BRAKIUM EMENDO*
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LA FÊTE EST FINIE.

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AuteurMessage
Cayn J.J. Grayson

Cayn J.J. Grayson

PARCHEMINS : 85
DATE D'INSCRIPTION : 12/12/2009
AGE : 40
MOOD : SHOW OFF
PSEUDO : ASHMN!
CREDIT : AURELIE


LA FÊTE EST FINIE. Vide
MessageSujet: LA FÊTE EST FINIE. LA FÊTE EST FINIE. Icon_minitimeMar 16 Fév - 20:20

LA FÊTE EST FINIE


    La fête battait son plein. Le professeur Grayson effectuait sa ronde nocturne accompagné du directeur. Le corps enseignant avait eut vent d'une fête parfaitement illégale pour les élèves du château, ce qui était formellement interdit. Après avoir passé quelques minutes à consulter le livre d'enchantement où était caché le rendez-vous secret. En sa qualité d'auror confirmé, il ne fallu pas plus d'une minute à Cayn Grayson pour venir à bout de l'ouvrage. D'après leur sources, c'était une petite première année qui n'avait pas eut le droit d'y participer qui avait balancé tout les autres. Les enseignants arrivèrent alors devant la porte de la salle sur demande. Un calme plat y régnait, la salle sur demande masquait le son assourdissant qu'il y avait derrière la porte. La porte leur apparue, car ils avaient lu le mot. Cayn entra avec le directeur. La musique assommante avait de quoi déboucher les oreilles d'un vieux sourd. Cayn allait dire quelque chose en utilisant le sortilège sonorus, quand soudain, à sa droite, un cri strident. Cayn et les professeurs accoururent vers la fille qui hurlait, cette dernière butilla quelque chose et montra du doigt quatre corps sur le sol, inertes. Leurs masques leur couvraient encore le visage. Aucuns d’entre eux n’avaient de sang sur eux, Cayn s’accroupit alors d’eux avant d’affirmer : « Avada Kedavra. Qui aurait pu faire ça, pas un élève c’est impossible. » Le directeur haussa un sourcil avant de répondre avec froideur : « Poudlard a vu naître des mages noir, cette génération est précoce. Agissez Grayson, c'est votre job. » Cayn hocha la tête, et se leva. Dors et déjà des murmures avaient commencé à faire planer un silence. Cayn regarda le directeur qui semblait bel et bien inquiet. Quelque chose attira le regard de l’auror. Du sang, du sang par terre, une importante quantité de sang gisait sur le sol, non loin des élèves morts. L’auror examina alors le sang tandis qu’un autre professeur examinait les corps. Ce dernier hocha négativement la tête, ce sang ne pouvait pas provenir des corps. Il y avait une cinquième victime dont le corps n’était pas ici.

    Il se leva, et usant du sortilège du sonorus il dit assez fort pour que tout bruit cesse : « SILENCE. » Le silence se fit immédiatement. Il regarda circulairement dans la pièce avant de dire fermement : « Tout le monde va retourner dans son dortoir maintenant. Le moindre détour, le moindre faux pas, le moindre commentaire sera sévèrement puni. Cette fête est illégale. Ce soir quatre élèves sont morts, et un autre est probablement blessé. Je vous demanderai donc de retourner immédiatement dans vos dortoirs sans détours. Ne croyez pas que vous vous en sortirez comme ça, vous venez d’enfreindre un certain nombre de point du règlement. » Il était froid, sa voix flippante. Il laissa le sang sur le sol tandis que les autres professeurs s’efforçaient de déterminer à qui et ou était parti la personne à qui appartenait ce sang. Les moldus pratiquaient des analyses adn, là, il allait suffire d’un sortilège pour déterminer cela. Il fit signe à tout le monde de sortir. Il ajouta alors : « Je demanderais à tous les proches de Chris Marshalls, Bréa Clayns, Victoria McConery et Talhia Stevenson, de venir ici. » Le silence se fut, et les élèves partirent en silence. Quand ils passaient près de la porte les chuchottement reprenaient. les chuchotements allaient de bon train. Cayn s’écria alors : « J’AI DIS SILENCE !! » Sa voix était cassante et dure, même très dure. Cayn poussa un soupire. Les professeurs accompagnèrent en silence les élèves et réprimandaient tous ceux qui venaient à parler. Ils n’avaient pas eut le droit de faire cette fête, le directeur les tenaient tous solidairement responsable de la mort des élèves décédés d’en d’étrange circonstance cette nuit là.

