Le sourire de la jeune fille s'était légèrement affaiblit, au fond, elle n'avait que montrer cette mine plus qu'enjouée pour ne pas se retrouver en tête à tête avec le concierge. - A vrai dire, je n'en ai pas la moindre idée monsieur. C'était étrange de l'appeler "monsieur", parce qu'il semblait tellement proche d'elle comme un camarade de classe, mais l'appeler par son prénom aurait été totalement inapproprié, mais en disant monsieur ou professeur grayson, elle avait l'impression de parler à un vieux ayant plus de la quarantaine. Ce qui n'en était évidemment pas le cas. - Il existe mille et une façon d'occuper son temps durant les insomnie tu sais, et je parle en tant qu'ancien élève, en six ans, ça ne doit pas être bien différents. Après ses quelques secondes de silence, il reprit la parole, c'est vrai, tellement de choses à faire dans ce gigantesque château. Plusieurs fois Madeline l'avait parcourut en long et en large le soir, mais s'était bien la première fois qu'elle rencontrait quelqu'un sur son chemin. - Je sais, ce n'est pas comme si s'était la première nuit ou je n'arrivais pas à m'endormir, juste la première ou quelqu'un est encore levé à part moi et ce vieux concierge que j'aime tellement. Elle souriait, plus détendue, moi mal à l'aise, il était vraiment doué ce prof.
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Cayn J.J. Grayson

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MessageSujet: Re: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeDim 10 Jan - 17:47

    Il existait des centaines de façon de passer le temps, mais en grandissant, passer le temps était quelque chose que l’on n’aimait pas vraiment faire. Cayn n’aimait pas voir le temps passer, il voyait ses jeunes années s’enfuir à une vitesse folles. Lorsqu’il voyait ses propres élèves il voyait ô combien ce temps était loin, six années le séparait de la fin de sa scolarité, six longues années, il n’avait pas vu le temps passer. Ce qui l’avait fait prendre conscience du temps qui passe c’est qu’il parlait avec les autres professeurs qu temps qu’il faisait, et comme le dit un réalisateur français : « c’est l’angoisse du temps qui passe qui nous fait parler du temps qu’il fait ». Cayn avait peur du temps qui passe, comme tout le monde, être professeur lui donnait un coup de vieux incroyable, mais les fait que certaines de ses élèves craque sur lui lui faisait penser que même s’il avait pris quelques années, il restait encore assez jeune, et ça c’était une belle consolation tout de même, surtout en sachant que des jolies jeunes filles s’intéressait à lui. Aucunes femmes, fille, ou jeune fille ne pouvaient le troubler, ou presque. Sans cœur, sans âme il avait décréter dès son plus jeune âge que l’attachement était inutile, et qu’il ne conduisait qu’à la souffrance, soit d’une trahison, soit d’une perte, soit des deux. Il n’était pas vulnérable, et ne voulait jamais être, ainsi, il ne s’attachait jamais, jamais. Règle numéro trois de Cayn grayson, ne jamais s’attacher. Pour la suite des règles de vie selon Cayn Grayson c’est une longue, voire très très longue histoire.

