« Freya venait de passer l’étape de la gare. L’épreuve s’était avérée déjà très difficile pour la fillette qui redoutait maintenant les prochaines étapes avant l’arrivée à l’école. Elle ne savait pas du tout à quoi s’attendre, un bâtiment simple ? Flottant dans les airs ? Freya s’était tout imaginé, du plus simple au plus farfelu. Mais il lui fallait encore attendre son arrivée, le temps lui semblait tellement long dans le train. Elle s’était assise dans un compartiment inoccupé, puis d’autres sont entrés puis ressortis mais une fille resta. Elle aussi devait être nouvelle, et vu sa tête, elle ne connaissait rien de ce nouveau monde.

Freya M. Salinger ▬ « Salut! »

Inconnue ▬ « Bonjour… » Elle avait une voix presque inaudible, elle souleva à peine les yeux pour regarder la personne qui lui avait adressé la parole mais elle semblait tétanisée par la situation.

Freya M. Salinger ▬ « Tu es une moldue ? Enfin, je veux dire tu ne connais pas la magie ? Tes parents ne sont pas sorciers ? » On aurait dit un interrogatoire mais Freya ne s’en rendit pas compte pour le moment, ce qu’elle voulait, c’était la mettre à l’aise mais elle faisait tout l’inverse. « Oh ! Je suis désolée de t’avoir posé ces questions alors que nous ne nous connaissons même pas. Je m’appelle Freya Margaret Salinger, mais appelle moi seulement Freya ! » Elle lui fit un petit clin d’œil complice et l’inconnue comprit que Freya n’avait que de bonnes intentions. « Je suis moi-même mi-moldue, mi-sorcière alors je ne connais pas trop encore ce monde. »

Inconnue ▬ « Tu es donc une sang-mêlé! Ravie d’avoir fait ta rencontre Freya! » Elle venait de lui parler d’une façon assez… spéciale. Sang-mêlé ? Elle n’était donc pas moldue ni aussi timide qu’elle en avait l’air et peut-être même pas nouvelle dans l’établissement.

Freya passa la fin du trajet seule dans son compartiment, à remuer dans sa tête les événements passés et ceux qui arriveront. Et si elle ne trouvait personne pour la comprendre ? Si elle devenait la risée de l’école à cause de son père ? Ce qu’elle ne savait pas, c’est qu’il y avait beaucoup moins bien loti qu’elle ! »

« Alors qu’elle était en troisième année, Freya eu la chance de prendre la main dans le sac un serpentard qui avait pris l’habitude de maltraiter les nouveaux. Sachant que cet élève était au bord de se faire renvoyer de l’école, Freya décida d’opérer un petit chantage. Elle ne dirait rien, mais en retour elle obtiendrait la tranquillité de certains poufsouffles qui faisaient les frais des méchancetés de quelques serpentards. Mais bien sûr, le chantage ne dura pas longtemps et Freya mit ses menaces à exécution après l’humiliation publique d’une de ses amies qui n’osait plus sortir de la salle commune des Poufsouffles. Freya ne se croyait pas si courageuse en étant responsable du renvoi temporaire d’un serpentard mais elle n’en avait pas mesuré les conséquences.

Elle se trouvait maintenant être la cible de tous les piques des serpentards. Elle ne pouvait pas marcher dans un couloir sans être bousculer, se prendre un petit sort. Malgré son intelligence, Freya ne connaissait toujours pas assez de choses dans le domaine pour faire ses preuves et pouvoir se défendre dignement. C’est alors qu’intervint le professeur de métamorphose, matière dans laquelle Freya excellait, et remit les choses en place. Certes, la jeune sorcière était toujours dans la ligne de mire des serpentards mais les choses s’étaient arrangées.

Mais ce que Freya ignorait, c’est qu’un serpentard très influent dans la maison avait fait pression sur les autres pour arrêter toutes ces bêtises. Il se trouvait que la jeune poufsouffle avait tapé dans l’œil de ce jeune homme de quatrième année. Il avait toujours essayé d’approcher Freya mais la tâche s’était avérée difficile avec tous les serpentards qui cherchaient à l’embêter. Freya n’en sut jamais rien, peut-être l’avait-il oubliée.»

« Alors qu’elle était en troisième année, Freya eu la chance de prendre la main dans le sac un serpentard qui avait pris l’habitude de maltraiter les nouveaux. Sachant que cet élève était au bord de se faire renvoyer de l’école, Freya décida d’opérer un petit chantage. Elle ne dirait rien, mais en retour elle obtiendrait la tranquillité de certains poufsouffles qui faisaient les frais des méchancetés de quelques serpentards. Mais bien sûr, le chantage ne dura pas longtemps et Freya mit ses menaces à exécution après l’humiliation publique d’une de ses amies qui n’osait plus sortir de la salle commune des Poufsouffles. Freya ne se croyait pas si courageuse en étant responsable du renvoi temporaire d’un serpentard mais elle n’en avait pas mesuré les conséquences.»

« Alors qu’elle était en troisième année, Freya eu la chance de prendre la main dans le sac un serpentard qui avait pris l’habitude de maltraiter les nouveaux. Sachant que cet élève était au bord de se faire renvoyer de l’école, Freya décida d’opérer un petit chantage. Elle ne dirait rien, mais en retour elle obtiendrait la tranquillité de certains poufsouffles qui faisaient les frais des méchancetés de quelques serpentards. Mais bien sûr, le chantage ne dura pas longtemps et Freya mit ses menaces à exécution après l’humiliation publique d’une de ses amies qui n’osait plus sortir de la salle commune des Poufsouffles. Freya ne se croyait pas si courageuse en étant responsable du renvoi temporaire d’un serpentard mais elle n’en avait pas mesuré les conséquences.»

« Mais ce que Freya ignorait, c’est qu’un serpentard très influent dans la maison avait fait pression sur les autres pour arrêter toutes ces bêtises. Il se trouvait que la jeune poufsouffle avait tapé dans l’œil de ce jeune homme de quatrième année. Il avait toujours essayé d’approcher Freya mais la tâche s’était avérée difficile avec tous les serpentards qui cherchaient à l’embêter. Freya n’en sut jamais rien, peut-être l’avait-il oubliée.»