__________

    Le lendemain matin, tout les élèves de Poudlard avaient été recensés, tout le monde hormis les décédés répondaient à l’appel, tous, tous répondaient à l’appel, sauf une. Une seule élève avait disparue. Le château avait été inspecté de fond en comble, et aucuns corps n’avait été trouvé, rien d’anormal n’était apparu, sauf une inscription faite de sang sur un mur : « Son corps demeurera a jamais dans la chambre des secrets. » Après analyse magique, le sang trouvé durant la fête, le sang usé sur le mur appartenaient à la même personne, celle qui avait disparue, Ysolde Chamberlayn. Les temps s'assombrissent. Les nuits sont de plus en plus froide. Ces signes ne sont pas les simples annonciateur de l'hiver : le mal grandit de plus en plus et nul ne sait où il frappera en premier. Les élèves de Poudlard sont désormais privé de toute leur liberté suite à la fête clandestine qu'ils ont organisé à la fin du mois de septembre. À la demande du ministre les punitions sont de plus en plus dur. Certains élèves n'en peuvent plus d'écrire des milliers de fois « Je ne dois pas enfreindre les règlements sinon je serai considéré comme un terroriste magique. », leur main en porte désormais la marque à cause des plumes spéciale. Le ministère ne bouge pas, les parents d'élèves non plus. Les hiboux se font de plus en plus rare, comme si les familles elles même refusaient le contact avec Poudlard. Le quidditch a été interdit, il est désormais interdit de posséder un balais dans l'enceinte du château et de voler sur un balais. L'ensemble des balais des élèves a été confisqué et repose désormais dans un local imprenable. Les cours sont désormais entièrement théorique, les élèves n'ont quasiment plus le droit d'avoir recourt à leur baguette, et il est strictement interdit de parler en cours. Les élèves encaissent, sans broncher, attendant comme Noël la première tâche du tournois qui les sortira de leur quotidien qui est désormais : lever-petit déjeuné-cours-déjeuné-heures de colle-cours-souper-au dortoir avec des centaines de devoirs à faire. Où est donc passé la liberté à Poudlard ? Tout les élèves de Poudlard sont contraint de suivre les règles. Le soir, au moment du couvre feu est fait un appel afin de vérifier qu'il n'y ait aucun fraudeurs, et toute les nuits, une garde à lieu dans les salles communes, personne ne peut y entrer ni en sortir.

    NOTA BENE : Les rps de la fêtes sont maintenant clos. Tous vos futur rp postérieur à la fête devront tenir compte de ce qui s'est passé, des meurtre,si vous voulez être une connaissance de l'un des morts, vous pouvez envoyé un mp à Miryà Potter, nous restreindrons ces rôles afin que tout le monde ne soit pas "proche" du même mort. Les restrictions suite à cela sont dure, merci de ne pas les outrepasser trop facilement, ou vous aurez la visite d'un professeurs sadique et mécontant dans vos rp qui ne vous fera pas de cadeaux..; MOUAHAHAH !


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Marcus Ross

Marcus Ross

PARCHEMINS : 98
DATE D'INSCRIPTION : 20/12/2009
AGE : 34
PSEUDO : Carclin


Lumos.
BLACK RELATIONSHIP:
BLACK TALK:
CITATIONS.:

LA FÊTE EST FINIE. Vide
MessageSujet: Re: LA FÊTE EST FINIE. LA FÊTE EST FINIE. Icon_minitimeMar 16 Fév - 23:07

Le repas avait été agité ce soir là, tous les étudiants ne parlaient que de la fête, même ceux qui ne pouvaient s'y rendre semblaient complètement hystériques. Cette fête clandestine était le principal et unique sujet de ce soir. Une fois de plus toute cette situation laissait Marcus indifférent. Il mangea en silence en levant la tête de temps en temps et lorsqu'il eu fini il se leva et pris la direction de la salle commune des serdaigles. Au moins un endroit ou il pourrait être tranquille. Il se trompait. Lorsqu'il était entré il ne n'avait découvert rien d'autre que le chaos le plus total. La salle était sans dessus dessous, les élèves allaient de ci de là en courant et en criant se préparant pour la fête. Les filles se pomponnaient avant de revêtir leur masques tandis que les garçons se préparaient à une soirée de beuverie et de débauche. Marcus s'était dirigé vers le dortoir et s'était isolé derrière les rideaux de son lit à baldaquin. Après une attente relativement longue Marcus s'était décidé à retourner dans la salle commune. Lorsqu'il était descendu les élèves les plus jeunes qui n'avaient pas l'autorisation de festoyer l'avaient regardé avec des yeux ronds. Effectivement il devait être le seul étudiant en âge à ne pas profiter de l'occasion. Marcus ne leur avait accordé qu'un regard et s'était dirigé vers son habituel fauteuil. Plongé dans la lecture d'un livre emprunté un peu plus tôt à la bibliothèque il n'avait pas vu l'heure passer. Il était désormais seul dans la salle commune.