    "Je sais, ce n'est pas comme si s'était la première nuit ou je n'arrivais pas à m'endormir, juste la première ou quelqu'un est encore levé à part moi et ce vieux concierge que j'aime tellement." Il nota une ironie dansa phrase, ils chérissaient donc tout les deux ce cher et tendre concierge qui avait espéré en vain, tout du long de la scolarité de Cayn le coincer en pleine nuit au détour d’un couloir, il n’avait voulu qu’une chose, qu’il soit renvoyé, manque de chance pour lui, cayn avait toujours été très futé, et avait envoyé plusieurs de ses camarades se faire prendre, mais dans une bande il n’y a qu’une seule règle qui vaille, c’est celui qui se fait prendre qui ramasse, et qui ne doit pas vendre les autres. Cayn n’avait jamais regretté ses années Poudlard, jamais, pour lui c’était les meilleures de sa vie, et de loin. Il répondit sur le ton de l'humour, et un peu comme une confession : -Moi je l'aime ce concierge, qu'est ce qu'il a pu essayer de me prendre entrain de commettre des infraction au règlement, aujourd'hui, il a du mal à croire que je suis professeur, sur ce coup là, je le comprend. Beaucoup de monde avait été surpris de le voir à ce poste, lui le premier, mais sur ordre du ministre, on ne dit pas non, jamais. Mais ça, ses élèves ne le savaient pas. Il s’était bien gardé de taire sa réputation de type ne répondant jamais aux ordres, à croire que le ministre était complètement idiot, s’il cherchait quelqu’un pour répondre à ses attentes et à ses ordres, il se fourrait le doigts dans l’œil, Cayn n’obéit à personne, sauf à lui même, rien qu’il eut accepter ce poste, sous la contrainte, mais il y avait une envie plus secrète qui le guidait, il allait revoir Allegra après de nombreuses années. Il ajouta ensuite : - C'est vrai qu'il est rare de trouver quelqu'un d'éveiller, ici, insomniaque de nature, je rencontre rarement des gens la nuit, et encore moins des jeune filles de, seize ans ? demanda t il peu sûr de lui, elle devait avoir seize ans, une gamine en quelque sorte. Madeleine le troublait, le fait d’ignorer son âge le troublait. Premièrement, elle était indéniablement belle, même très belle, mais cette idée n’aurait jamais dû effleurer son esprit, jamais, il était son professeur, ce n’était pas ainsi que les choses devaient être. Et puis, après tout, elle n’était peut être même pas majeur, cette idée, il tenta de la chasser de son esprit, en vain. Plus il essayait de penser à autre chose, plus l’image de la jeune sorcière se ramenait à son esprit. Elle était belle, pour son âge. Il était désormais persuadé d’une chose, le ministre qui l’avait nommé à ce poste en sachant son aversion pour les règlements et sa « passion » pour les femmes était quelqu’un de sénile, et n’ayant pas ses capacité mentale, amené Cayn à Poudlard, c’était comme prôner anarchie dans une maison parfaitement ordonné, comme faire entrer le loup dans la bergerie.

    (désolé, c'est court, mais y'a rien à dire --' )
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Madeline Georgie Weasley
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MessageSujet: Re: ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING ♦ DON'T STOP BELIEVIN, HOLD ON TO THAT FEELING Icon_minitimeDim 10 Jan - 20:44

    Être un sang pure, étrangement, elle portait cette étiquette comme étant un poids lourd, un fardeau. Mais elle pouvait se voir heureuse de ne pas être une malfoy, sa famille gardait un minimum de respect envers les moldus, elfes de maison et compagnie. Seulement, quelque part, elle aurait aimer ne jamais avoir à ouvrir cette foutue lettre, ne jamais la recevoir, qu'il se soit miraculeusement trompé d'adresse ou quelque chose dans le genre. Peut-être à l'heure d'aujourd'hui, si elle vivait une vie normale, elle se préparerait à aller voir un match de cross pour encourager l'équipe de son internat et de son copain. Mais non, elle était ici, à Poudlard en tant que poufsouffle et commentatrice des matchs de Quidditch. Les philosophes n'avait pas tord quand ils disaient "L'homme n'est et ne sera jamais content": petite, elle ne désirait qu'une chose, le choixchapeau poser sur sa tête pour lui designer sa maison. On lui avait raconté tellement de choses merveilleuses sur cette école qu'elle avait fini par aller prendre le courrier tout les matins à partir de ses huit ans, attendant avec impatience. Mais, la voilà en septième année, elle s'était rendu compte que Poudlard n'était qu'une pale copie d'une série pour adolescent en pleine crise avec une pointe de magie en plus. Rien de ce qu'elle avait imaginer. Une vie normale lui aurait largement suffit. Mais comme le disait si bien sa mère: "you can't always get want you want, honey" Et au fond, elle avait bien raison.