Marcus leva la tête de son bouquin et soupira. Comme si toute la joie accumulée par les autres étudiants avait sur lui l'effet inverse, il se sentait vide et las. Au fond il aurait bien aimé y aller à cette fête, Shawn avait vivement insisté sur le sujet. Mais rien qu'à l'idée de se retrouver avec des tas d'inconnus lui filait la nausée. Ce genre de chose n'était pas pour lui. Du moins essayait-il de s'en convaincre. Il est vrai que lorsqu'il avait vu tout le monde se préparer il avait lui aussi eu l'envie d'enfiler un masque et de devenir quelqu'un d'autre, juste le temps d'une soirée. Il regrettait le fait que personne ne vienne le voir, que personne ne fasse le premier pas vers lui. Il aimerais bien que de temps en temps quelqu'un vienne à sa rencontre pour essayer de le connaître, mais personne n'avait jamais fait cet effort et Marcus restait désespérément seul. Heureusement que Shawn était là.

Marcus soupira une nouvelle fois en s'apprêtant à replonger dans son livre lorsque quelqu'un entra dans la salle commune, suivit par une autre personne puis une autre, puis deux puis cinq. La salle se remplissait de nouveau. Il est vrai que la nuit était déjà bien avancée mais il était encore trop tôt pour que la soirée soit déjà terminée. En quelques minutes la salle fut de nouveau pleine et il régnait désormais un brouhaha sans précédent. Marcus aurait pensé que la seule expression lisible ce soir serait la joie d'avoir passé une bonne soirée et le sourire béat de ceux qui auraient trop bu. Mais tout ce qu'il voyait maintenant était une terreur indicible et des pleurs. Marcus ne comprenait pas.

La curiosité fut plus forte que la timidité et il se dirigea vers une jeune fille qui s'était assise non loin de lui. Son masque gisait mollement dans sa main droite tandis que la main gauche se convulsait.

« Eh, ça va ? » demanda t-il en approchant d'elle. Elle ne le regarda même pas. Elle se balançait d'avant en arrière en murmurant. Marcus réitèrera sa question sans plus de succès. « EH » dis t-il plus fort. Cette fois la jeune fille leva les yeux vers lui. Elle pleurait. « Mince j'ai peut être été un peu brusque » pensa Marcus, « quel manque de tact ». Elle continuait de murmurer le regardant sans le voir les yeux perdus dans le vague. Marcus approcha son oreille de sa bouche.

« Ils sont mort, on les a tués. Ils sont mort, on les a tués. Ils sont morts, on les à tués. » répétait-elle.
« Qui est mort ? Qui les a tués ? » Dis Marcus en essayant de parler plus fort que les autres pour se faire entendre. La jeune fille ne l'entendait pas plus qu'elle le voyait.

Marcus se redressa sortit sa baguette et, d'un geste assuré, raviva le feu. Il attrapa une couverture et couvrit les épaules de la demoiselle avant de s'éloigner en quête de réponses à ses questions. Tous le monde ici présent avait enlevé son masque. Il s'approcha d'un groupe d'étudiants et formula une fois de plus ses interrogations.
« Quoi t'étais pas à la fête ? » le questionna l'un d'entre eux.
« Ben non » fit Marcus la mine désolée.
« Le professeur Grayson nous à découvert. Au moment ou il est entré il à découvert quatre cadavres et d'après lui il en manquerait un cinquième. »
Marcus se sentit pâlir et un filet de sueur glacé lui coula le long de la colonne vertébrale. 
« Un assassinat, à Poudlard, mais c'est impossible !! »
« Pas un, cinq... »


Le professeur Grayson fit irruption dans la salle commune à ce moment là, accompagné du directeur et de quelques autres professeurs. Après une sévère réprimande et la promesse de punitions toutes plus intenses les unes que les autres il ordonna d'aller se coucher. Autant dire que personne ne dormit cette nuit là. Les discussions allaient bon train. Au petit déjeuner le directeur fit un rappel des nouvelles mesures de sécurité: des cours théoriques, usage de la baguette limité, couvre-feu, plus de quidditch ni de balais, bavardage interdit, restriction des libertés etc.

« Poudlard est devenu une prison » pensa Marcus...


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