    En regardant son professeur, elle remarqua quelque chose, à quel point il était différent d'elle. Son parfait opposé. On pouvait reprocher la jeune fille à être trop sentimentale, trop s'attacher à des choses superflues, inutiles, sans valeur. Lui, lui semblait refuser tout contact humain, son ton donnait un air de gentil, mais dans le sens ou il restait poli sans vraiment devenir intime, observatrice, elle le rangeait dans la case des coureurs. Le genre d'homme aimant être sous contrôle, une équation était facile à réaliser mais déchiffrer ses émotions, moins. Parce qu'au fond, l'être humain n'avait rien de très logique, il était difficile t'expliquer ses gestes et actes. A la fois elle aimerait être comme lui, et à la fois non. : -Moi je l'aime ce concierge, qu'est ce qu'il a pu essayer de me prendre entrain de commettre des infraction au règlement, aujourd'hui, il a du mal à croire que je suis professeur, sur ce coup là, je le comprend. Quelque part, sa phrase avait du sens, durant ses cours, Madeline s'imaginait souvent comme était leur professeur durant leur jeunesse. il était presque évident que tous n'avait pas forcement été des têtes d'ampoules, et Pr. Grayson n'en n'était pas une exception. Le genre d'élève dont toutes les filles seraient folles, intelligent mais qui n'est pas pour autant un balai enfoncé dans son derrière, parlant de balai, il serait dans l'équipe de quidditch peut-être même capitaine, et aurait une réputation que se soit auprès des professeurs que de ses camarades. Voilà le topo de la jeunesse de l'homme selon Maddie. Elle avait cette manie de calculer, juger les gens avant même de les connaitre, mais elle était tolérante, mais un peu trop. Elle lui répondit par un gloussement suivit d'un sourire qui évidemment, était sincère. On ne pouvait pas dire qu'elle était trop douée pour mentir, à quoi bon essayer. D'ailleurs lorsqu'il suspecta son âge, elle lui répondue en toute francise. - - Dix-sept, merci. on voit que vous vous préoccupez beaucoup de vos élèves. Elle aurait très bien put s'ajouter un ou deux, mais comme déjà dit, elle n'était pas très doué pour mentir, et il ne fallait pas trop qu'elle le prenne pour un con non plus, il devait sans doute avoir accès à son dossier et tout à un tas d'autre informations sur elle. Madeline s'attendait à ce qui lui réponde un truc du genre, j'ai pas que ça à faire de connaitre mes élèves. Et s'était vrai, il devait les supporter à longueur de journée et en plus s'intéresser à eux? Une chose était certaine, elle ne deviendrais jamais professeur, elle n'était même pas sûr de rester à Poudlard jusqu'à la fin de sa scolarité: à la fin de cette année, elle serait majeur dans le monde des moldus: chez les sorciers s'était dix-sept ans, mais en Angleterre un an de plus était requis pour être considérer comme un adulte. Elle ne desirait pas rester encore trois ans cloitrer entre quatre murs pour apprendre le pourquoi du comment. Voyager, découvrir, expérimenter, voilà ce qu'elle voulait faire. Poudlard n'était juste pas fait pour elle. - Bon .. Je crois pas vous retenir plus longtemps. Elle s'apprêtait à partir, pas qu'elle ne le désirait, mais de peur que le concierge fasse son apparition, tournant les talons elle fit quelques pas avant de virevolter face au professeur. - La prochaine fois, éteignez votre lumière, ça risque d'attirer beaucoup de filles. Son ton était un peu moqueur, mais ce qu'elle disait était la vérité, non mais sérieusement, il fait nuit, le professeur le plus séduisant de tout le bâtiment est encore lever, seul. Des filles comme elle pouvait commettre des actes bien grave juste pour l'atteindre.
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